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samedi

Technologie: Zero, la smart du gazon

Zéro est au gazon, ce que la smart est à la ville. Indispensable. Elle ne constitue rien moins qu'une révolution dans le traitement des pelouses des secteurs public et privé… Un véhicule branché Internet/intranet qui fauche la pelouse sans émissions de gaz d'échappement, avec à la place des lames tournantes… un rayon laser ! Un véhicule à deux places approuvé à l'usage des routes publiques. La Zéro est actionnée par un moteur qui ne produit pratiquement aucune émission de gaz grâce à la technologie de pointe du carburant et à une postcombustion catalytique. Ses connexions reflètent également une approche innovante et du bon sens. Entre autres : accès Internet/intranet (pour passer commande directement en ligne de tout produit nécessaire aux soins de la pelouse), appareils-photo et capteurs de mesure (pour le contrôle du véhicule) et laser (pour la tonte de la pelouse). Sa conception est l’œuvre de Wolf-Garten de Betzdorf en Allemagne. L’étude du projet a été réalisée par Cognito Design.


Pourquoi Zéro ?
Parce que Zéro bruit, la pelouse étant tondue par un rayon laser plutôt que par des lames tournantes bruyantes.
Zéro usure de lame puisqu’il n’y en a pas.
Zéro dégradation des pelouses par des lames endommagées.
Zéro ramassage d’herbe ou formation de tas disgracieux, l'herbe étant coupée en particules minuscules et séchées avant d’être éparpillée à terre par un gicleur d'air (procédé siltidry révolutionnaire développé par Wolf).
Zéro problèmes avec la qualité de la pelouse, la formation de chaume et de moisissure qui peuvent se produire avec le paillage conventionnel étant évité grâce au même procédé. Zéro gaz d’échappements donc 100 % respect de l’environnement.
A ce niveau là, le zéro rejoint l’idéal.

Source : Nuwow

posté par Sphilou à 12:28 AM




Espace: Galileo malade des radiations

L
a sonde automatique américaine Galileo, en orbite autour de Jupiter depuis décembre 1995, semble de plus en plus affectée par les doses énormes de radiations qu'elle a reçues lors de survols rapprochés de la planète géante et de certains de ses satellites. A trois reprises entre le 28 décembre 2000 et le 1er janvier 2001, alors que Galileo passait par le périjove - le point le plus bas de son orbite autour de Jupiter-, le système de prise de vues a connu des défaillances. La situation s'est à chaque fois rétablie, soit automatiquement, soit sur un ordre venu de la Terre. Cinq mois plus tôt, un incident similaire s'était déjà produit.

D’après le Dr. Eilene Theiling, directeur du programme au JPL (Jet Propulsion Laboratory), ces dysfonctionnements pourraient être la conséquence des doses de rayonnement reçues et accumulées par la sonde au cours des passages à basse altitude, là où les ceintures de radiation sont particulièrement intenses, ainsi qu'à proximité de certains satellites naturels de Jupiter, comme Ganymède ou Io, qui possèdent également un champ de radiation intense. Suite de l' article en lien
Photo : La sonde Galileo en orbite dans le système de Jupiter. Crédit NASA

Source &suite de l' article : Geoman

posté par Sphilou à 12:18 AM



vendredi

Technologie: SRO 73, le bateau du troisième millénaire

Le SRO 73 est un bateau d'avenir. Conçu pour voir le jour vers 2003, ce brise–lame devrait être à la fois bateau de sauvetage, de commando et super yacht. Machine au design racé, le SRO 73 pourra remplir trois fonctions essentielles. Bateau de sauvetage, conçu pour passer sous les vagues, il pourra mettre à l'eau des sauveteurs et récupérer des naufragés là où un hélicoptère ne pourrait pas se maintenir en vol stationnaire.

Navire de commando furtif, il rasera la mer à plus de 50 nœuds et pourra servir au transport de soldats ou de plongeurs. Le bateau existera aussi en version super yacht. Propulsé par deux hydrojets super puissants, le SRO 73 fendra les vagues selon le principe du Wave piercing, lui assurant des moyennes stupéfiantes. La société française Plessis Marin établit des devis sur mesure.

Infos complémentaires : Plessis-marin

Source : Besok

posté par Sphilou à 5:16 PM




Société: La mort en direct

Nouvelle étape dans le voyeurisme qui s'empare depuis quelques années des médias: le groupe américain Entertainment Network Inc (ENI), célèbre pour ses nombreux sites à caractère sexuel, souhaite visiblement à partir du 16 mai prochain diversifier ses activités . Comment? En retransmettant en direct dans Internet l'exécution de Timothy McVeigh, l'auteur de l'attentat d'Oklahoma City.
Mourra, mourra pas en direct? La demande d'ENI a été déposée le 21 février devant les autorités pénitentiaires américaines qui pour le moment n'ont pas encore statué sur le sort médiatique de l'extrémiste qui en 1995 a mis un terme, à coup d'explosifs, à la vie de 168 personnes.

Dans une lettre publiée le 15 février dernier par The Sunday Oklahoman, McVeigh, 32 ans, laissait lui même entendre qu'un tel spectacle pourrait être apprécié de la population. «Tout Oklahoma et les États-Unis ont été victimes de l'attentat, écrit-il. Est-ce que toute la population d'Oklahoma et du pays ne peut donc pas assister à mon exécution?»
Une invitation saisie au bond par ENI qui souhaite ainsi satisfaire les goûts morbides des américains tout en attirant dans son giron une nouvelle clientèle. La mort par injection de ce vétéran de la guerre du Golf devrait donc être diffusée sur le site VoyeurDorm.com avec un droit d'entrée fixé à 1,95$ pour, paraît-il, restreindre l'accès aux mineurs !
En cas de refus des autorités américaines d'encourager cette retransmission, les internautes pourront toujours se rabattre vers le site de l'État du Texas qui propose à ses visiteurs de consulter les derniers repas de ses condamnés à mort.
Texte rédigé par : Fabien Deglise

Source & infos complémentaires : Branchez-Vous

posté par Sphilou à 10:10 AM




Paléontologie: Le coup de dent tranchant de l’allosaure

Grâce à un outil de modélisation numérique, des chercheurs américains et britanniques ont percé un peu plus les secrets d’un dinosaure carnassier, grand chasseur du Jurassique, l’allosaure. Ce n’est pas la puissance de ses mâchoires mais le tranchant de ses dents et sa rapidité d’attaque qui permettaient à l’allosaure de rassasier son appétit, expliquent les auteurs de l’article paru dans la revue Nature datée du 22 février. Les chercheurs, dirigés par Emily Rayfield (Université de Cambridge, R-U), ont eu recours à une technique de modélisation, dite FEA (finite element analysis), habituellement utilisée dans le génie civil ou la mécanique pour mesurer les résistances des matériaux à la pression ou aux vibrations.

Un crâne d’allosaure, qui vivait il y a environ 150 millions d’années, a été reconstitué à partir d’images de fossiles. Grâce à la FEA, les chercheurs ont ensuite évalué les propriétés des os et des muscles de ce dinosaure. D’après ces calculs, les mâchoires du carnassier exerçaient une pression de 200 kg par dent environ, pression inférieure à celle d’un loup actuel, et surtout six moins forte que celle du Tyrannosaurus Rex. Mais l’allosaure compensait cette faiblesse toute relative par des dents très coupantes, qu’il utilisait comme une hache sur ses proies, au cours d’attaques éclairs. Selon les chercheurs, ce comportement est proche de celui du dragon de Komodo, une espèce de varans géants qui vit sur l’île indonésienne du même nom.

Source & infos complémentaires : Sciences & Avenir

posté par Sphilou à 7:57 AM



jeudi

270 000 ans de plus pour Nanjing !

Le crâne de l’homme de Nanjing n’aurait pas 350 000 ans mais plutôt 620 000 : une découverte qui relance le débat sur l’évolution d’Homo erectus.1 - 270 000 années de plus, pour un grand total de 620 000 : en proposant cette nouvelle estimation de l’âge qu’aurait l’homme de Nanjing, une équipe australo-chinoise relance involontairement le débat sur l’évolution d’Homo erectus. Les chercheurs ont d’abord cru que ce fossile d’un crâne trouvé en Chine avait entre 310 000 et 350 000 ans. Mais, selon Jian-xin Zhao, de l’université de Queensland, et ses coéquipiers de l’université de Nanjing et de l’Academia Sinca, ces chercheurs ont fait fausse route car ils utilisaient des instruments inappropriés.

Comme les géologues et paléontologues l’expliquent dans un numéro récent de Geology, ces premiers travaux s’appuyaient sur l’ESR, une technique qui ne date correctement que les fossiles qui ont moins de 400 000 ans. Pour reculer plus loin dans le temps, on peut toujours mesurer la désintégration de l’uranium mais... les os et les dents, poreux, ne s’y prêtent pas du tout. Que faire? Jian-xin Zhao et son équipe ont simplement utilisé la datation à l’uranium pour mesurer... l’âge des roches où était encaissé l’homme de Nanjing. Cette découverte d’un fossile chinois qui aurait entre 580 000 et 620 000 ans secouera sûrement les théories sur l’évolution de l’être humain. En effet, certains chercheurs soutiennent que c’est de l’Afrique qu’Homo erectus, il y a environ 100 000 ans, aurait « amené » Homo sapiens à l’ensemble de la planète. Mais l’homme de Nanjing, qui ressemble aux Asiatiques modernes, témoigne plutôt que des Homo erectus asiatique et africains auraient évolué en parallèle. Qui dit vrai? Seules des datations précises... permettront de trancher.
Par Anick Perreault-Labelle.
Photo: L’homme de Nanjing, découvert en 1993, serait un proche parent de l’homme de Pékin (représenté ici).

Source & infos complémentaires : Cybersciences

posté par Sphilou à 11:42 AM




Combinaison spatiale, un vaisseau miniature de survie

Véritable bijou technologique et fruit d'années de recherches, la combinaison des astronautes est à elle toute seule un vaisseau spatial miniature. Et s'avère indispensable à la survie dans l'univers hostile du monde sidéral. C'est elle qui assure la survie des sorties dans l'espace, éreintantes et pénibles et qui durent le plus souvent un minimum de 6 heures. Ce scaphandre autonome, ultra-sophistiqué d'un prix de 10,4 millions de dollars pèse 100kg ! Extrêmement encombrante, la combinaison est façonnée de 9 couches de matériaux sensées protéger l'astronaute des radiations et des fortes fluctuations de températures. Elle est équipée à la fois d'un système de pressurisation pour maintenir la pression à 1/3 de la pression atmosphérique normale. Et d'un cycle de refroidissement pour éliminer la chaleur métabolique du corps ainsi que l'humidité de la respiration.

L'astronaute dispose d'un petit écran de contrôle lui permettant à chaque instant de surveiller ses fonctions vitales (rythme cardiaque, respiration…) ainsi que son autonomie restante, le tout relié à la navette et en direct au centre de contrôle de Houston , au Texas. Dans son casque se trouve une pipette reliée à un récipient de 60 cl d'eau pour la soif. Et il porte des couches pour adultes indispensables pour ses besoins urinaires vu la longueur et la fatigue des sorties. Bébé-fœtus astronaute relié par son cordon ombilical à un système matriciel de survie. Emouvant non, ces premiers pas d'exploration spatiale ?

Source & infos complémentaires : Besok

posté par Sphilou à 11:34 AM



mercredi

Test DVD: The Patriot

1776, caroline du sud. Le conflit entre les indépendantistes et les anglais semble inévitable. Benjamin Martin, qui connaît trop bien les horreurs de la guerre ne veut pas s'en mêler. Mais quand les Anglais, aux portes de sa plantation s'en prennent à sa famille, il n'a plus le choix. Guidé par son désir de vengeance, il fera sa propre guerre et retrouvant la passion de sa jeunesse, vengera la mort de son fils, avant de rejoindre les troupes rebelles. Il y perdra beaucoup, peut-être même son identité, devenant le porte drapeau de l'indépendance américaine.

En plus d'une présentation très soignée avec menus animés et sonores, The patriot arrive sur nos platines accompagné d'un nombre assez impressionnant de bonus pour un film sorti en édition "standard", ces bonus sont pour la plupart soit doublés en français, soit sous titrés ce qui est une très bonne chose ... Suite du test , en lien
Le test complet chez Puces3d , réalisé par l' ami Fabien alias Hatred :)

Source & infos complémentaires : Puces3d

posté par Sphilou à 6:59 PM




Le conteur de l'informatique

Pierre-Eric Mounier-Kuhn est le premier véritable historien français de l'informatique

O
n l'écouterait pendant des heures. Pour un historien, c'est bien le moins que d'avoir des choses à dire. Effets de grosse voix et gestuelle comprise, Pierre-Eric Mounier-Kuhn dispense son érudition avec un vrai talent de conteur. Des dispositions qui n'ont pas dû échapper à son directeur de thèse au CNAM, Jean-Jacques Salomon (1), un des pionniers français de l'histoire de l'innovation, qui, rencontré à la fin de l'année 1999, recommandait Mounier-Kuhn comme l'un de ses plus brillants thésards. Aujourd'hui cinquantenaire, l'élève a dû aussi user de son charme oratoire pour parvenir, dix ans après le début de ses travaux, à s'imposer comme le premier véritable historien de l'informatique hexagonal.

Sa carrière commence un peu au petit bonheur de ses envies. Une licence d'histoire, l'armée et surtout une bonne idée : « J'ai pensé écrire un guide pratique du service national, une sorte de Guide du routard de l'appelé. Ce fut un gros succès commercial, le livre a été réédité près de dix fois. Vous pensez, un marché captif de 300 000 appelés par an, et j'étais tout seul sur le créneau. »

A 25 ans tout juste, le succès le prend au dépourvu : « L'attaché de presse était excellent. Il a décroché, à moi, blanc-bec absolu à l'époque, un passage chez Philippe Bouvard. » Ce premier contact au sommet avec les médias lui donne envie de continuer à œuvrer sur les ondes. Pierre-Eric Mounier-Kuhn part donc faire un peu de radio à New York.

Suite de l'article du Monde Interactif

posté par Philippe Molines à 3:07 PM




Airboard, l’aéroglisseur dans le vent

Excusez du peu, pouvoir profiter de tous les avantages d’un hovercraft avec en plus le plaisir de pouvoir le manœuvrer et d’aller vite… Dans la série des aéroglisseurs individuels et après l’Aéro DC, voici l’Airboard ! Il a vu le jour à Perth, ville centrale de l’ouest de l’Australie. Futuriste, génial à souhait, il a été présenté aux jeux olympiques de Sydney en septembre 2000. Vous pourrez y goûter, savourer les joies de la transportation et planer à quelques centimètres au dessus du sol, dès cet été. Accrochez vous ça décoiffe, nous allons décoller !

Flottant sur coussin d’air et propulsé par un moteur 4 temps, l’engin se déplace à 25 kms/heure et suit les indications de votre corps (à la façon du surf) pour virer… non de bord, mais à droite ou à gauche ! Evidemment pas conseillé en forêt, à cause des obstacles, vous l’aurez compris ses terrains de prédilections restent les terrains plats, les vastes étendues de sables, de champs, de neige…sauf l’eau, absolument interdite, qui ne supporterait pas son poids. Pour le piloter ni diplôme, ni permis, pas besoin d’être un as du skateboard, ½ heure d’entraînement et vous voilà parés pour l’aventure. Les seules conditions impératives :
-être âgé d’ au moins 14 ans,
-avoir un poids suffisamment conséquent pour imprimer les mouvements de surf à la machine,
-porter casque, lunettes, vêtements protecteurs en cas de chute,
-et respecter les consignes de sécurité prévues par le constructeur qui rendent la machine sans danger et sûre à piloter. A nous deux le vent !

Source : Nuwow

posté par Sphilou à 11:38 AM



mardi

Le quatuor Cluster dans le champ de la magnétosphère

La première moisson des données scientifiques fournies par les quatre satellites européens Cluster a de quoi réjouir les astrophysiciens. Le lancement des satellites, en été 2000, avait pour objet l'étude des relations entre la Terre et le soleil ainsi que celle du champ magnétique de la planète, la magnétosphère. Sept mois après leur lancement ils ont déjà analysé en 3 dimensions les limites de la magnétosphère terrestre. En effet les nombreuses traversées qu'ils ont effectué de la magnétopause (frontière de la magnétosphère) leur ont permis de les définir.

Ils ont également confirmé l'existence d'un bow shock ou onde de choc provoquée par le vent solaire sur celle-ci. Dans le même temps, ils ont pu analyser un autre phénomène déroutant : la formation de cornets polaires, genre d'entonnoir enchâssés dans le champ magnétique terrestre au dessus de chaque pôle.Les scientifiques espèrent que les satellites continueront leur mission et leur moisson de la même façon pendant les 27 mois restant...

Source & infos complémentaires : Besok

posté par Sphilou à 11:08 PM



lundi

Le T. Rex a mauvaise haleine

Ressucité des morts, voici que le Tyrannosaurus Rex fait trembler le sol et résonner son cri guttural dans la nuit anglaise.
La scène se passera bientôt (à partir du 17 février) au Musée d'Histoire Naturelle de Londres. Dans la galerie consacrée aux dinosaures, petits et grands pourront ouvrir leurs yeux ébahis devant un T. Rex robot aux mouvements plus vrais que nature. La bête mesurera 4 m de haut et 7 m de long. Pour pousser encore plus loin la vraissemblance, le T Rex, en ouvrant la bouche, projettera dans l'atmosphère une odeur fétide de chair pourrie .

Au choix deux parfums : dragon's breath (haleine de dragon) ou swamp (marécage). Le T. Rex robot se déplacera grâce à des capteurs qui reproduiront très fidèlement les mouvements rapides attribués à ses ancêtres. ... Steven Spielberg n'a qu'à bien se tenir !

Source & infos complémentaires : Besok

posté par Sphilou à 7:53 AM



dimanche

Entrez dans la cinquième dimension

L 'espace-temps d'Einstein est dépassé : les dernières théories se déploient dans des univers à cinq dimensions. De nouveaux horizons pour les physiciens du 3e millénaire.
Gare ! La science est en train de rattraper la science-fiction. Cinquième dimension, univers parallèles, voire multi-univers quittent l'imagination des écrivains pour se retrouver en équations sur les feuilles et les ordinateurs de milliers de chercheurs dans le monde. La fièvre est encore montée d'un cran depuis que deux d'entre eux, Lisa Randall et Raman Sundrum, respectivement au Massachusetts Institute of Technology et à Stanford, ont montré l'an dernier l'existence d'une cinquième dimension d'une taille infinie comparable à nos trois dimensions spatiales. " Le travail de Randall et Sundrum donne un développement inattendu et superbe à la théorie ", s'enflamme Brian Greene, physicien à l'université de Columbia et brillant vulgarisateur de ces nouvelles théories dans L'Univers élégant (voir Sciences et Avenir n° 645).

Pour toute la communauté de physiciens, un vrai paradis s'est alors ouvert : explication de la masse manquante et des trous noirs, nouvelle approche de l'évolution de l'Univers depuis le Big Bang, voire le pré-Big Bang. Plus quelques autres énigmes de la physique comme l'unification des forces. Fols espoirs pour les chercheurs, certes, mais coup de massue sur notre ego. Car ajouter une dimension infinie à l'Univers revient à nous écraser comme une mouche sur une table. Nous voici en effet comme " scotchés " sur une feuille de papier avec, au-dessus de nous, la possibilité d'être observés... Suite de l' article en lien

Source & infos complémentaires : Sciences & Avenir

posté par Sphilou à 1:02 PM



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