petit extrait de son premier jet sur la fic en coop de DMC3.
Intro :
La Séance d'entraînement avait été rude, et la fille alla s'abattre sur sa paillasse. Elle repensa à la façon dont elle était arrivée au château.
Elle se revoyait, étendue au milieu d'une clairière. Elle s'était relevée, avait épousseté ses vêtements. Elle avait mal partout... Elle re-regarda ses habits. Mais bon sang, qui lui avait mis ça? Elle était prête pour aller se prostituer! Elle avait un bustier, qui lui remontait la poitrine (et accessoirement, l'empêchait de respirer), et s'arrêtait au-dessus du nombril, et un pantalon à la taille si basse que s'en était à se demander si on pouvait encore parler de taille. Les cuissardes étaient plutôt à son goût par contre, pratiques, on voyait qu'elles auraient pu marcher des millions de km avant de donner le moindre signe de fatigue. Elle continua l'examen de sa panoplie... un fouet, une corde, et le poids dans son dos.. une épée et un sac. Elle l'ouvrit et y découvrit beaucoup de sachets pleins de poudres et d'herbes bizarres (elle pourrait tenter d'en laisser fermenter, il y aurait peut-être du houblon dans le lot!), le sac recelait de milles autres trésors, des allumettes, un couteau, et même de la viande séchée et de l'eau!
Ne sachant où aller, elle ferma les yeux et tourna sur elle-même jusqu'à en tomber par terre, et décida qu'elle irait toujours tout droit devant elle. Elle marcha pendant des heures dans le silence (relatif) de la forêt sans rencontrer âme qui vive, à part ces pu....naise (!!!) de moucherons et autres sa...letés volantes!
Crevée, elle s'octroya une pause, et but un peu d'eau. Elle s'endormit comme une masse, en se promettant de se relever au bout d'une heure.
Quel est le con qui osait lui tripoter les fesses?! Elle se releva d'un bond en assenant une grande claque à l'endroit où aurait dû se trouver la tête de l'impudent, mais sa main ne rencontra que du vide. Elle avait effrayé un lapin.
Elle vit que la nuit était quasiment tombée. Elle maudit encore une fois le (ooooh regardez la langouste qui vole, ce passage est censuré!) qui lui avait mis ces fringues pourries, elle était morte de froid! Il était hors de question de repartir de nuit, alors elle ramassa quelques vieilles branches qui traînaient là, et tenta d'allumer un feu. Arrivée à la moitié de ses allumettes, notre charmante demoiselle décida que de toute façon, il ne faisait pas si froid que ça. Elle était frigorifiée et son ventre se rappela à son bon souvenir. Alors elle dévora sa viande, avant de se rendre compte l'idiote, qu'elle avait tout mangé, comment allait-elle faire le lendemain? Demain serait un autre jour, rassurée (ou presque), elle se rendormit.
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voila.