Désolé mon Teki, mais cet article n'apporte aucune information à part voir que les financements en France se concentrent sur trois poles sur Grenoble, Saclay et Toulouse.
Se contenter de dire, oui c'est dangereux ou non ce n'est pas dangereux est inutile
Pourquoi, comment? Est-il réellement alarmant de faire des études sur la toxicité des nanoparticules (et non des nanotechnologies)?
Les gens qui trouvent ces technologies dangereuses vont-elles jeter leur téléphone portable? Que de grandes questions!