Le Retour De Star Académy...

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0 Membres et 1 Invité sur ce sujet

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Hellsing

Le Retour De Star Académy...
« Réponse #30 le: septembre 01, 2003, 15:49:45 »
Fab : Je bosse jamais le lundi  :P

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Hors ligne fabus

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Le Retour De Star Académy...
« Réponse #31 le: septembre 01, 2003, 15:51:05 »
Citer
Fab : Je bosse jamais le lundi  :P
mouarf ^_^

bon je vais faire un tour moi, j'en ai bien besoin :lol:
fab.
Dogs believe they are human. Cats believe they are God.

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Jeff

Le Retour De Star Académy...
« Réponse #32 le: septembre 01, 2003, 15:52:55 »
N'empêche, allez faire un tour dans le catalogue artistes d'Universal Music, c'est dingue le nombre d'artistes qu'ils produisent !  ^_^  http://www.universalmusic.fr/servlet/Front...tServlet?kind=7

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Pat

Le Retour De Star Académy...
« Réponse #33 le: septembre 03, 2003, 08:29:44 »
Ne parlons pas de la star académy, Belge avec son "grand" directeur Plastic Bertrand  :blink:  :angry:




Plastic Bertrand

« La Star  Academy belge sera vraiment une école  pour les jeunes. Pas comme sur TF  1 »

Interview : Marc Pasteger
Photos : Michel Gronemberger

— Qui a eu l’idée de vous engager comme directeur de la Star Academy?
— Voilà un mois que je sais que, depuis la mise en chantier de cette entreprise, mon nom circulait chez Endemol, le producteur. J’ai été surpris et flatté, parce que cela prouve que l’on reconnaît mon long parcours. Ce qui me plaît, c’est que nous allons vraiment faire travailler les jeunes, et pas seulement assurer des minutes utiles pour la télévision, comme cela s’est fait en France.



— Un investissement important en perspective?
— Oui. Trois jours de « château » par semaine, plus les émissions de prime time, ça n’a pas été simple à placer dans mon emploi du temps. Je termine un album qui sortira en Belgique à la fin de l’année, et en France au début de 2003. Et je prépare un spectacle unique au Cirque Royal, qui aurait dû avoir lieu le 15 novembre... jour de la finale de « Star Academy » à Forest National! Il est donc remis, mais pas annulé. Il sera construit autour des seize titres essentiels de ma carrière, avec rien que des duos : Jean-Louis Aubert, Yannick Noah, les Platters, entre autres. Plus cinq nouvelles chansons. Et un grand final délirant!
— Que comptez-vous apporter aux candidats de la Star Academy?
— Je suis chanteur, auteur, compositeur, éditeur. J’ai eu un label, je fais de la scène, je travaille sur le marché international... Il y a très peu de gens en Belgique qui peuvent revendiquer toutes ces expériences. Je n’ai donc pas un regard passéiste sur ce métier.
— Il y a vingt-cinq ans, si l’émission avait existé, vous vous y seriez inscrit?
— (Silence.) Peut-être, parce qu’il y a des professeurs et, donc, moyen d’apprendre des choses. J’ai bien fréquenté une académie et le Conservatoire!
— On a l’impression que, dans certains cas, la motivation pour se lancer dans « Star Academy », c’est la notoriété plus que l’apprentissage d’un métier...
— J’espère que, parmi les sélectionnés, il y en a qui, comme moi, veulent être chanteurs depuis leur enfance. Si je suis encore là aujourd’hui, ce n’est pas par hasard; ce boulot tenait de l’idée fixe. Ceux qui ne visent que la notoriété ne tiennent pas le coup. Même si ce moteur-là n’est pas nécessairement inutile, il ne doit pas être le seul.
— A la fin des années 1970 ou au début des années 1980, avez-vous pensé, même furtivement, que l’on écouterait toujours « Ça plane pour moi » au début du XXIe siècle?
— Jamais! Cette chanson a un son original, mais je croyais qu’elle passerait, comme beaucoup d’autres. Je termine une tournée en France et je me rends compte que des mômes de 8 ans connaissent « Ça plane pour moi », mais aussi « Sentimental moi », « Tout petit, la planète ». Je suis impressionné et touché. Je ne suis pas blasé du tout par ces manifestations. D’ailleurs, le jour où l’on va à un concert comme on irait à un autre boulot, il faut arrêter tout de suite. Dans mon public, il y a certes des hommes et des femmes qui me suivent depuis vingt-cinq ans, mais aussi des gosses, des minettes de 16 ans, quelques punks... C’est fabuleux! Il faut savoir que les adolescents n’écoutent en aucun cas les disques de leurs parents. Donc, ce sont eux qui effectuent une réelle démarche afin d’aller vers moi. Peut-être ai-je gardé un côté décalé et dérangeant qui me permet d’entrer dans leur univers. Je n’ai jamais conçu une chanson pour les enfants, mais ils réagissent naturellement.
— Comme les gagnants de « Star Academy » qui, du jour au lendemain, se retrouvent confrontés à la « gloire » médiatique, vous avez été, l’espace d’un tube, propulsé en deux temps trois mouvements en haut de l’affiche. Cela a été traumatisant?
— Pour les concurrents de « Star Academy », cette plongée dans la lumière peut être dramatique. Moi, je n’ai pas été fabriqué par le marketing. Au contraire : on dépensait le moins d’argent possible! Il n’y a jamais eu un franc de budget! On misait des bouts de ficelle sur mon nom, donc il n’y avait aucune pression. Mais c’est vrai que le succès est arrivé brusquement. J’allais au Conservatoire en autobus. Deux ans plus tard, je me déplaçais en Concorde. Mais, depuis toujours, je rêvais tellement de ça et j’étais tellement motivé que cet aspect-là des choses me paraissait évident.
— Un tel changement de vie a été déstabilisant...
— Oui, j’ai pété les plombs, pas tout de suite, mais plus tard. Je bossais énormément, j’additionnais les albums, je pesais 120 kilos... J’ai tout arrêté. Il faut se souvenir que, dans les années 1970, on ne faisait pas de promo par Internet et on n’envoyait pas des clips dans le monde entier! Moi, j’allais vraiment en Italie, au Japon, au Canada ou aux Etats-Unis. Les trois personnes qui s’occupaient de moi à Paris dans les radios et les télés, c’étaient des amis. Ils me défendaient à fond, faisaient le pied de grue pendant trois heures s’il le fallait. Bref, rien à voir avec les techniques de marketing que l’on pratique aujourd’hui.
— Les 120 kilos, ils étaient arrivés par le stress, l’alcool, la drogue?
— Un peu de tout... Quand on est une star internationale, on sombre facilement là-dedans. Je n’avais pas les mêmes moyens que George Michael ou Elton John, mais j’ai vécu les mêmes choses. Je ne regrette rien. Je suis allé au bout de mon rêve rock and roll. Le fait d’avoir arrêté, d’avoir ouvert une galerie d’art m’a fait du bien. Si je suis revenu, c’est grâce à un sondage de MTV. On a demandé en Europe quel artiste les téléspectateurs avaient envie de revoir. J’ai été classé numéro 1 toutes catégories. Sur la lancée de ce résultat, Universal m’a proposé une compilation, puis j’ai signé pour un album. Il n’y avait pas de ma part une volonté de me remontrer à tout prix, même si j’avais envie de renouer avec mes premières amours.
— Auriez-vous pu continuer votre route sans ce métier-là?
— Non. Il y aurait eu un gros manque. Parallèlement, j’ai toujours reçu beaucoup de courrier. Et les gens dans la rue me parlaient encore.
— Aviez-vous la hantise de perdre ces signes de reconnaissance?
— Non. Lorsque j’ai pris mes distances avec le showbiz, je voulais même qu’ils disparaissent tout de suite! Mon rêve — et je l’ai toujours — était de faire mes courses sans que personne regarde ce que j’ai dans mon panier. J’ai compris depuis que je ne pourrai pas le réaliser. Les gens qui s’adressent à moi sont très gentils. Mais cent fois par jour, cela finit par faire beaucoup.
— Que dit le courrier que vous recevez?
— « A quand un nouvel album? », « Peut-on refaire un fan-club? », « Nous nous réunissons, peux-tu venir nous voir? », etc. Je fais partie de leur vie.
— Ce qui joue aussi, c’est la mode qui profite à des artistes qui ont démarré dans les années 1970 ou 1980...
— Oui, mais même avant cela, il y avait une vraie fidélité. La mode dont vous parlez m’a amené plus de monde dans les concerts.
— Voilà vingt ans, vous avez tourné au cinéma dans « Légitime violence », de Serge Leroy. Un bon souvenir?
— Oui, j’aurais bien voulu continuer. Mais il s’agit de deux métiers différents, deux univers bien distincts. Les professionnels de l’un et de l’autre ne se côtoient pas, ne vont pas dans les mêmes endroits. J’aurais dû prendre un agent, opérer des choix. Mais je suis avant tout un musicien.
— La page est tournée?
— Pas nécessairement. On m’envoie encore des scénarios.
— Quels genres de rôles?
— Des contre-emplois. Dans un court métrage, j’ai joué un gangster à la Travolta, et cela m’a beaucoup plu!
— On pourrait vous retrouver dans des téléfilms?
— Peut-être... Mais quand je vois la production française du style « Les Cordier, juge et flic », je me dis que ce n’est pas du tout mon truc.
— Vous ne devez pas nécessairement être le fils de Navarro!
— (Rires.) Heureusement! Mais il est vrai que le principe du personnage récurrent pour une dizaine d’histoires m’attire.
— En revanche, la télé comme animateur, vous la connaissez bien, car vous avez travaillé dans plusieurs pays au fil du temps...
— Oui, en Belgique (« Super cool » ou « Duel »), en France (« Jack Spot » et « Destination Noël »), en Italie, où j’avais mon propre show sur la RAI 2. Autant je n’aime pas la radio, autant j’adore la télé. C’est un média dans lequel je me sens à l’aise. Si, demain, on me propose un jeu dans la lignée de « Burger quiz » sur Canal +, j’y vais tout de suite.
— Vous voilà sur TVI alors que vous avez une image plutôt RTBF...
— C’est vous qui le dites...
— Vous avez animé trois émissions sur la chaîne publique, pas une seule sur la privée.
— Oui, mais à l’époque de Jean Stock, Valérie Sarn et Michèle Etzel, j’étais un pilier de RTL. Cette rivalité m’énerve.
— Elle existe pourtant plus que jamais, maintenant qu’il y a trois chaînes généralistes!
— Oui, mais moi, j’ai envie de travailler avec tout le monde. Si la RTBF avait eu beaucoup d’argent, elle aurait pu acheter « Star Academy », qui n’est pas un produit RTL.
— Non, dans l’esprit des téléspectateurs, c’est un produit TF 1...
— Mais ce que l’on va voir sur TVI n’en sera pas une pâle copie. Et je suis ravi de retrouver l’Avenue Ariane.
— Votre spectacle unique du Cirque Royal sera capté par une chaîne?
— Oui.
— Laquelle?
— Une chaîne amie...
— Vous n’avez que des chaînes amies dans votre vie?
— Exactement...
— Lorsque vous avez marqué une pause dans votre métier, ce sont vos enfants qui vous ont sauvé?
— Oui, je ne les connaissais pas. Quand je rentrais de voyage, ils se demandaient qui j’étais. Ils me regardaient en vidéo! A l’époque, ils avaient 6, 7 ans, par là. Mais, très vite, ils m’ont donné énormément.
— Aujourd’hui, ils ont 19 et 22 ans. Quel regard portent-ils sur vos activités?
— Chez moi, il n’y a pas de photos professionnelles ou de disques d’or. Ils sont au courant de ce que je fais et ils ont du respect pour cela. Un jour, ma fille m’a appelé de Nouvelle-Zélande. Elle était sidérée parce que le clip « Ça plane pour moi » passait sur un écran géant dans la soirée où elle se trouvait! Ma fille fait du hockey professionnel et va s’inscrire aux Pays-Bas dans une Business School. Mon fils, lui, s’est orienté vers l’architecture et le design. Bref, deux univers bien éloignés du mien...

 :blink: Le ridicule ne tu pas ..... heureusement  :lol:

 :bye:

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Hors ligne Tekiro

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Le Retour De Star Académy...
« Réponse #34 le: septembre 03, 2003, 12:59:53 »
:lol:  :lol:
Ubi amici, ibidem opes. (Plaute)
Là où sont les amis se trouvent les richesses.
Teksite
"Le sourire n’est qu’un rire qui se sous-estime" Sentis Dominique