Aller ça faisait longtemps, alors je vous offre la suite de aventures de Roy dans la paisible vilede Silent Hill. J'espère que vous allez apprecier.
Chapitre 4
Roy était bientôt sortie du Parc, il pouvait voir la pancarte qui l’indiquait. Il passa à coté d’un dernier jardin sur sa droite, celui-ci était différent des autres car il possédait en son centre une statue d’une femme qui prie. La mélancolie qui s’en dégageait rendait Roy encore plus triste. Il resta là pendant quelques minutes, voir plus il n’en savait rien, la seule chose dont il était sûr c’est qu’il contemplait la statue sans pouvoir détourner le regard. Il était comme hypnotisé. Pourtant un bruit le réveilla, il brandit sa batte en se retournant. Ca venait du parking qui se trouvait à 10 mètres de lui et qui était entouré de grillage. Il décida d’aller voir, c’est peut-être Maria pensait-il. Il s’approcha du grillage et regarda à travers, mais le brouillard l’empêchait de voir la source du bruit. Il marcha le long du grillage sans pouvoir entrer dans le parking.
Il rejoignit la route, il se trouvait désormais de l’autre coté du trou, comme il l’avait prévu. Il vit aussi une ouverture dans le grillage avec une pancarte.
« Parking gratuit ouvert au publique 24/24 »
Il rentra donc et essaya de faire le moins de bruit possible pour pouvoir repérer le bruit. A sa grande joie il le réentendit et s’approcha de ce qui semblait être la source. Au bout d’un moment il l’entendis distinctement et vit qu’il venait d’une voiture rouillée avec la porte conducteur ouverte. Il se trouvait devant la voiture et put voir des pieds noirs qui dépassaient de dessous la porte. Il prit sa batte prêt à frapper et s’avança vers la voiture. Tout à coup la chose qui se trouvait à l’intérieur s’arrêta, Roy se stoppa à son tour pétrifié. Il coupa sa respiration de peur de se faire repérer. Il entendis à nouveau du bruit dans la voiture et se remis à marchait mais accroupi pour ne pas se faire voir à travers le par brise. Il était tout près, il se jeta de l’autre de la portière brandissant sa batte. Il y avait un homme allongé dans la voiture, Roy ne fit pas trop attention à lui mais plutôt au semi-automatique que ce dernier tenait pointé vers Roy :
-Toi t’aurais jamais du faire ça, expliqua l’homme.
Dans un geste réflexe, Roy ferma la porte de la voiture. L’homme lâcha immédiatement son arme, recroquevilla ses jambes et ses bras dans la voiture. La porte claqua fortement ce qui fit tomber le par choques avant de la voiture. Roy ramassa le pistolet qui était tombé à ses pieds, avant de rouvrir la porte et de menacé l’homme avec sa nouvelle arme :
-C’est bon, calme-toi, fit l’homme en esquissant un sourire et en levant les bras.
Il avait les cheveux rasé et portait un T-shirt blanc noirci à certains endroits dont les manches avaient été arrachés ce qui montrait des bras impressionnant de musculature. Il portait un anneau à l’oreille gauche.
-T’es qui toi ? demanda Roy un peu nerveux
-Stan Jester, enchanté, mais appelle moi le guépard. Il avait dit ça très calmement comme si c’était lui qui avait une arme. Il tendit sa main vers Roy qui ne bougea pas, fixant son arme vers le crâne de Stan. Et toi ?
-Roy, et peu importe mon nom. Répondit-il très vite. Il vit des fils qui pendait sous le volant. Qu’est –ce que tu fais ?
-Ben un barbecue, répliqua Stan d’un air incrédule. Tu veux un steak ?
Roy se montrait plus menaçant.
-OK ! Tout d’abord, tu vas poser ça, Stan montrait le pistolet, si tu veux, je peux même te dire où il y a des munitions. Avec son pouce il montra derrière dans la boite à gants ouverte qui était empli de cartouche. D’ailleurs, c’est dans cette voiture que je l’ai trouvé. Et puis, je suis même pas armé alors tu veux que je fasse quoi ?
Roy sembla réfléchir un peu, puis il baissa doucement son arme mais la garda fermement dans sa main, pointée vers le sol.
-Bien, s’exclama Stan d’un air joyeux. Je suis un pilote des rues, je fais des runs la nuit. Bien sur c’est interdit mais c’est là qu’on rencontre les vrais pilotes, ceux qui savent conduire, parce que sur une piste… Voyant le regard de Roy qui n’avait pas du tout envie de savoir les qualités d’un pilote des rues, il décida de faire court. Bon on a fait un run qui aurait du me propulsé à la gloire. Ca aurait été ma 100ème victoire d’affilée et … Ok, je reprends donc on à fait ce run, et là les flics ont rappliqué. C’est les risques mais d’habitude ils arrivent après la course, là ils sont intervenus pendant ces cons. S’ensuit une putain de course poursuite à travers la ville puis sur la route. Tu parle que je les ai semés, j’ai donc décidé de prendre une sortie. Sur la route qui arrive jusqu’ici, le drame, mon pneu avant qui éclate. Je perds le contrôle de ma caisse qui se dirige droit dans le fossé mais avec la vitesse je te fais un ou deux tonneaux (voir plus). Quand je me suis réveiller j’avais presque rien, heureusement que j’avais gardé toutes les sécurités. Mais bon la caisse était morte ! Stan était comme triste. Putain de bagnole, une GTO Twin turbo toute refaite, elle était magnif… Roy semblait perdre patience. Donc ma bagnole bousillée, je me mit à marcher sur la route en direction de cette putain de ville croyant trouvé quelqu’un qui m’aiderait. Je me retrouve avec des monstres dans tous les sens. Quand j’ai vu ce parking je me suis dit « c’est ta seule chance faut la prendre » j’essaye donc de volé une voiture pour me casser de là, mais elles sont toutes nazes. Faut qu’on se taille d’ici à deux on y arrivera sûrement !
-Non j’ai ma copine qui est dans cette ville. Je peux pas la laisser dans cette ville toute seule.
-T’es fou, tu veux te faire buter, Stan c’était levé. Et puis elle sera pas toute seule il y aura ses amis les monstres !!!
-Si t’as pas envies, c’est pas grave. J’irais tout seul.
-Ok, c’est bon ! Je préfère me faire buter accompagné que tout seul.
Il se leva et commença à partir, Roy prenait les cartouches dans la boite à gants et se mi à hauteur de Stan. Il était plus confient car maintenant il n’était plus tout seul. Les deux hommes marchèrent vers la sortie du parking.