Je v te raconter mon cher padawan Ashura une petite histoire.
Jadis dans de lointaines contrées vivait un jeune homme, celui-ci naquit dans ces terres hostiles, baignées de sang, ravagées par les guerres ou monstres et tyrans abonde.
Ce jeune homme à la carrure modeste, au visage sympathique n'inspirait au premier abord que la confiance. Celui-ci conscient de ces atouts projetait simplement de devenir un habile marchant: détournant comme il se dois la vérité pour en faire son profit.
Mais malheureusement le destin est capricieux et joue de bien pénible tour. Une nuit de lune, il se réveilla en sursaut. Des cris, des hurlements lui déchirer les tympans. Un bataillon monstre mettait la ville à feu et à sang. Dans les rues gisais des citadins mutilé, paniqué il se dirigea vers la maison familiale pour y trouver refuge.
Tapis dans l'ombre il avançait prudemment cacher dans l'ombre des ruelles. En cour de route ils des flots de monstres se déversaient dans la vie ce jetant sur tout être vivant.
Puis il aperçu son jeune frère devant sa maison, entouré des petits monstres un mélange sanglant de rongeur et de reptile. Le petit garçon faisait face l'un des monstres avec son épée de bois, qui paraissait bien ridicule fasse à crocs acérés de ces attaquants. Il chargea tête baissée l’un des monstres. La créature esquiva l'enfant avec zèle et le fit trébucher.
A ce moment la notre héro cria pour attirai les monstres, ceux-ci le regardèrent avec dédain et se jetèrent sur l'enfant...son tour viendra.
Cette vision d'horreur marqua notre héro son sang ne fit qu'un tour il ramassa un morceau de bois de charpente d’une maison détruite qui devait pesait une cinquantaine de kilo et fonça droit sur les monstres, il ne se contrôlait plus il ne réfléchissait plus il ne pensait qu'à une chose TUER TUER TUER.
Rapport du soldat Artur Compoton:
Tôt le matin, nous avons pénétré dans la ville si l'on peut dire. Vu les restes celle-ci, cela ressemble plus à une ville fantôme car sa population a été presque entièrement décimée par les rôdeurs que nous poursuivions.
Toute fois nous avons trouvé un survivant au cœur meme de la ville, celui-ci était entouré de cadavre de rôdeur et de créatures diverses.
Cet homme était assis par terre, il était couvert de sang et tenais un morceau de bois. Un de nos camarades se moquant de son allure, alla à sa rencontre d’un air nonchalant. A peine celui-ci fut il a la porté du jeune homme que celui-ci ce retrouva sans tête. Ce frêle civil avait chargé le lieutenant Willian et l'avait frapper à la tête avec cet énorme morceau bois.
En y repensant vu le poids du morceau de bois et l'élan aidant, il y est normal que le pauvre Willian est perdu la tête, lui qui allait ce marier, lui qui allait ce faire passer la corde au coup...
Sitôt le corps de Willian touchait le seul que nous avions déjà encerclé le jeune homme, épées sorties prés à l'embrocher, mais la voie du sergent se fit entendre. Lui qui avait vu le meurtre à l'instant ordonna qu’on le capture sous prétexte qu’il était sous doute le seul survivant. Ce que nous fîmes mais cette saleté nous à tout de meme à moi et mes collègues données du fils à retordent: mes cottes s'en souviennent encore...à suivre si j'ai la motive.
Alors les petits jeunes vous voyez c données à nimporte qui decrire des zolies choses alors pas la peine de faire les leches bottes