Leur folie, notre passivité

  Tandis que nous sommes là, englués dans nos petits soucis et nos petits plaisirs d'enfants gâtés, le monde plonge chaque jour un peu dans une folie dont on peut craindre l'issue...

Entre colère, tristesse et résignation, nous préférons souvent tourner la tête, penser à autre chose... Mais jusqu'à quand ?

Et déjà des voix qu'on espérait ne plus jamais entendre en Occident depuis l'horreur du milieu du XXe siècle se font à nouveau la part belle de nos craintes. Depuis la nuit des temps, la folie répond à la folie... Est-ce inéluctable ?

Alors en sommes-nous réduits à jouer les "Romains de la décadence" ? Jouir de l'instant, noyer notre peur dans l'ivresse d'une insouciance festive ? La question vaut d'être posée...

 

dans la " folie " je ne sais pas ! dans une répression , beaucoup plus !!!  l'enfant gaté que je suis dira que c'est cyclique  àprès le beau temps vient la tempète 

l'humain à beaucoup de mal à faire dans la demi-mesure 

on dit que communiquer apporte(ra) la paix , ces attentats montre que la communication peut se retourner contre nous .

le désirs est peut être notre ennemi (inavoué) mais notre envie (de partagé) doit être notre bouée de secour 

 

C'est bien malheureux mais ... L'humain a toujours trouvé des raisons de se haïr
... Moi même je supporte mal les gens qui porte des cravates bleu

Excusez la trivialité de ma réponse...
mais la bitte ne fait pas le moine
(Moi qui connut le privilège militaire d'être bleu bitte, aujourd'hui mon noeud papillonne!)
 
Néanmoins, je suis d'accord
je déteste aussi ce boeuf qui cravate !