pour moi il est inconcevable que je devienne un assassin même avec l'aide légale de la justice
je ne vaudrai pas plus que celui qui à commis cet atrocité
je ne vaudrai pas mieux que lui
Si l'assassin est celui qui empêche de nuire à un criminel, alors effectivement, la planète ne tourne plus dans le bon sens.
Heureusement le ridicule ne tue pas, regardez ci-dessous
Carine Russo, maman de l'une des victimes de Dutroux est convoquée au Tribunal, accusée de diffamation. C'est le monde à l'envers: de victime, on devient l'accusé, alors que le procès de l'assassin tarde à se dérouler.Bon alors on reste là et on attends
On attends encore combien de victimes
Ou alors il faut proposer une alternative comme plus haut avec déjà des résultats
CES "FASCISTES" DE SCANDINAVES
C'est marrant, en Scandinavie, par exemple, ils n'ont pas peur d'être "fascistes": ces peuples barbares (ou plutôt leurs gouvernants) n'hésitent en effet pas à avoir recours, depuis des années, à ce qu'ils appellent la "castration chimique". Et avec de sacrés bons résultats en ce qui concerne la récidive: alors que,
chez nous, près d'un délinquant sexuel sur deux finira par recommencer ses petits jeux après sa sortie de prison, chez nos voisins Vikings, ce chiffre tombe à un sur dix. Étonnant, non ? Bien sûr, il s'agit sûrement d'un pur hasard...
Pourtant, c'est pas bien méchant, la "castration chimique". Que madame Guigou et ses camarades se rassurent: il n'a jamais été question de couper les couilles aux malheureux délinquants et criminels concernés - quoique cette envie puisse légitimement tenailler beaucoup de monde, soit dit en passant.
Il ne s'agit en fait ni plus ni moins que d'un traitement médicamenteux, administré par injections régulières ou comprimés à avaler quotidiennement, qui réduit à néant les pulsions sexuelles. Le processus est réversible, c'est-à-dire que, dès lors qu'on l'arrête, tout revient comme avant. Et encore, il n'est pas mis en oeuvre systématiquement, mais uniquement sur les "patients" hermétiques à toute psychothérapie.
Voilà. C'est tout, et ça marche très bien chez ceux qui ont adopté le procédé. C'est à dire que le but essentiel est atteint: soigner, et éviter la récidive. Grâce à la "castration chimique", la société est mieux protégée.
Mais, évidemment, cette thérapeutique est bien trop primaire, expéditive et barbare pour être appliquée dans cette belle démocratie éclairée, fondatrice des Droits de L'Homme - et du Criminel, en l'espèce - qu'est la France.
Allez, vous avez raison, madame Guigou. Conservons, coûte que coûte et dans tous les domaines, cette fabuleuse "exception française" dont le monde entier se gausse, et n'appliquons surtout pas les recettes qui marchent !