un nouveau mur se construit .
Soutenu par 33 pays, Israël espère éviter la CIJ
Le gouvernement d'Ariel Sharon a indiqué, dimanche, qu'il bénéficiait du soutien de 33 pays, dont le Canada, dans son combat pour convaincre la Cour internationale de justice (CIJ) de renoncer à statuer sur la légalité du mur de sécurité.
Parmi les pays qui ont émis leurs réserves sur l'intervention de la CIJ dans ce dossier, figurent, notamment, les États-Unis, la plupart des pays de l'Union européenne (dont la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne) et la Russie. Israël affirme que «ces États estiment que le dossier de la clôture de sécurité étant un sujet politique, la Cour de la Haye n'est pas habilitée à se prononcer».
La CIJ a été saisie par l'Assemblée générale des Nations unies qui a voté le 8 décembre 2003 une résolution lui demandant de se prononcer sur les conséquences juridiques de la construction du mur, aussi appelé «ligne de séparation» ou encore «clôture de sécurité».
Elle doit examiner ce dossier, à compter du 23 février, à la Haye, aux Pays-Bas. Ses «avis» ne sont pas contraignants et ne font en aucun cas office de loi.
suite de l'articleIsraël dénie toute compétence à La Haye sur le mur de sécurité
Soutenu par les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, Israël a officiellement contesté vendredi le droit de la Cour internationale de justice (CIJ) à statuer sur la légalité de la barrière de sécurité qu'il construit en Cisjordanie.
"Nous considérons que la cour ne devrait pas et ne peut pas traiter de cette question politique, qui doit faire l'objet de négociations directes entre Israël et les Palestiniens", a annoncé un responsable du ministère israélien des Affaires étrangères après l'envoi du contre-argument israélien à la cour de La Haye.
suite de l'articleà part la cour internationale de justice (cij) qui pose la question si ceux mur est légal , la plupart des pays ne contestent pas cette construction mais seulement son parcours géographique
on est reparti pour commettre une nouvelle fois la même erreur
à quoi sert d'enseigner des notions d'histoire si on ne s'en sert pas pour rectifier et ne pas reproduire les erreurs passées