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vendredi

Claudie André-Deshays à bord de l'ISS en octobre 2001

L
e Ministère français de la Recherche vient d’annoncer qu’un accord franco-russe permettra à la spationaute française Claudie André-Deshays d’effectuer un séjour en octobre 2001 à bord de la Station spatiale internationale. Le 22 décembre, cet accord sera officiellement entériné lors d’une séance de signatures entre le Ministre français Roger-Gérard Schwartzenberg, représentant du CNES, et son homologue russe Alexandre Dondoukov, représentant l'agence spatiale russe Rossaviacosmos et la société RKK Energya.
''La Russie a montré au cours des derniers mois qu'elle restait une grande puissance spatiale, et le renforcement de la coopération entre la France et la Russie dans ce domaine est essentielle'', a souligné M. Schwartzenberg. Il a également précisé que le CNES investira de 2001 à 2004 4 milliards de FF dans le programme ISS.

Claudie André-Deshays commencera son entraînement dès la mi-janvier 2001 à la Cité des Etoiles, près de Moscou. Elle s’élancera ensuite en octobre 2001 à bord d'un vaisseau Soyouz du Centre spatial de Baïkonour (Kazakhstan), pour une mission d’une dizaine de jours. Elle séjournera huit jours à bord de l’ISS, où elle tiendra le rôle d'ingénieur de bord. Elle s’était déjà entraînée à cette fonction en tant qu'astronaute suppléante de la mission franco-russe Perseus , du 20 février au 28 août 1999 à bord de Mir. Elle réalisera notamment des expériences scientifiques sélectionnées par le CNES dans les domaines des sciences de la vie, de la physique et de la technologie.
Claudie André-Deshays deviendra la première française et la deuxième européenne à se rendre à bord de la station, six mois après l'Italien Umberto Guidoni, qui volera à bord de la navette spatiale américaine (STS-100). Cette spationaute de l'Agence spatiale européenne (ESA) a volé pour la première fois dans l'espace à bord de Mir, du 17 août au 2 septembre 1996, au cours de la mission franco-russe Cassiopée. Il s'agira du 14ème vol d'un spationaute français depuis 1982. A bord de la navette spatiale, sept missions ont déjà été réalisées avec les Russes et six avec les Américains. par Rémy Decourt

Source & infos complémentaires : Geoman

posté par Sphilou à 11:58 AM




Paléontologie: Protéine de dinosaure retrouvée intacte

Une découverte digne du « Parc Jurassique » ! - Un chercheur britannique a retrouvé de longs segments d’une délicate protéine dans des os fossilisés de dinosaures. « Remake » du « Parc Jurassique »? En tout cas, la réalité rattrape la fiction à une vitesse grand V... Les protéines, des molécules organiques complexes, se dégradent en général très rapidement. Comment croire qu’elles puissent de conserver pendant des millions d’années? Inutile de dire que la communauté scientifique était très sceptique... Mais, dans l’édition de décembre 2000 de la revue Geology, le dr. Matthew Collins démontre que certains minéraux contenus dans les os préservent les protéines – ce qui permet à ces dernières de se décomposer beaucoup plus lentement que ce qu’on observe en laboratoire.

Le segment de protéine trouvé vaut de l’or. Son séquençage pourrait permettre de résoudre quelques puzzles de l’évolution – comme par exemple trouver le lien entre dinosaures et oiseaux. Pour relever ce défi, Collins veut rallier les meilleurs scientifiques de la planète. Matthew Collins et un collègue ont publié dans Nature le mois dernier un article démontrant comment une protéine de lait avait survécu 3000 ans dans un pot de terre cuite. Cette protéine pourrait nous en apprendre beaucoup sur les techniques d’élevage et la diète des Écossais de l’Âge de bronze. Par Anne-Marie Simard

Source & infos complémentaires : Cybersciences

posté par Sphilou à 10:44 AM




Medecine: Des vaccins dans la purée

Bientôt, vous pourrez vous contenter de vous nourrir pour vous soigner. Ce n’est pas de la science-fiction, mais bien une solution pour de nombreux pays en voie de développement. Une étude parue dans « Nature Biotechnology » relate les expériences de chercheurs américains qui ont manipulé génétiquement des pommes de terre pour qu’elles expriment l’antigène HBs, un des marqueurs de l’hépatite B chez l’homme.
Les souris nourries par ces pommes de terre ont développé des anticorps sériques spécifiques contre cet antigène. En clair : un aliment peut induire une immunisation contre un agent infectieux chez le sujet qui le consomme. D’autres essais viendront compléter prochainement les résultats obtenus.

Source & infos complémentaires : Besok

posté par Sphilou à 10:08 AM



jeudi

Auto : Tuning à la Réunion…

L’ automobile à La Réunion, c’est une religion, et si le tuning y est grand c’est en partie dû à Nanou, un bricoleur de génie et un artiste passionné. Avec peu de moyen et beaucoup d’imagination, Nanou fait rêver la jeunesse locale . Chacune de ses créations assument le rôle d’un exutoire auprès d’une population sevrée de vitesse et de sensations. L’une de ses productions, dont il est particulièrement fière, une Subaru Impreza inspire l’admiration, 5 mois de dur labeur pour réaliser ce petit bijoux : élargissement d’ailes, modification des bas de caisse et des pare chocs, insertion proéminente sur le capot d’une prise d’air afin de refroidir plus rapidement l’échangeur turbo, rien n’a été fait au hasard.

A l’intérieur, la présence de siège de courses, de pédales en aluminium et d’un volant trois branches donnent à ce véhicule des allures de voitures de rallye. La sono de série a, elle aussi, été complètement modifiée pour laisser place à des amplificateurs, des haut-parleurs dotés de boomer et de tweeters d’une puissance de 1500 watts. Les jeux de lumières situés dans le coffre viennent parachever cet ensemble. Le coût total de cette transformation : 150.000 F.
Pour rien au monde Nanou n’échangerait sa Subaru car il s’agit sans conteste de la plus belle voiture tuning de La Réunion !

Source & infos complémentaires : M6 Turbo

posté par Sphilou à 1:52 PM




Premier télescope à miroir liquide dans la Cordillère des Andes en 2002

Des mirages sur la voûte céleste... L'étude du phénomène, récemment observé, des lentilles gravitationnelles est une spécialité des astronomes et astrophysiciens de l'Université de Liège (Belgique). Ils ont lancé l'initiative d'un observatoire international avec un télescope à miroir liquide pour mettre en évidence ces véritables lentilles cosmiques et comprendre leur influence sur les lumières de l'Univers.
L'histoire des mirages gravitationnels a commencé en 1985 à l'Institut d'Astrophysique et de Géophysique (IAGL) de l'Université de Liège (ULg), dans le cadre d'une toute petite famille composée à l'époque de Jean Surdej (Directeur de Recherche FNRS et Professeur Adjoint) et de Jean-Pierre Swings (Chargé de Cours). Aujourd'hui, cette famille s'est élargie en une dynamique unité de recherche baptisée Astrophysique Extragalactique et Observations Spatiales (AEOS), au sein de laquelle figurent 5 chercheurs étrangers.

Ce groupe s'intéresse à l'observation des lentilles gravitationnelles, responsables de points lumineux multiples visibles dans le ciel. Jean Surdej nous explique : "Un observateur voit ainsi à travers son télescope plusieurs images d'une source de lumière, à cause de la déviation des rayons lumineux que cette source émet et qui suivent des trajectoires différentes. Ce phénomène bien connu à la surface terrestre résulte en la formation de mirages atmosphériques. Dans l'Univers, c'est l'interposition d'objets massifs, comme des galaxies ou des trous noirs, qui dévient en plusieurs trajectoires distinctes des faisceaux de lumière et qui provoquent, par leur superposition, des astres extrêmement brillants. On a affaire au phénomène de lentille gravitationnelle." .............. Suite de l' article en lien par Jean Etienne.

Photo: Maquette du projet Lama. Constitué de 18 miroirs liquides de 10 m, ce LVLT (Liquid Very Large Telescope) offrira une luminosité équivalente à un miroir conventionnel de 42,4 m. Crédit Université de Liège

Source & infos complémentaires : Geoman

posté par Sphilou à 1:39 PM




Internet: Indétectable mouchard

Les chercheurs de l'université de Princeton viennent de mettre au point un programme capable de lire et d'analyser le contenu de la mémoire cache de n'importe quel ordinateur. S'il venait à être détourné, ce système, nommé Timing Attack, sonnerait le glas de la protection de la vie privée sur Internet. Timing Attack permettrait aux éventuels indiscrets (Etats, entreprises…) de lire et d'analyser le contenu de la mémoire cache de n'importe quel ordinateur. Le scénario du "crime parfait" est le suivant: un internaute clique sur un site "espion". A ce moment là est activé un programme Java, aussi simple qu'indétectable (car il n'a pas besoin de se graver sur le disque dur), capable de décoder la mémoire cache de l'ordinateur piégé. Dans cette mémoire se trouvent enregistré es les dernières opérations effectuées par le surfeur, ce qui représente une information providentielle pour les vautours du renseignement en tout genre. En effet, en décodant l'historique des récentes navigations, une entreprise est à même de cerner les goûts, la tendance ou non à consommer sur le net d'un internaute donné…les indélicats obtiendraient ainsi les réponses aux réponses aux questions qu'ils se posent : "le site de mon concurrent apparaît-il dans la mémoire cache?" ou "l'expression achat en ligne a-t-elle été utilisée dans les deux derniers jours?".

Indétectable et infaillible à 98%, très simple à programmer, cet outil plus qu'indiscret pourrait bien faire des ravages: accès aux mots de passe (web bancaire), flicage total des opinions (pages politiques), aperçu des habitudes de consommation (sites de vente en ligne)… rien n'échapperait au Timing Attack. L'équipe de chercheurs précise que pour l'instant, il n'y aucun moyen de prouver que cette technologie ait déjà été utilisée. En attendant, reste à espérer que les logiciels de navigation sur le web fassent des progrès, et soient capables de détecter l'indétectable. ...par Ingrid Seyman

Source & infos complémentaires : Les news

posté par Sphilou à 10:41 AM




Plus vieux ne veut pas dire plus bête

L ’être humain n’est pas moins intelligent à 80 ans qu’à 25, même s’il est vrai que ses capacités d’apprentissage ou de mémorisation sont diminuées avec l’âge. De récents travaux menés sur les relations entre le vieillissement et les capacités mentales apportent à la fois de bonnes et de moins bonnes nouvelles. Il semble en effet que l’intelligence d’une personne, au sens général, reste globalement stable. En revanche, l’adulte commence à perdre une part de ses habiletés, comme retenir un titre de film ou un numéro de téléphone, au cours de la quarantaine. En Grande-Bretagne (Université d’Edimbourg), plusieurs centaines de personnes ont été interrogées une première fois en 1932, lorsqu’elles avaient environ 11-12 ans, et une autre fois près au début des années 90. Cette étude longitudinale montre que l’intelligence se maintient au fil des ans.

Le Pr Keith Weisnes (Cognitive Drug Research Ltd ) a lui donné une batterie de tests cognitifs à plus de 2200 volontaires âgés de 18 à 87 ans. Il en ressort que la rapidité d’exécution baisse à partir de 45 ans. Quant au Pr James Semple (Addenbrookes Hospital, Cambridge), il a utilisé l’imagerie médicale pour mesurer la perte de cellules cérébrales. Chez des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, affection neurodégénérative, le volume total du cerveau perd 3% chaque année. En revanche, chez les personnes vieillissant normalement la perte n’est que de 0,5% par an.

Source & infos complémentaires : Sciences & Avenir

posté par Sphilou à 10:28 AM




Mir ne répond plus

Depuis lundi 25 décembre 18h41 heures locales (15h41 GMT), le Centre russe de contrôle des vols spatiaux (TSOUP) n’arrive plus à entrer en contact avec la station orbitale Mir. La communication a été brièvement rétablie mardi en début d’après-midi pendant 7 minutes mais depuis la station ne répond plus. Selon le TSOUP, c’est la première fois en 15 ans que le contact est ainsi perdu. Cependant, la porte parole du Centre de vols assure qu’il n’y a aucun risque de chute incontrôlée de la station orbitale.

Mir doit être détruite à la fin du mois de février. Le gouvernement russe a pris cette décision pour des raisons de sécurité : maintenir Mir en orbite coûte trop cher et la Russie ne veut pas prendre le risque de voir la station retomber sur Terre. Depuis la dernière mission en juin dernier, la station est en pilotage automatique, à plus de 300 kilomètres au-dessus de nos têtes. Si les problèmes de communications duraient trop longtemps, une mission de secours pourrait être envoyée vers Mir, selon le TSOUP.

Source & infos complémentaires : Sciences & Avenir

posté par Sphilou à 9:59 AM



mercredi

La nouvelle prospérité des îles Tuvalu grâce à Internet

Un nom de domaine, ça change pas la vie, sauf que…
- Tuvalu est un archipel de neuf îles baignant dans le Pacifique, au large de l’Australie. Jusqu’à récemment, ses 10,600 habitants y vivaient modestement.Puis, Internet est arrivé. De nombreux pays se sont vus alors assigner un suffixe de deux lettres pour leurs noms de domaines (par exemple, « .ca » pour le Canada ou « .fr » pour la France, etc.). Le minuscule pays de Tuvalu, qui n’avait rien demandé, a obtenu « .tv ».

En cette ère de télévision interactive, ce suffixe en fait saliver plusieurs. Harcelé de toutes parts, le gouvernement de Tuvalu a finalement décidé de vendre son « .tv » aux enchères. C’est la compagnie canadienne Idealab qui a remporté le morceau. Un morceau chèrement gagné : c’est pas moins de 50 millions $US qui seront versés à l’archipel dans les prochains dix ans. Tuvalu détient également 15 p. cent des actions de cette compagnie, qui vend des noms de domaine finissant par «.tv ».

Ce flux de dollars transforme peu à peu la vie des habitants de Tuvalu. On construit des routes, on électrifie des régions. Une école a même été érigée sur l’île principale. La piste d’atterissage de l’aéroport a été allongée pour que des 737 puissent s’y poser – ce qui permettra à l’archipel d’exporter du poisson pour la première fois. Tuvalu a même réussi à verser la cotisation de 20,000$ que lui demandait l’ONU et, ce faisant, est devenu le 189 ième pays membre ! D’autres pays ont, comme Tuvalu, grassement profité du suffixe de leur nom de domaine. Il s’agit, entre autres, de la Moldavie « .md », du Turkmenistan « .tm » et des Philippines « .ph ». Par Anne-Marie Simard. Photo: Les habitants de Tuvalu en costume traditionnel.

Source & infos complémentaires : Cybersciences

posté par Sphilou à 10:57 AM




Ouragans sous surveillance

La vitesse d'un ouragan se mesure d'ordinaire aux dégâts qu'il laisse après lui. Il sera bientôt possible d'anticiper la violence des vents dès qu'ils touchent terre. Il est facile de suivre l'évolution d'un système au dessus des mers ou avant qu'il n'atterrisse. L'affaire se complique quand l'ouragan frappe le sol et se divise alors en tornades multiples. Des chercheurs de la Texas A&M University travaillent sur un nouveau type de radar mobile baptisé le SMART-R.

Le radar pourra être disposé non loin de la zone d'atterissage de l'ouragan. Il permettra de mesurer la vitesse des tornades naissantes et de prévoir les dommages causés par les pluies violentes qui les accompagnent. Les premiers radars seront mis en service en avril prochain juste avant le début de la prochaine saison des ouragans aux Etats-Unis.



posté par Sphilou à 10:45 AM




L'espion à pattes de mouches

Des chercheurs de l'université de Berkeley, et du MIT sont en train d'élaborer un nouveau type d'espions : le Robofly. Petits, bon marchés, rapides, ils pourront également être envoyés dans l'espace.
Selon les concepteurs du robot, les machines mimant les insectes sont les plus capables de se débrouiller dans tous les milieux. Et leur perte ne brisera pas le cœur des grands argentiers des nations qui les construisent : le prix ne s'élèvera pas à plus 10 dollars pièce. Faites attentions aux insectes qui s'écraseront sur votre part-brise. Ils pourront receler autre chose que de minuscules viscères.

Source & infos complémentaires : Besok

posté par Sphilou à 10:40 AM



mardi

La chirurgie au temps de l’ancienne Egypte

Les Egyptiens étaient capables d’amputer et de fabriquer des prothèses, affirment des chercheurs allemands, qui en ont découvert des preuves particulièrement nettes sur la momie d’une femme morte il y a environ 3.000 ans. Le gros orteil du pied droit avait été amputé, expliquent ces archéologues dans la revue médicale The Lancet, et l’articulation a été remplacée par une prothèse en bois. Les archéologues avaient déjà observé que des membres manquants avaient été remplacés sur des momies afin que le corps retrouve son intégrité pour le dernier ‘’passage’’. Mais dans le cas de cette momie, retrouvée dans l’ancienne ville de Thèbes, dans l’actuelle région de Sheik-Abd-el-Gurna, la prothèse a servi. Des traces d’usures sur le bois en attestent. Les chercheurs estiment d’ailleurs que l’articulation des trois segments de bois, maintenus en place par du textile, devait permettre un assez bon mouvement.

L’examen du cœur et des artères de la momies révèlent que cette femme souffraient vraisemblablement de diabète, car ses artères et ses vaisseaux sanguins s’étaient durcis. Cette forme d’artériosclérose, qui entrave la circulation sanguine , peut parfois être la cause d’une gangrène. Les archéologues avancent donc l’hypothèse d’une amputation rendue nécessaire par la gangrène du gros orteil, mais n’en sont pas certains. La médecine de l’ancienne Egypte consistaient surtout à pratiquer des onctions, souvent accompagnées d’incantations. Des traces d’opérations, notamment de trépanation, ont cependant été observées sur des momies, mais elles ont aussi bien pu être pratiquées après qu’avant la mort.

Source & infos complémentaires : Sciences & Avenir

posté par Sphilou à 10:23 AM




Quand il faisait très chaud dans l’Univers...

Il y a 12 milliards d’années l’Univers était sûrement beaucoup plus chaud qu’aujourd’hui. Cette hypothèse, qui est à la base de la théorie du Big Bang, est confirmée par des observations menées au Very Large Telescope (VLT), le plus grand observatoire de l’ESO, au Chili. Une équipe de scientifiques indiens et européens a pu mesurer la température du rayonnement diffus cosmologique à une époque où l’Univers n’avait que 2,5 milliards d’années. Pour qu’il y ait un Big Bang, il fallait que la température soit beaucoup plus élevée qu’aujourd’hui, selon les astrophysiciens. Or l’analyse détaillée du spectre d’un quasar, objet assimilé au noyau actif d’une galaxie, a été obtenue grâce au spectrographe UVES du télescope Kueyen, l’un des quatre ‘’œils’’ du VLT.

La découvert du rayonnement cosmologique diffus, en 1964, a convaincu la communauté scientifique de la validité de la théorie du Big Bang. Depuis, les astrophysiciens traquent ce rayonnement par tous les moyens. Le satellite COBE, lancé par la NASA en 1989, a pris des clichés spectaculaires de ce rayonnement, représenté comme une mappemonde où la couleur indique l’intensité du rayonnement. D’après ces ‘’cartes’’, la température était homogène dans l’univers il y a environ 15 milliards d’années. D’autres recherches ont été menées dans le cadre du projet Boomerang : des ballons portant des télescopes sont envoyés dans le ciel depuis l’Antarctique afin de recréer des images de l’Univers primordial. Par Cécile Dumas . Photo: Le rayonnement diffus cosmologique cartographié par COBE (NASA)

Source & infos complémentaires : Sciences & Avenir

posté par Sphilou à 10:19 AM



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