Café Du Web - Forums
La terrasse CafeDuWeb => Blah Blah => Discussion démarrée par: esperluette le mars 13, 2006, 12:31:14
-
Après la rubrique lecture, je réactive le ciné :D
Mercredi, je suis allée voir Toi & moi (avec Julie Depardieu, Marion Cotillard...) un film culcul mais rigolo qui joue à fond sur les clichés. C'est distrayant.
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=61313.html
Et samedi, Syriana
Très bon film qui vient nous rappeler (si c'était necessaire) que nous sommes tous des pantins au service du fric et du pouvoir. On en sort déprimé et en colère mais avec l'envie renouvellée de ne pas courber le dos... ça c'est un film positif, selon moi.
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=55415.html
-
hier soir, "Les memoires d'une Geisha", excellent, j'avais un peu peur car les critiques etaient mitigées mais ca m'a beaucoup plu. Une tres belles présentations de la carriere de Geisha.
-
Dans la serie Michey aime le cinema joyeux j'aimerai les dvd du week-end:
The assassination of Richard Nixon.
Un film lent, lent comme la descente au enfer d'un naufrage du systeme. C'est ce que nous propose ce film. Sean Penn ajoute une cicatrice de plus a ses personnages d'ecorché vif. Une fin edifiante. On ne peut s'empecher de faire des paralleles avec Taxi Driver.
Snake Eyes (Abel Ferrara)
Surprenant et noir. Un film sur le tournage d'un film. La grande famille du cinema version trash. Cinema realite, fiction on ne sait plus ce qu'on regarde. Tout se melange et tourne. Un film derangeant.
Cote salle Syriana. J'ai deja dit tout le bien que j'en pense sur le site.
-
Syriana :wub: bien aimé aussi :)
-
L'intrus avec John Travolta (en DVD), très bien :oui: même s'il y a toujours un cocktail amour, fric, trahison & violence :rolleyes:
-
En DVD : Batman Begins :powa: Vraiment excellent :bravo:
-
underworld évolution http://www.sonypictures.com/movies/underworldevolution/
(http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/18/35/86/12/18475388.jpg)
C'est la suite du 1er :lol: pour rappel ; suite d'une lutte millénaire que se livrent Vampires et Lycans qui est sur le point de connaître un tournant décisif...
bien aimé , pour une suite il s'en sort pas si mal que çà :D le premier (que j'adore) était très lisse . le 2ème est plus brut dans son écriture et sa réalistion . c'est une des seule chose que l'on peut lui reprocher . l'autre :wub: il a voulu rendre les lougarous plus méchants ce qui les a rendu moins beaux :siffle
dérapage
(http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/18/36/06/06/18469622.jpg)
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=57996.html
sans trop de surprise , peut être un peut trop de retenue ;)
l'ivresse du pouvoir
(http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/18/36/02/68/18468945.jpg)
déception , trop caricaturale :( texte et jeu d'acteurs ne suivent pas
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=60027.html
si il y a un qui me donne envie d'aller voir (il sort mercredi) c'est renaissance :) sa bande annonce est très prométteuse ^_^
(http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/18/35/79/24/18475898.jpg)
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=17344.html
-
C'est clair, Renaissance me semble fantastique. Tout comme Underworld Evolution :powa:
Vivement la sortie en vidéoclub pour :tv: :langue:
J'ai bien aimé Le Transporteur2 en DVD :oui:
-
bah !!! renaissance zé bien aimé :)
revu en vidéo dogma :D zadore
-
bah !!! renaissance zé bien aimé :)
revu en vidéo dogma :D zadore
j'ai bien envie de le voir renaissance moi aussi :)
Dogma, tres tres drole :D
-
Ce week-end, je suis allée voir La Doublure avec Dany Boon et Gad elmaleh...
Au début, pour être honnête, je n'étais pas trop motivée. Mais finalement, j'ai passé un bon moment. Ce n'est pas le film du siècle mais j'ai bien rigolé.
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=59303.html
Sinon, j'ai bien envie d'aller voir le film de Dupontel, Enfermé dehors et j'attends la sortie des Brigades du Tigres (je crois en plus qu'on y parle de la bande à Bonnot)
-
zai été voir enfermé dehors :)
Albert :D a voulu faire un hommage à chaplin :wub:
çà se voit , se ressent et s'apprécie :powa:
-
Ce week-end, je suis allée voir La Doublure avec Dany Boon et Gad elmaleh...
Au début, pour être honnête, je n'étais pas trop motivée. Mais finalement, j'ai passé un bon moment. Ce n'est pas le film du siècle mais j'ai bien rigolé.
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=59303.html
Sinon, j'ai bien envie d'aller voir le film de Dupontel, Enfermé dehors et j'attends la sortie des Brigades du Tigres (je crois en plus qu'on y parle de la bande à Bonnot)
comme toi , j'ai vu "la doublure" , j'ai beaucoup aimé , mélange d'humour et de sensiblité ....les deux autres films dont tu parles , je vais aller les voir très vite ... :shifty:
-
zai été voir enfermé dehors :)
Albert :D a voulu faire un hommage à chaplin :wub:
çà se voit , se ressent et s'apprécie :powa:
ha celui la je vais pas le louper j'adoreeeeeeeeeeeeee!!!!!!!!!! dupontel; ce mec est carrement decaler
tien a propos je vous conseil "monique" un film delirant qui est sorti deja depuis pas mal de temps mais qui est absolument genial !!
-
j'ai été voir "l'age de glace2"
ce dessin animé fait le regal des petits et des grands :bravo:
a noté qu'a la fin du dessin animé les spectateurs on applaudits :wub: c'est tellement rare de dire merci comme cela quand on nous a fait plaisir :wub: :bravo: :powa:
-
Secrets d'Etat (sortie en location ce mois et en vente le mois prochain) avec Sharon (Stone :rolleyes: ) sur la vie d'un couple pris dans l'espionnage durant la guerre froide. Pas si bien que ça :rolleyes:
Mais très révélateur des systèmes en place à l'époque :hum:
-
"Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés " la souffrance au travail
documentaire
Banalisation, individualisation, supression de collectif de travail, on nous isole, IGNORANCE, PEUR , HARCELEMENT
Plus qu'un simple probleme INDIVIDUEL mais social et poilitique
inspiré du livre de christophe dejours Souffrance en France
Je ne pourais plus dire que je ne savais pas , amene à la reflexion, à nos valeurs, ... la situation est grave , mais comment agir ??
"qui veut un citron stressé? heu préssé" :peur:
-
Tout simplement en soutenant ceux qui veulent vraiment changer ça ... mais aussi en étant objectif et en ne généralisant pas :huh:
-
Film plus léger pour ma part : Les Brigades du tigre, avec de beaux costumes, des vieilles voitures, de l'action... bref, distrayant :D
-
Aviator, en DVD, vraiment excellent :oui: :powa:
-
Jean Phillipe avec Johnny et Luchini mouais sans plus pourtant l'idée etait sympa.
Les prochains: L'age de glace et Dupontel
-
Jean Phillipe avec Johnny et Luchini mouais sans plus pourtant l'idée etait sympa.
Les prochains: L'age de glace et Dupontel
l'age de glace c'est :powa:
mais faut le voir en V.O. :oui:
-
Et tout le travail de doublage ? :calimero:
-
Jean Phillipe avec Johnny et Luchini mouais sans plus pourtant l'idée etait sympa.
Les prochains: L'age de glace et Dupontel
l'age de glace c'est :powa:
mais faut le voir en V.O. :oui:
J'ai adoré le premier le deuxieme volet ne devrait pas me decevoir :bye: :bisous:
-
inside man ! l'homme de l'intérieur http://www.allocine.fr/film/fichefilm.html?cfilm=60285
(http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/18/36/23/85/18479912.jpg)
pas mal du tout :powa:
-
inside man ! l'homme de l'intérieur http://www.allocine.fr/film/fichefilm.html?cfilm=60285
(http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/18/36/23/85/18479912.jpg)
pas mal du tout :powa:
mieux que pas mal , excellent !
-
je pense que je vais aller le voir aussi
-
V comme vendetta http://www.cafeduweb.com/modules.php?name=Reviews&rop=showcontent&id=439
(http://www.cafeduweb.com/images/uploader/vendetta.jpg)
bien aimé :) petit faible pour natalie portman :wub:
oss 117 http://www.oss117.org/
(http://www.oss117.org/images/news/news_20060422.jpg)
http://www.oss117.fr/oss.htm
petit à petit , on rentre dans le film et on se laisse prendre au jeu :D
-
inside man ! l'homme de l'intérieur http://www.allocine.fr/film/fichefilm.html?cfilm=60285
(http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/18/36/23/85/18479912.jpg)
pas mal du tout :powa:
mieux que pas mal , excellent !
:powa: bien aimé aussi. L'intrigue et le scénario sont drôlements bien ficelés. J'en viens à me demander pourquoi les cinéastes, qui ont autant d'imagination, ne se mettent pas à faire des casses de banques ? :P
-
Les Brigades du tigre.
Divertissant, le debut est plutot agreable a voir, la fin est un peu longue avec des scenes sans interet pour l'histoire. La belle est la bete, la bete est matee. Certainement pas le film du siecle mais on ne s'y ennuit pas. Du grand spectacle c'est ca aussi le cinema.
-
Jean Phillipe avec Johnny et Luchini mouais sans plus pourtant l'idée etait sympa.
Les prochains: L'age de glace et Dupontel
l'age de glace c'est :powa:
mais faut le voir en V.O. :oui:
J'ai adoré le premier le deuxieme volet ne devrait pas me decevoir :bye: :bisous:
On vient également de voir le 2. On avait adoré le premier mais on a trouvé le 2 encore mieux!
Half
-
était voir silent hill http://www.silenthill-lefilm.com/site.html
(http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/18/36/09/80/18479339.jpg)
Synopsis http://www.allocine.fr/film/fichefilm.html?cfilm=54015
bien aimé :wub: le mélange des cultures fait du bien , c'est un film américain, japonais, français.
en entract :D Les Enfants du pays
(http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/18/60/03/70/18608519.jpg)
Synopsis http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=61446.html
ce laisse gouter :wub:
en dvd , conspiracy
(http://images.ciao.com/ifr/images/products/normal/570/product-533570.jpg)
synompsis http://www.ciao.fr/Conspiracy_DVD__533570
comment arriver à valider un génocide à un tout un peuple en une seule réunion
:ph34r:
-
Tres bon film Conspiracy.
(http://www.cmoincher.fr/home/photos/article-1-LES%20FRERES.jpg)
Hier soir, petit DVD, Les Frères Falls de Mark & Michael Polish. Une histoire d'amour entre des freres siamois et une belle de nuit. Ici pas de miserabilisme, de cruaute ou de crudite, le film reste pudique et intimiste et se concentre sur la rencontre, l'union et la fusion. Quelles impressions ca fait d'etre en permance colle a un autre? Comment repondre quand on a connu que ca? Comment se rapproche de l'un quand il reste colle a l'autre? Pourquoi les regards curieux des autres sur sa propre normalite? C'est une histoire d'arbre, un arbre ecartele par le vent.
Les 45 premieres minutes sont de toute beaute, la mise en scene soignee oscille entre realite et metaphore ensuite le film s'essoufle maison lui pardonne c'est un premier film.
-
Le DVD de Collision, regardé hier soir, m'a frappé. Un direct comme on n'en a pas souvent. A voir :oui:
-
Le DVD de Collision, regardé hier soir, m'a frappé. Un direct comme on n'en a pas souvent. A voir :oui:
oui c'était vraiment un film GENIAL, j'ai adoré !
-
Mad Cow de Sara Sugarman
Une histoire loufoque de gens mal-assumisant: qui de sa maternite, qui de son age, qui de son esprit conservateur... J'ai apprecie le debut du film, et puis a comedie s'essouffle pour arriver sur un finish hors d'haleine. Mais la realisation est tres soigne, beaucoup d'effet de post-production mais sans exageration, ca reste touours sympatique sans tomber dans la realisation de television. Tres british dans l'esprit, on retrouve un debut que ne renierait pas Tom Shape. Dommage que la fin soit si baclee.
-
OUBLIER CHEYENNE (http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/18/35/83/03/18603169.jpg)
:bravo:
Une belle histoire d'amour entre deux femmes, l'une journaliste en fin de droit decide de partir vivre à la campagne et refuse toute aide ....
-
pour se changer les idées après l'examen
OSS 117, le Caire nid d'espions
Même si je n’ai pas ri à gorge déployée, j’ai beaucoup souri à la performance de Jean Dujardin, excellent dans cette parodie de James Bond, la caricature est poussée à l’extrême, Dujardin ressemble à Sean Connery (jeune) comme un clone. Le film est à prendre au second degré, du début à la fin. Une bonne surprise également est la reconstitution des années 50, bravo aux décorateurs.
L’histoire, comme les acteurs, ne se prennent pas au sérieux. On passe un moment distrayant.
Pour les passionés d’histoire du cinéma (dont je suis), on peut rappeler qu’OSS 117, héros de Jean Bruce, avait déjà été porté à l’écran dans les années 60 (OSS 117 se déchaîne, Banco à Bangkok pour OSS 117, Furia à Bahia, etc) – en tout, 7 romans avaient fait l’objet de films d’action mais sérieux ceux-là, non parodiques, dont le tout premier fut « OSS 117 n’est pas mort » tourné en 1956 et dans lequel on retrouvé une série d’acteurs français célèbres du moment.
Les autres titres eurent un certain Frederick Stafford, dans le rôle de l’espion et à chaque fois, des metteurs en scène connus s’y collèrent, tels Michel Boisrond ou André Hunebelle, pour ne citer que ceux là.
Les actrices qui donnèrent la réplique à Stafford furent entre autres Marina Vlady ou Mylène Demongeot et même Edwige Feuillère.
OSS 117 était la réponse française à l’engouement des James Bond, mais ne rencontra jamais le même succès.
Au programme prochain des films à voir (du moins par moi)
- The Squid and the Whale
- the White Countess
- les filles du botaniste
- Factotum
- Volver
- Une fois que tu es né (italien)
- Romanzo Criminale
- Il Caïmano
- Marie Antoinette (parce que c'est un film de Sofia Coppola)
- the Merchant of Venice (parce qu'il y a Al Pacino)
- the secret life of words
- shooting dogs
-
Tu nous copies/colles ta critique pour le site ? :siffle :prosterne:
-
Tu nous copies/colles ta critique pour le site ? :siffle :prosterne:
bien essayé ! mais :non:
d'ailleurs mes commentaires sont beaucoup plus longs :langue:
:bisous: :bisous: :bisous:
-
Just.... :unsure: euh :non: je n'ai rien dit :help: :lol:
-
Tu nous copies/colles ta critique pour le site ? :siffle :prosterne:
bien essayé ! mais :non:
d'ailleurs mes commentaires sont beaucoup plus longs :langue:
:bisous: :bisous: :bisous:
éventuellement, mais faut encore que je réfléchisse et ça pour moi c'est dur, je veux bien remettre mes critiques sur le site, mais je ne veux plus que cela passe en news - c'était vraiment trop poseur ce "Niki a lu" ou "Niki a vu" - c'est comme si j'avais la science infuse, ou une opinion digne de ce nom !
au début, j'étais très flattée mais finalement cela m'a donné l'impression d'être une prétentieuse; je veux bien partager mes lectures et mes opinions sur un film, mais dans les critiques uniquement.
ok ?
si on est daco/dac là dessus, je retransmets les commentaires que je me fais pour ma petite banque de données perso et que j'envoie à ma copine aux States.
-
:oui: une vraie opinion :powa: mais c'est toi qui vois ;)
-
:oui: une vraie opinion :powa: mais c'est toi qui vois ;)
je vois quoi ? :rolleyes:
chuis plus myope qu'une taupe :lol:
-
Qui décides alors :p
-
ai été voir THE SQUID AND THE WHALE, un petit film très émouvant, une histoire de tous les jours sur des gens qui ne s'aiment plus et les enfants pris entre deux feux.
Le film a remporté le Grand Prix du Festival de Sundance en 2005, on n’en a hélas pas beaucoup parlé et c’est bien dommage. C’est une histoire très vraie, qui réellement parle à chacun de nous. C’est une histoire où personne n’a vraiment tort, ni vraiment raison, c’est une histoire de tous les jours.
-
:oui: une vraie opinion :powa: mais c'est toi qui vois ;)
daco/dac alors :oui:
si ça ne passe plus en news, je m'y re-colle :rolleyes:
je ne suis pas une déesse pour rien, j'adore jouer les divas (sur divan ce serait encore mieux :shifty: )
-
Avec un autre être divin ? :siffle
-
Avec un autre être divin ? :siffle
t'en as un à me proposer ? :huh:
-
Il a plein de cheveux :p
-
Il a plein de cheveux :p
il est mignon comme tout comme ça, défense de se moquer :chaise: :chaise: :chaise: :chaise: :chaise:
-
d'ailleurs, il n'est pas que mignon, il est beau comme tout, surtout avec sa ligne parfaite :powa:
dommage que je sois aussi vieille :P
-
D'ici quelques mois, vous allez monter ensemble une chambre d'hôtes en Bretagne ;)
-
D'ici quelques mois, vous allez monter ensemble une chambre d'hôtes en Bretagne ;)
tu t's découvert une vocation d'entremetteur ou quoi ? :blink:
-
D'ici quelques mois, vous allez monter ensemble une chambre d'hôtes en Bretagne ;)
si on monte UNE chambre d'hôtes, où qu'on les met les hôtes ? :P
-
MARIE ANTOINETTE de Sofia Coppola :powa:
Pour qui souhaite voir un docu-drame sur la Révolution française et la dernière reine des Français, je ne conseille pas d’aller voir le film de Sofia Coppola. Par contre, pour qui souhaite voir une version très personnelle sur la vie d’une très jeune fille devenant reine sans y être correctement préparée, il faut aller voir le film de Sofia Coppola.
Le « Marie Antoinette » de Sofia Coppola ne reçoit qu’un accueil très tiède à Cannes, c’est fort dommage. Versailles et ses décors sont superbement filmés, les toilettes sont magnifiques, même celles qui ressemblent à des dragées. J’aime beaucoup cet aspect kitsch du film d’ailleurs, sans oublier la musique que j’ai adorée.
Le scenario est basé sur le livre d’Antonia Fraser, historienne anglaise, ayant eu envie d’en savoir plus sur Marie Antoinette et de décrire le chemin de Vienne à Paris, sans prendre position sur ce que l’histoire a retenu de cette jeune femme, finalement femme de son temps où il n’était guère demandé aux filles de réfléchir mais seulement de plaire et d’être de bonnes pondeuses !
-
:powa:
-
X-MEN 3 : THE LAST STAND, de Brett Rattner
Les revoilà donc tous : Magneto, Wolverine, Rogue, Storm, Cyclop, Iceman, Pyro, Mystique, et même Jean Grey qui réapparaît sous le nom de Phoenix aussi rouge que l’oiseau qui renaît de ses cendres, mais ce n’est pas la Jean Grey que l’on a connu jusqu’à présent. Deux nouveaux venus aussi : Angel et Beast, à savoir le docteur Hank McCoy.
A propos, si vous n’avez pas encore visité le Golden Gate, à San Francisco, dépêchez-vous, il n’en reste pas grand’chose après le passage de Magneto.
La trilogie des X-Men se termine avec ce volet sur l’affrontement final et c’est bien dommage.
-
ma vie de cinéphile est un enfer en ce moment, j'ai encore 10 films à voir sur les 12 que je m'étais fixés - non seulement cela va me coûter un max en fin de mois :( mais qui plus est, faudrait que j'aille voir deux films par jour pour tout voir :cry:
-
les cartes cinéma (abonnement mensuel) n'éxistent pas en belgique ?
-
les cartes cinéma (abonnement mensuel) n'éxistent pas en belgique ?
si mais je ne vais pas systématiquement dans les mêmes cinémas, comme j'ai beaucoup les films d'art et d'essai, ceux ci passent rarement dans les salles à grand public.
Mais j'achète des cartes de réduction tout de même, dans certaines salles où je vais régulièrement - et puis je vais souvent entre l'heure du midi, à prix très réduit. Ce qui est dommage - et pas du tout normal - est que cette séance de midi s'arrête du 1er juin au 30 septembre sous prétexte que les étudiants sont en vacances. Et alors, les autres y vont pas au cinéma ? :angry:
-
Neverland ce matin/midi :powa: :oui: :prosterne:
-
et puis je vais souvent entre l'heure du midi
c'est quelle heure au juste ça .... est-ce entre la soupe et patattes, ou est-ce .....
oké je sors avant que .... (http://www.smiley-online.com/images/gif/forum/boulets01.gif) et que je reçois ..... (http://www.smiley-online.com/images/gif/forum/pasmalanim02.gif) et je vais faire un sièste ..... alors 1 fois ... (http://www.smiley-online.com/images/gif/forum/palmier01.gif)
-
et puis je vais souvent entre l'heure du midi
c'est quelle heure au juste ça .... est-ce entre la soupe et patattes, ou est-ce .....
oké je sors avant que .... (http://www.smiley-online.com/images/gif/forum/boulets01.gif) et que je reçois ..... (http://www.smiley-online.com/images/gif/forum/pasmalanim02.gif) et je vais faire un sièste ..... alors 1 fois ... (http://www.smiley-online.com/images/gif/forum/palmier01.gif)
exact ô rigoriste belge sur l'emploi de la parole exacte : j'eusse dû dire "A" l'heure de midi
surtout que je mange très peu de patates
-
FACTOTUM de BENT HAMER
directement inspiré de la vie de CHARLES BUKOWSKI, l'histoire de son alter ego littéraire Henry Chiniaski, qui erre dans L.A. à la recherche de petits boulots, de femmes, de clopes et d'alcool ... surtout d'alcool.
Avec en tête, une seule passion : l'écriture. Des moments glauques, de l'humour désespéré, de l'humour tout court, un excellent film et une fantastique interprétation de Matt Dillon, une de plus après "CRASH" pour lequel il a reçu un oscar de la meilleure interprétation. Lui avoir confié le rôle principal dans FACTOTUM est un trait de génie de la part du metteur en scène.
Le film donne réellement envie de (re)découvrir les écrits de Bukowski, sa désespérance, sa poésie.
-
THE SECRET LIFE OF WORDS d'ISABEL COIXET
S'il n'est pas le meilleur film de l'année, ce petit film indépendant est certainement l'UN DES MEILLEURS.
Auteure du scénario, la réalisatrice est servie par deux acteurs formidables : la jeune Canadienne Sarah Polley et Tim Robbins.
Le talent de Robbins non seulement en tant qu'acteur, mais aussi en tant que réalisateur, n'est plus à démontrer.
Sarah Polley est moins connue du grand public; il est vrai que contrairement à certaines actrices à la plastique impeccable mais au talent réduit et dont on parle énormément dans la presse "pople", Polley allie un immense talent à beaucoup de discrétion et à un physique très sympathique.
Elle est présente sur les écrans depuis de nombreuses années, mais m'a surtout impressionnée dans "THE SWEET HEREAFTER" et "EXOTICA", deux films d'Atom Egoyan.
Dans cette histoire simple d'un homme et d'une femme qui souffrent tant dans leur chair que dans leur corps, Polley et Robbins sont émouvants à souhait. Le film ne tombe jamais dans la guimauve, dans l'excès larmoyant, les personnages sont vrais, leur histoire est simple.
-
volver :powa:
(http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/18/36/09/46/18608104.jpg)
excélent :bravo: l'histoire est prévisible mais les actrices sont adorables :wub:
Comme t'y es belle ! :)
(http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/18/35/98/15/18603022.jpg)
C'est du tout cuit :D mais cela reste agréable :wub:
Zidane, un portrait du XXIème siècle :blink:
(http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/18/60/09/61/18628330.jpg)
on dira que c'était une expérience cinématographique :lol:
-
THE MERCHANT OF VENICE de Michael Radford
Inutile de le cacher, je suis allée voir ce film parce qu'il est interprété par le seul, l'unique, l'incomparable AL PACINO qui livre ici dans le rôle de Shylock l'une des plus belles performances de sa longue et excellente carrière d'acteur. C'est du grand art, jamais le juif de Shakespeare ne fut mieux interprété, mieux défendu!
Les autres acteurs sont également excellents, mais Pacino vole la vedette à tous et toutes.
Aller voir du Shakespeare, que ce soit au théâtre ou au cinéma, c'est savoir que l'on s'expose à quelques longueurs et pourtant les scénaristes "sabrent" régulièrement dans ses textes (sinon on se retrouve avec des films de six heures comme l'une des versions d'HAMLET de KENNETH BRANNAGH). Malgré certaines longueurs, "Le Marchand de Venise" est du grand art, non seulement pour le jeu des acteurs, mais aussi pour les décors, les costumes et la musique.
-
Les chevaliers du ciel :powa: et Chérif fais-moi peur :D
-
Ah, le dernier d'Almodovar, j'ai l'intention d'y aller. Est-ce dans le même style que les précédent Petitours ?
Sinon, je suis allée voir le Marie-Antoinette de Sofia Coppola, ce week-end. Je l'ai trouvé pas mal...
-
Marie-Antoinette aussi.
Alors plein de chose sur ce film. Que les gens impatients de sa sortie soient decus normal. D'abord je ne trouve pas que ce soit un film historique. Ca ne parle absolument pas d'histoire: d'ailleurs en 1789 l'histoire se faisait-elle a Versaille?
Non c'est plutot un film sur l'ennui, l'ennui d'une reine etrangere a l'etranger. C'est comme ca que je l'ai vu. Alors comment filmer l'ennui sans ennuyer? Pas possible heureusement, les decors sont magnifiques, les coutsumes aussi et on se rattrape sur des details. D'un cote on voit qu'on a couper la tete a deux nanards de premiere (Louis 16 et Marie Antoinette) mais d'un autre cote on trouve aussi que finalement ce n'est pas si mal, decidemment ils coutaient plus chers qu'autre chose. Au mauvais moments au mauvais endroit.
Cote realisation plutot bien fait, j'aime bien la transition M-A desespere, M-A pleine de vie marque par le passage de la musiquer classique au rock. Cote mort-de-rire, la vision romantico-preadolescente prete a M-A quand elle pense a son amant sur son cheval cabre au milieu de la bataille.
Pas un chef d'oeuvre mais pas totalement ennyeux non plus.
-
Marie-Antoinette aussi.
Alors plein de chose sur ce film. Que les gens impatients de sa sortie soient decus normal. D'abord je ne trouve pas que ce soit un film historique. Ca ne parle absolument pas d'histoire: d'ailleurs en 1789 l'histoire se faisait-elle a Versaille?
Non c'est plutot un film sur l'ennui, l'ennui d'une reine etrangere a l'etranger. C'est comme ca que je l'ai vu. Alors comment filmer l'ennui sans ennuyer? Pas possible heureusement, les decors sont magnifiques, les coutsumes aussi et on se rattrape sur des details. D'un cote on voit qu'on a couper la tete a deux nanards de premiere (Louis 16 et Marie Antoinette) mais d'un autre cote on trouve aussi que finalement ce n'est pas si mal, decidemment ils coutaient plus chers qu'autre chose. Au mauvais moments au mauvais endroit.
Cote realisation plutot bien fait, j'aime bien la transition M-A desespere, M-A pleine de vie marque par le passage de la musiquer classique au rock. Cote mort-de-rire, la vision romantico-preadolescente prete a M-A quand elle pense a son amant sur son cheval cabre au milieu de la bataille.
Pas un chef d'oeuvre mais pas totalement ennyeux non plus.
c'est exactement ce que SOFIA COPPOLA dit avoir voulu réaliser : un film sur l'ennui d'être étranger à l'étranger (comme dans LOST IN TRANSLATION), sans oublier la difficulté d'être, de vivre quand on est ado confronté à des règles strictes (voir VIRGIN SUICIDES)
le film est basé sur l'excellent bouquin d'Antonia Fraser que je recommande vivement
-
Ah, le dernier d'Almodovar, j'ai l'intention d'y aller. Est-ce dans le même style que les précédent Petitours ?
il est plus grand public que les autres :D surtout grace à ces dames :wub:
-
LES FILLES DU BOTANISTE de Dai SiJie
Histoire très intimiste, cet amour entre deux très jeunes femmes est traitée avec beaucoup de subtilité, de délicatesse ; à aucun moment le réalisateur ne tombe dans le voyeurisme facile. Il s’agit d’une véritable histoire d’amour et non pas d’un film sur l’homosexualité féminine.
Bien qu’il ait été élevé en France, Dai SiJie persiste à filmer des « histoires chinoises », souhaitant mettre en évidence le système dictatorial du pays.
J’avoue qu’en dehors d’avoir abordé (de très loin) le problème de l’occupation du Tibet par l’armée dans laquelle est le fils, ainsi que le procès de la relation des deux jeunes femmes, il n’y a pas vraiment matière à pamphlet anti-chinois ; ce film n’est pas une docu-fiction politique, c’est une histoire d’amour et c'est tout.
-
Bon Mission Impossible 3. Bel performance de Tom Cruise, c'est dingue un type qui arrive a sourire tout le temps sans avoir de crampe aux zygomatiques. Pour etre serieux, du bon divertissement d'action, on ne s'ennuit pas, ca ne ressemble pas a la serie que demander de plus a ce genre de film.
(http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/images/affiches/051351.jpg)
Le cercle de Jafar Panahi
Un film qui oscille entre la fiction et le documentaire. C'est un film portrait. Portrait de femmes iraniennes qui se croisent, font un relais d'une situations desesperees a une autre et forment une chaine. Une chaine de traditions, de politique, de religion. La Femme doit se plier a tout et pour tout: pas le droit de fumer, pas le droit de voyager, pas le droit d'aimer. Un systeme fachiste ou le soushomme est la femme. Panahi fait un film sans espoir, sauf celui d'une revolution qui devra venir.
-
THUMBSUCKER de Mike Mills
Une autre histoire de famille dysfonctionnelle, petite chronique douce-amère à travers les problèmes au quotidien d'un ado de 17 ans, ses tourments, ses premiers émois amoureux, son besoin de reconnaissance, bref tous les états d'âme classiques auxquels les ados nous ont habitués et qui sont, pour l'instant, dans le colimateur des scénaristes et réalisateurs (voir THE SQUID AND THE WHALE, bientôt aussi C.R.A.Z.Y, et quelques autres).
Avec Tilda Swinton et Vincent d'Onofrio dans le rôle des parents, qui tentent du mieux qu'ils peuvent de comprendre leur fils aîné - mais qui a dit qu'il était possible de comprendre un ado ? même les psys ne s'en sortent pas ! avec cette panacée universelle du "surtout ne jamais couper le dialogue", tu parles Charles ! Ce ne sont pas les parents qui refusent de comprendre leurs enfants, ce sont les enfants qui pour se construire ont besoin de "démolir" leurs parents et de couper tout dialogue. Heureusement que (parfois) cela revient !
Bref, un nouveau petit film intimiste, à voir, même s'il n'est pas des plus originaux.
Egalement avec KEANU REEVES et VINCE VAUGHN dans des rôles différents de ceux auxquels nous sommes habitués, et qui y sont excellents.
-
en dvd :wub:
lastexile :powa:
(http://www.dvdanime.net/images_critiques/jaquette-front-1490.jpg)
http://www.oomu.org/lastexile.html
j'adore cette série manga :)
-
Da Vinci Code J'ai bien aimé malgré 2h 30 de film je me suis pas ennuyée. Au debut audrey tautou me semblait peu credible dans ce rôle, peut être des réminiscences d'amelie , puis petit à petit elle incarne parfaitement son personage aussi touchante que surprenante
-
Sheitan ... terrible et horrible. Mais quelle interprétation de Vincent Cassel :powa:
Et Underworld Evolution, sublime :prosterne:
-
X-men III
Decidemment j'aime bien cette serie qui sait melanger action et petite reflexion sur la difference. On ne s'ennuit pas et en plus c'est plutot intelligent comme propos. C'est rare en ce moment ce genre de chose.
-
J'ai enfin vu, Irreversible... Effectivement c'est trash... c'est très bien fait, mais je sais pas pourquoi j'ai pas plus accroché que ca... Et puis les mouvements de caméra entre chaque bond dans le temps sont un peu à gerber à force.
J'ai enfin vu, Sympathy For Lady Vengeance. J'ai adoré, pour qui a déjà vu Old boy et l'a apprécié, je vous le conseille, il est dans l'ensemble moins violent visuellement mais tout autant dans sa globalité... Attention ca reste un Drame et pas du tout un film d'horreur ou gore, avec plein de sang, etc. Bon jeu d'acteur et de super plans. Pour ceux que ca interesse, ces films font partie d'une trilogie, le premier est Sympathy For Mr. Vengeance, que je n'ai pas encore vu. Aucune importance chronologique, le pretexte de la trilogie est le theme commun et bien sur le realisateur commun. Personnellement je place Park Chan-wook aux côtés de Wong Kar Wai pour une qualité identique malgré un style différent.
-
X-men III
Decidemment j'aime bien cette serie qui sait melanger action et petite reflexion sur la difference. On ne s'ennuit pas et en plus c'est plutot intelligent comme propos. C'est rare en ce moment ce genre de chose.
tout à fait d'accord
-
Les chroniques de Narnia :powa: :wub:
-
AMERICAN DREAMZ une comédie satirique sur les programmes télé style "Nouvelle Star" ou "Starac", avec Hugh Grant dans le rôle d'un présentateur télé totalement mégalo (y en a-t-il d'autres ?). Avec Dennis Quaid dans le rôle d'un président des USA, à l'air totalement benet, au bord de la déprime, s'ennuyant, manipulé comme une marionnette par son chef de cabinet, interprété avec brio par Daniel Defoe, vraiment excellent (non ? vous trouvez que cela ressemble à qui vous savez ? :shifty: ). Sans oublier évidemment le fond de guerre d'Irak et la parano terroriste toujours présente, malheureusement guerre et terrorisme sont tournés en dérision, ce qui met quand même mal à l'aise.
Et évidemment, tout le monde est scotché devant la télé pour élire les candidats et faire gagner celui que l'on préfère, avec une image de l'Amérique profonde plutôt ridicule.
-
AMERICAN DREAMZ une comédie satirique sur les programmes télé style "Nouvelle Star" ou "Starac", avec Hugh Grant dans le rôle d'un présentateur télé totalement mégalo (y en a-t-il d'autres ?). Avec Dennis Quaid dans le rôle d'un président des USA, à l'air totalement benet, au bord de la déprime, s'ennuyant, manipulé comme une marionnette par son chef de cabinet, interprété avec brio par Daniel Defoe, vraiment excellent (non ? vous trouvez que cela ressemble à qui vous savez ? :shifty: ). Sans oublier évidemment le fond de guerre d'Irak et la parano terroriste toujours présente, malheureusement guerre et terrorisme sont tournés en dérision, ce qui met quand même mal à l'aise.
Et évidemment, tout le monde est scotché devant la télé pour élire les candidats et faire gagner celui que l'on préfère, avec une image de l'Amérique profonde plutôt ridicule.
OOOOOOOOOOPS, grosse boulette : il s'agit évidemment de l'acteur WILLIAM DAFOE qui interprète le chef de cabinet, et non l'écrivain DANIEL DEFOE, auteur de Robinson Crusoë - mais je suis sûre que vous aviez tous rectifié !
;)
-
Firewall ... avec la voiture qui devrait bientôt changer de rôles parce qu'il n'est plus tout jeune :siffle
-
Serenity :powa:
-
Volver ( j'ai du retard ptitours ça fait un mois qu tu l as vu :D) J'ai bien aimé ces relations entre femmes , soudées, dans l 'entraide...chose qui tend à disparaître, je trouve. Cette relation est remplacée par des medecins, des specialistes, psys, télé (payant et non un geste gratuit) ???? où café du web ? sourire :D
-
VOLVER de Pedro Almodovar
joli portrait de famille, beaucoup de tendresse, un zeste d'humour noir, un peu de dysfonctionnement comme dans toutes les familles et une interprétation formidable de la part des actrices principales, mais avec une mention particulière aux rôles féminins secondaires très sympatiques également.
-
Volver ( j'ai du retard ptitours ça fait un mois qu tu l as vu :D) J'ai bien aimé ces relations entre femmes , soudées, dans l 'entraide...chose qui tend à disparaître, je trouve. Cette relation est remplacée par des medecins, des specialistes, psys, télé (payant et non un geste gratuit) ???? où café du web ? sourire :D
si l'entraide a disparu c'est parce que la société nous isole les uns des autres, et peut être que le virtuel y est pour quelque chose justement - à force d'être scotché à un écran (même pour soutenir les copinots qui ne vont pas bien), on finit par ne plus savoir qui sont les voisins, on perd l'habitude de leur parler. Il y a les mentalités aussi qui diffèrent fortement d'un lieu à l'autre, je pense que dans le sud on est plus ouvert et expansif, ici dans le nord, ils aiment bien être "engoncés" dans leurs petits jardins. Une fois par an ils font la fête pour soutenir une cause, mais après c'est à peine s'ils se saluent ... c'est la vie et c'est dommage !
-
Bizarre, le Nord de la France n'est pas pareil ... :siffle
Mais ça dépend beaucoup des "milieux sociaux" :rolleyes:
Et pour le virtuel, je pense qu'il s'agit d'une conséquence de la désocialisation plutôt qu'une des raisons :hum:
-
c'est un large débat,, comme celui de l'oeuf et la poule : qui était là en premier ?
depuis qu'il y a la télé partout et l'internet pour tous, plus besoin de se retrouver au café du coin pour taper la carte et rigoler entre amis - lorsque la télé en était à ses débuts, ceux qui avaient la "chance" d'en posséder une réunissaient les voisins pour passer une soirée ensemble devant la lucarne, à présent c'est chacun chez soi ... mais bon, c'est un point de vue, pas une affirmation
-
IL CAIMANO de NANNI MORETTI
Pas réellement un film sur Berlusconi, puisque comme le dit l'un des protagonistes "Tout a déjà été dit et écrit sur Berlusconi", mais plutôt l'histoire d'un producteur raté, n'ayant produit que des navets qui ont fini par lasser son épouse. Pendant qu'ils se séparent, avec difficulté, le producteur reçoit un scenario écrit par une réalisatrice débutante et dans l'espoir d'enfin retrouver un peu de dignité professionnelle, il décide envers et contre tout, et surtout avec très peu de moyens financiers après le vrai lâchage de ceux qu'ils prenaient pour des amis, de soutenir les convictions de cette jeune femme débutante.
C'est un petit drame quotidien et parfois fort cruel dans la vie d'un homme de cinéma.
L'histoire fustige Berlusconi, bien sûr, mais c'est surtout un regard de Moretti sur le monde du cinéma.
-
King Kong, vraiment impressionnant mais je rage, le DVD était rayé sur les 10 dernières minutes (et en diaporama, ça n'est pas le pied :non: :furious: ) ainsi que 16 blocs, vraiment excellent :powa:
-
A l'instant, V pour Vendetta, très corrosif à mon humble avis :rolleyes:
-
A l'instant, V pour Vendetta, très corrosif à mon humble avis :rolleyes:
A l'instant, V pour Vendetta, très corrosif à mon humble avis :rolleyes:
:huh: ???
-
J'avais l'impression que c'était autant une fiction qu'une critique de la dérive de la société anglaise (vidéosurveillance par exemple)
-
J'avais l'impression que c'était autant une fiction qu'une critique de la dérive de la société anglaise (vidéosurveillance par exemple)
c'est surtout une dérive d'un régime anti démocratique, une critique d'une société fasciste
-
Je pense que ça va encore plus loin : une critique d'un régime démocratique sécuritaire à la dérive. Comme nombre de sociétés fascistes, celle-là est arrivée au pouvoir démocratiquement :rolleyes:
-
Palais Royal, vraiment divertissant et très intéressant. Et quelle chute ...
-
Walk the line :powa:
-
LES BRIGADES DU TIGRE de Jérome Cornuau
Inspiré par le feuilleton des années 70, ce film est un bon moment de cinéma, mêlant politique, romance, crimes, magouilles en tout genre, etc.
Personnellement je n'ai pas du tout aimé Clovis Cornillac en commissaire Valentin, son petit menton prognate m'a fait pensé à Charles Quint pendant tout le film, c'est dire ! De plus sa façon de parler est très limite, ton gouailleur, accent "ouais moi on m'la fait pas". Bref je ne lui ai pas trouvé l'élégance de Jean-Claude Bouillon.
Par contre, une plaisante surprise a été Edward Baer dans un rôle nettement plus sombre et sobre qu'à l'accoutumée et celui lui va très bien; quant à Olivier Gourmet, le belge, pourquoi l'avoir affublé d'un accent du midi ? pour rappeler le chouette petit accent de Pierre Maguelon ? c'est idiot ! à part cela, Gourmet est très bon et sympathique dans le rôle de Terrasson.
Et les deux jeunes femmes dans les rôles principaux sont épatantes.
Je n'ai pas totalement apprécié l'image donnée des anarchistes, par contre les magouilles politicardes sont bien exposées.
-
ESSAYE MOI de Pierrre François Martin-Laval
Il y a des gens pour qui une promesse est une promesse, même si elle a été faite dans l'enfance. Yves-Marie est de ceux-là, par contre Jacqueline qui lui a promis de l'épouser (juré-craché !) a oublié cette promesse. S'il allait dans les étoiles, elle l'épouserait .... Aussi quelle surprise lorsqu'il redébarque pour l'épouser après être devenu cosmonaute !
Elle, elle est sur le point de se marier avec Vincent, aussi remballe-t-elle l'amoureux transi qui lui propose toutefois de l'essayer pendant 24 heures. Vincent est même d'accord, comme ça il pourra partir en douce à la chasse avec son pote !
Jacqueline tiendra 12 heures exactement et pendant ces 12 heures, notre amoureux aura accumulé gaffe sur gaffe; les parents de Jacqueline y perdront leur latin, tout cela sous l'oeil tendre du papa d'Yves Marie, qui voudrait tellement qu'elle fasse le bonheur de son fils.
C'est un bien joli conte sur l'amour que cet "Essaye-moi", un film gentil, bourré de tendresse, qui vous réconcilie avec le genre humain pendant quelques heures. Les gags se multiplient, mais des gags pleins d'humour tendre, pas de la grosse machinerie "spécial faire rire". Il faut être attentif aux détails, car c'est dans les détails que le film trouve toute sa saveur.
Bravo et merci au réalisateur Pierre François Martin-Laval, qui s'est également octroyé le rôle principal, pour offrir un tel rayon de soleil - ou de lune, ou de poudre d'étoiles. Julie Depardieu est excellente aussi en jeune femme plutôt pragmatique dépassée par les idées saugrenues de ce rêveur. Qui a un papa aussi farfelu que lui et qui est interprété de main de maître par Pierre Richard qui n'est pas loin là de son rôle du "Distrait". Les autres acteurs (parents de Jacqueline, futur mari) sont très bons également.
Bref un moment de pur bonheur. Parfait pour un jour gris, mais tout aussi bien pour un jour de soleil.
-
C.R.A.Z.Y. de Jean-Marc Vallée
Cette sympathique chronique familiale douce-amère raconte le « combat » d’un garçon qui se bat non seulement contre sa nature afin de garder l’affection de son père, mais finalement aussi contre ces contraintes familiales et religieuses (on est dans une famille de la classe moyenne plutôt croyante à Montréal).
C’est une histoire où les profils de garçons, de fratrie, sont bien exposées ; parfois on se déteste, parfois en s’adore entre frères. Tous différents qu’ils sont les fils Beaulieu : de Christian l’intello, à Raymond le rouleur de mécanique qui aime bien les drogues et les filles, en passant par Antoine le sportif et Zac le musicien, jusqu’au petit dernier Yvan dit Bouboule.
Le film passe tour à tour de la comédie à la tragédie sans trop forcer la note, tout cela sonne très vrai. Par ailleurs, les seventies sont très bien reconstituées, permettant ainsi une petite promenade au pays des souvenirs musicaux.
Je connais mal le cinéma québecois, en tout cas je suis toujours contente de découvrir un film de là-bas ; C.R.A.Z.Y. (l’acronyme des initiales des prénoms des fils et la chanson préférée du père interprétée par Patsy Cline) a paraît-il fait un tabac à Montréal et dans la Belle Province. On le comprend aisément. Tous les acteurs sont épatants, mais c’est Michel Côté dans le rôle du père qui retient l’attention ; Marc-André Grondin est Zac et Danielle Proulx interprète la maman Beaulieu avec beaucoup d’humour et de tendresse. Les fils ont également des interprètes à la hauteur des personnages. C’est à voir absolument.
-
ENTENTE CORDIALE de Vincent de Brus
Sympathique « buddy movie » à la française qui mêle adroitement espionnage et comédie.
Christian Clavier est parfait en aristocrate prétentieux et Daniel Auteuil lui renvoie la balle avec beaucoup d’humour en interprète menteur et asthmatique. L’Anglaise Jennifer Saunders est la sympathique directrice du zoo conduisant comme une dingue dans les rues de Londres. Au passage on retrouve John Cleese en directeur de banque.
On sourit tout le temps, tout au long du film car les deux interprètes principaux semblent avoir développé une complicité qui se sent dans leur jeu. Un bien sympathique moment de détente que cette « entente ».
Et Londres est toujours aussi belle !
-
TRANSAMERICA de Duncan Tucker
A Los Angeles, Sabrina (Bree) Osborne est un transsexuel en attente de l’opération qui fera définivetement d’elle une femme. Une semaine avant ladite opération, un coup de fil lui parvient d’un ado qui recherche son père ; peu après c’est un centre pénitenciaire de New York qui l’appelle afin de la prévenir que le jeune Troy est en prison pour cause de drogue et de prostitution.
Décidément, le cinéma éprouve le besoin de nous émouvoir avec ceux qui sont différents, qui en souffrent et qui aimeraient tellement se faire accepter de tous, mais surtout de ceux qui leur sont le plus proche à savoir leur famille.
Après le formidable film canadien C.R.A.Z.Y., c’est l’Américain Tucker qui nous entraîne de l’autre côté du miroir de la normalité, car qui sommes nous pour juger ? Un excellent "road movie", comme les Américains en ont le secret.
« Transamerica » repose entièrement sur les épaules des deux protagonistes principaux. Dire que Felicity Huffman (l’une des « Desperate Housewives ») est formidable en Bree/Staney est un euphémisme et ne lui rend même pas justice ; elle est époustouflante d’émotion et de vérité, et quel maquillage pour la rendre crédible ! Face à elle, Kevin Zegers est un Toby très vrai, très Leonardo di Caprio lorsqu’il était plus jeune. Quant aux parents de Bree ils sont interprétés par Burt Young, le père plutôt obsédé sexuel et Fionnula Flanagan est Elizabeth, une mère coincée, terrorisée par le qu’en dira-t-on, qui ne peut accepter ce que son fils a décidé et qui aimerait récupérer son petit-fils.
Il faut courir voir « Transamerica », tout comme il faut courir voir « C.R.A.Z.Y. » ; faire réfléchir et émouvoir, deux des qualités majeures du cinéma !
-
FOLLOWING SEAN de Ralph Arlyck
En 1969 Arlyck, étudiant, décide d'aller faire une balade à San Francisco, là où tout semble plus aisé et plus décontracté qu'à New York.
Il décide de réaliser un petit documentaire sur la communauté hippie vivant l'étage au dessus du sien et c'est ainsi qu'il suivra leur petit garçon, Sean, à travers ses promenades. Il interroge Sean assis sur le canapé, tout sérieux et qui déclare très calmement que "oui il fume de l'herbe, il en mange même"; le petit garçon parle avec détachement de ce qui se passe autour de lui, ne semble nullement affecté par la manière de vivre de ses parents.
Le documentaire va secouer les Américains, d'abord positivement mais lorsque le film sera primé, là les critiques pleuvront.
Trente années plus tard, Arlyck,marié, deux enfants, vivant à nouveau à New York, réalise toujours des documentaires et décide de retrouver Sean et sa famille, son papa et sa maman, sa mémé communiste, etc.
Entretemps le petit garçon qui "fumait de l'herbe, parlait des marginaux comme une chose naturelle et détestait les flics qui tapaient sur tout ce petit monde" a mûri.
Quelle formidable balade à travers le passé, le présent et - pourquoi pas - l'avenir que ce retour vers les années hippie, road movie de la côte est à ouest, mettant à la fois en parallèle la vie de Sean et celle d'Arlyck.
J'ai adoré et je ne suis pas la seule. C'est un moment à la fois de nostalgie mais aussi de fort bonne humeur/
-
GLENN GOULD, au-delà du temps de Bruno Monsaingeon
Il y a un peu plus de vingt ans disparaissait Glenn Herbert Gould, pianiste de génie, né à Toronto Canada. Mais Glenn Gould était bien plus qu’un pianiste de renommée mondiale, il était également essayiste et réalisateur d’émissions de télévision et de radio.
En 1955 il fit une adaptation très personnelle des célèbres « Variations Goldberg » de Bach ; elles lui valurent une réputation de pianiste dépourvu de sentimentalisme, au jeu puissant.
En 1964 après une carrière fertile en tant que pianiste, il tomba, selon ses propres dires, amoureux du micro et décida de ne plus se produire en public afin de se consacrer autrement à la musique. Toujours selon le musicien « le studio d’enregistrement lui fournit l’ambiance dont il a besoin pour faire de la musique ».
L’un des films les plus célèbres consacré au pianiste est certainement « 32 Short Films About Glenn Gould » de François Girard, tourné en 1993, mais qui était une vie en vignette interprétée par des acteurs.
Bruno Monsaingeon est lui aussi un virtuose du violon et a déjà consacré plusieurs livres à ce musicien hors pair qui fut son ami. Il confirme d’ailleurs lui-m^me l’influence du pianiste sur son propre travail.
A aucun instant ce documentaire n’est ennuyeux, au contraire ; le pianiste ayant un humour très pince-sans-rire, ses commentaires vont souvent rire le spectateur, emballé par les interprétations de diverses pièces musicales de Bach à Beethoven, en passant par Brahms, Schubert et beaucoup d’autres.
Le film permet également de découvrir une composition personnelle de Glenn Gould, interprétée au piano par Emile Naoumoff.
On y découvre aussi quelques belles images du Nord du Canada, grâce aux images d’archives sur la vie de ce génie du piano, véritable légende dans le monde musical. Un docu incontournable quand on s’intéresse à la fois au cinéma et à la musique.
Pour les cinéphiles, je rappelle que les fameuses « Variations Goldberg » ont été choisies comme musique du film « Solaris » de Steven Soderbergh.
-
Un homme que l’on sent cynique et blasé rentre chez lui au petit matin. Dans trois heures il va devoir affronter un mari jaloux en duel, duel auquel il n’a nullement l’intention de se rendre. Son serviteur lui apporte une lettre commençant par ces mots « Lorsque vous lirez cette lettre, je serai probablement morte » et là, pendant la lecture, le spectateur comme cet homme découvrent un secret, un amour, une passion à laquelle le temps n’a rien pu faire.
L’un des multiples plaisirs de vacances @ home est le retour des festivals d’été au cinéma qui apportent au cinéphile un peu frustré la découverte ou la possibilité de revoir quelques films réalisés par des metteurs en scène ayant marqué l’histoire du cinéma hollywoodien ou autre. Max Ophüls (père de Marcel Ophuls à qui l’on doit « Le Chagrin et la Pitié ») est l’un de ceux-là. On lui doit, parmi les titres les plus célèbres : La Ronde, Madame de…, Lola Montès et cette très belle adaptation de la nouvelle de Stefan Zweig. Il respecte l’ambiance du récit de Zweig qui reste une critique assez cynique de l’amour romantique et impossible, de la société viennoise du début du siècle et des inégalités entre les sexes autant que sociales.
Les personnages sont servis par deux très bons comédiens : Joan Fontaine (encore auréolée du succès de « Rebecca » et de « Jane Eyre » où là aussi elle joue de ses grands yeux tristes). Elle apporte son visage lisse et émouvant à cette Lisa naïve et obstinée, aussi crédible en jeune fille de 16 ans qu’en jeune femme aux approches de la trentaine grâce à des costumes et des coiffures bien étudiées.
Joan Fontaine est l’une des dernières icones hollywoodiennes du cinéma des années 40-50 encore en vie. Sa beauté blonde et éthérée est parfaite dans ce rôle émouvant de jeune femme aimant un égoïste qui jouera de sa naïveté sans se retourner jusqu’au jour où il recevra cette lettre.
C’est le français Louis Jourdan qui interprète Stefan Brand ; Jourdan est un acteur que je n’ai pas beaucoup apprécié dans sa carrière mais il excellait dans les rôles de type assez imbu de ses charmes. Il était avec Charles Boyer l’un des « frenchies » de service à Hollywood.
Cependant dans le rôle de ce pianiste virtuose, égocentrique, blasé, grand amateur de femmes, découvrant soudain l’amour-passion dont il fut l’objet, un amour qui le conduira à sa perte tout comme il causera la perte de Lisa, il est tout à fait à sa place.
Le noir et blanc ajoute à l’ambiance romantique, Ophuls promène sa caméra et offre une mise en scène qui alterne entre légèreté et drame. Au fur et à mesure qu’elle poursuit son récit, le voile d’illusions dans laquelle elle vivait tombe peu à peu des yeux de la jeune femme, le temps passe lentement, la caméra sautant ce temps avec habileté, grâce notamment à un maquillage subtil qui nous fait comprendre que les personnages – s’ils n’ont pas muri en caractère – ont tout de même pris quelques années.
Pour les critiques, ce mélodrame est l’une des meilleures ½uvres d’Ophuls à cause justement de la banalité de cette histoire qui émeut le spectateur.
Pour ceux qui ne l’ont pas vu, c’est réellement à voir. Moi en tout cas cela m’a donné envie de découvrir la nouvelle de Stefan Zweig.
-
Le titre ? :unsure:
Sinon :powa: pour 4 frères, Appleseed & Final Fantasy VII :D
-
Le titre ? :unsure:
Sinon :powa: pour 4 frères, Appleseed & Final Fantasy VII :D
LETTER OF AN UNKNOWN WOMAN de Max Ophuls
merci de me l'avoir signalé master philou :prosterne:
-
:prosterne: DS :bisous:
-
ON A CLEAR DAY de Gaby Dellal
Pendant que l’on baptise un nouveau cargo, un homme dans la cinquantaine qui a aidé à le construire, emballe tous ses effets personnels et vide son bureau. Frank vient de perdre son emploi.
Cependant, lors d’une sortie en mer entre copains, la remarque de l’un d’entre eux à propos des côtes de la France qui sont tellement proches lorsqu’il fait beau temps, donne à Frank l’idée qu’il pourrait faire la traversée de la Manche. Le seul à qui il ose en parler est Chan, le patron du snack chinois, que la plupart des gens insultent convaincus qu’il ne comprend pas un mot d’anglais.
Petit à petit, Frank reprend goût à la vie, il va tenter non seulement la traversée afin de retrouver l’estime de soi, mais aussi de combattre ses propres démons et blocages. Et dans la foulée, ses qutre copains vont aller au-delà de leurs propres blocages et retrouver leur dignité également.
La réalisatrice Gaby Dellal rejoint les « grands » du cinéma social anglais que sont Ken Loach, Mike Leigh, Mark Herman et Peter Cattaneo. Il y a un peu de « Full Monty » et des « Navigators » dans ce film où incommunicabilité, émotions, amitié et beaucoup d’amour se mélangent.
Peter Mullan, un acteur qui n’hésite pas à se mouiller (hé oui ! j’ai osé !) passe les trois/quarts du film dans l’eau, à se battre contre lui-même, contre ses sentiments qu’il ne sait ou n’ose exprimer. Il est comme à l’accoutumée absolument excellent.
Brenda Blethyn qui est souvent larmoyante dans ses interprétations, excellentes au demeurant, est très bien en épouse sensible, inquiète et aimante.
On retrouve, parmi les copains de Frank, dans le rôle de Danny, Billy Boyd qui interprétait Pippin dans « Lord of the Rings ». Il est ironique, drôle et émouvant. Celui qui a cependant retenu mon attention car je ne le connaissais pas est Benedict Wong, interprétant Chan, l’ami chinois qui croit en ce projet dur comme fer. Bref, dans une excellente histoire, tous les comédiens sont formidablement à la hauteur, même si la fin est prévisible. A voir absolument.
-
:powa:
-
J'ai revu les 2 DVD de Kill Bill et c'est :powa: :prosterne:
-
FORTY SHADES OF BLUE d'Ira Sachs
A Memphis, Tennesse, capitale – entre autres – du blues.
Un couple se prepare à partir à une soirée où le mari, musicien et producteur musical, va recevoir un prix. Sa compagne, jeune femme russe, beaucoup plus jeune que lui, passe à travers l’appartement avec un air absent. Elle acquiesce à tout ce qui se dit, avec une sorte de timidité, effacée devant ce homme au verbe haut, n’hésitant pas à la tromper ouvertement. A chaque fois elle boit un peu trop pour oublier ce qui la place dans des situations ambiguës, inconfortables. Face à ce mari omniprésent et dominateur, la jeune femme mélancolique, laissée à son propre sort, ressemble à une abeille contre la vitre.
Arrive alors, en retard, celui que l’on attendait à la fête, le fils d’un premier mariage, un homme jeune cachant à peine son manque d’amour pour ce père dont il s’est éloigné et qui n’arrive d’ailleurs pas à parler à ceux qui lui sont proches, qu’il aime maladroitement… Le seul dont il arrive à s’occuper avec tendresse est le petit garçon qu’il a eu de sa compagne actuelle.
Michael et Laura vont être attirés l’un par l’autre, elle parce qu’avec cet homme jeune et tourmenté parvient à mieux communiquer, perd ses inhibitions par rapport à la langue anglaise. Lui croit trouver en elle une solution à ses problèmes actuels.
Ce film d’auteur, primé au festival de Sundance, est très beau. Il exprime cependant avec beaucoup de justesse le mal de vivre de ceux qui n’arrivent pas à se parler ; il parle du désir, de la lassitude du couple, bref de toutes ces petites choses qui forment une existence. La plupart du temps le cinéma nous parle d’êtres en marge qui aimeraient se poser quelque part ; ici on nous propose le contraire, un lieu déjà posé d’où l’on veut s’échapper.
Le triangle amoureux père et fils amoureux d’une même femme est vieux comme le monde, le mythe de Phèdre nous a été maintes et maintes fois proposé.
Pourtant le thème fonctionne à chaque fois pour peu qu’il soit justement interprété et ici, du côté interprétation, il n’y a rien à redire. Avec en toile de fond les musiciens, semblables aux ch½urs antiques.
L’acteur Rip Torn apporte une puissance magistrale à Alan James, généralement confiné dans des seconds rôles, il est ici de quasi toutes les scènes. Face à lui il y a Dina Korzun en Laura, parfaite en compagne insatisfaite, malheureuse et Darren Burrows dans le rôle de Michael qui servira de catalyseur pour faire exploser le drame qui couve.
Je n’ai qu’un bémol à exprimer, c’est l’extrême lenteur du film, voulue évidemment pour donner encore plus de poids à ce tourbillon émotionnel. Beaucoup de plans très lents, pour bien faire comprendre l’aliénation de la jeune femme, le mal de vivre du fils, le besoin d’affection mal exprimée du père.
-
TRISTAN & ISOLDE de Kevin Reynolds
Est-il encore nécessaire de résumer l’histoire de cette passion aussi impossible que maudite entre la jeune reine de Cornouailles et le neveu du roi Marke ? Tristan & Isolde appartiennent à l’imagerie romantique comme Lancelot & Gwenovere ou Romeo & Juliette.
Hollywood, qui aime bien les légendes et les récits épiques, trouve ici une fois encore matière à un film de vacances, divertissant, ressemblant à une bande dessinée en 3D.
Tout comme les scénaristes de « King Arthur », « Troy », « Alexander » ou « Gladiator », Dean Georgaris a planché sur les romans autour de cet amour malheureux et sur l’histoire d’Angleterre et d’Irlande et en a fait une adaptation personnelle, sinon réelle du moins tout à fait regardable en cette période d’été cinématographique.
Pour les auteurs de ce film, la passion entre Tristan & Isolde menace la paix très précaire entre l’Angleterre, non encore unifiée et livrée à la cupidité des barons qui n’hésitent pas à trahir leur chef, et l’Irlande dirigée par un véritable tyran assoiffé de pouvoir et de sang. Depuis le retrait des troupes romaines, les différents clans d’Angleterre ne parviennent pas à s’entendre.
Le film a un côté très sombre, tant au niveau des sentiments que des caractères des personnages, les combats y sont féroces et sanglants et, personnellement, je n’ai pas trouvé les acteurs pas très sympathiques, même s’ils interprètent tous leur rôle valablement. Il n’y a pas de très grands noms du cinéma américain dans ce film d’aventures, ce qui me fait penser qu’il ne tiendra pas l’affiche très longtemps.
James Franco, qui fut excellent dans le film de Michael Caton-Jones « City by the Sea », est un Tristan tourmenté à souhait, coincé entre sa loyauté à son clan et la passion contre laquelle il n’arrive pas à lutter. Il est un peu coincé aussi du côté de l’expression de ses sentiments, la plupart du temps il semble surtout se mordre les machoires, le film a dû lui occasionner quelques crampes !
Sofia Myles est belle en Isolde, pas aussi délicate que la plupart des récits nous la montrent ; elle donne à Isolde, qui a soif de liberté en un temps où les femmes n’avaient pas un mot à dire, beaucoup de personnalité. Elle est le personnage le plus vivant de cette histoire.
Marke est interprété par Rufus Sewell, un roi qui voudrait faire de l’Angleterre autre chose que cette terre en butte aux luttes de clans depuis le départ des Romains. Il est nettement moins larmoyant que dans le poème classique où il se lamente quand même beaucoup sur son sort.
David O’Hara et Mark Strong, deux acteurs anglais peu connus, sont les traîtres, les vrais méchants de cette histoire, et ils sont parfaitement crédibles tant ils sont déplaisants.
Bref comme je le disais : de la bande dessinée filmée, un passe-temps plaisant qui ne laissera certainement pas une trace indélébile dans les mémoires, mais contrairement à ces tristes sires de critiques cinématographiques, je ne trouve pas nécessaire de démolir le film complètement. D’autant plus que costumes et décors sont fort bien étudiés et les paysages superbes.
-
CRIMES & MISDEMEANORS écrit et réalisé par Woody Allen
Un ophtalmologue en vue, pilier de la société new-yorkaise, a décidé de mettre fin à sa relation hors mariage mais sa maîtresse ne l’entend pas de cette oreille, elle menace de tout dévoiler à l’épouse légitime et commence une véritable campagne de harcèlement téléphonique. Ne sachant plus à quel saint se vouer, Judah se tourne vers son frère, un homme aux relations peu reluisantes et qui lui propose de régler cette affaire à sa façon.
Ailleurs dans New York, Cliff, un cinéaste intègre et donc sans succès, se voit confier un travail documentaire sur son beau-frère qu’il déteste franchement, l’homme – producteur de télévision célèbre et richissime - est suffisant et vulgaire, coureur de jupons, se moque systématiquement de lui. Sur le set du tournage il rencontre une charmante productrice dont il tombe amoureux fou et qu’il espère conquérir d’autant plus qu’il est au bord du divorce.
On suit donc ces deux histoires en parallèle, l’une traitée sur le mode intensément dramatique, l’autre plutôt en tragi-comédie, c’est seulement à la fin du film que les protagonistes, un bref instant, se rencontrent et discutent d’un hypothétique sujet pour un scénario de film noir.
Seize ans séparent « Match Point » et « Crimes & Misdemeanors », cependant les deux films ont un point commun, celui du crime impuni. Tout comme d’ailleurs ce même « Crimes & Misdemeanors » a un point commun avec « Melinda & Melinda », à savoir celui d’un même sujet traité sur le mode de la tragédie et celui de la comédie.
En tout cas, malgré ces points communs, ce film-ci, fort sombre, aux accents à la fois bergmaniens et dostoïevskiens (Ingmar Bergman et Dostoïeveski sont des modèles pour Woody Allen) mérite d’être découvert ou redécouvert.
Comme toujours dans un film de Woody Allen, les acteurs sont multiples et excellents : Martin Landau est un Judah Rosenthal d’abord tourmenté, ensuite totalement cynique et sans remords. Sa maîtresse est interprétée par Angelica Huston, hystérique à souhait dans ce rôle assez court. Woody Allen s’est réservé le rôle de Clifford Stern, le cinéaste malchanceux et celle qui fait battre son c½ur est interprétée par son épouse d’alors, Mia Farrow.
Autour d’eux gravitent encore Alan Alda, absolument formidable dans le rôle du beau-frère insupportable et Joanna Gleason, belle, froide et désagréable épouse du cinéaste.
Il semble qu’Allen ait laissé plusieurs questions en suspense dans son film, laissant au spectateur le choix des réponses. J’ai été enchantée de découvrir cette ½uvre de Woody Allen que j’avais ratée à sa sortie. De l’humour noir, de l’humour acerbe à la Allen et du tragique à la Cassavetes, tout en un seul film.
-
CARS de John Lasseter et Joe Ranft, par les studios Pixar
Autant l'avouer sans ambages, je ne suis allée voir "Cars" que parce qu'il n'y avait rien d'autre à mettre sous ma dent de cinéphile boulimique et surtout parce que les voix étaient celles de Paul Newman, Owen Wilson et Michael Keaton, pour les plus connues. La ravissante et délurée petite Porsche, elle, est interprétée par Bonnie Hunt, une habituée des films familiaux.
"Vroum, vroum", "tuuut tuuuut", c'est pas vraiment ma tasse de carburant et bien j'avais tort ! "Cars" est en plus d'une formidable performance technique, une bien jolie fable sur l'amitié, la responsabilité vis à vis des autres, la solidarité.
Et je rappelle à tout hasard, dans le même régistre, deux autres excellents dessins animés de TEX AVERY, mettant également des autos en scène, c'est à dire : "Tu seras un taxi mon fils" et "La voiture du futur".
-
THE MALTESE FALCON de John Huston
Une jeune femme éperdue arrive dans le bureau des detectives Spade et Archer et leur raconte qu’elle voudrait qu’ils arrivent à convaincre sa soeur qui vit avec un sale bonhomme de revenir à la maison en province. Inutile de dire que nos deux privés ne croient pas un mot de cette histoire et comme ils ont raison, la ravissante créature va s’avérer une sacrée menteuse.
Sam Spade va avoir un fameux boulot d’autant plus que tout le monde ment sans arrêt dans cette histoire.
Ce « Faucon », vrai mythe du film noir, lança la vague du genre. Humphrey Bogart rendit le personnage créé par Dashiell Hammett célèbre et y trouva sa propre célébrité par la même occasion. Il faut dire qu’il est épatant dans le rôle du détective empêtré dans les filets d’une demoiselle aussi belle que dangereuse, il se balade tout au long du film avec un petit air ironique, lançant ses commentaire cyniques à tout vent, se marrant en douce quand ses interlocuteurs croient aux vannes qu’il leur balance !
La caméra de John Huston, filmant en noir et blanc, utilise tous les angles, les flous, les ombres là où l’on ne s’y attend pas toujours. Il est par ailleurs resté fidèle au roman de Dashiell Hammett.
Le film qui date de 1941 n’a pas pris une ride ; bien sûr il est régulièrement reprogrammé sur le petit écran dans des séances dites de « ciné-club de minuit », mais cela ne vaut vraiment pas la projection sur grand écran malgré une bande-son qui a mal vieilli.
-
OVER THE HEDGE de Tim Johnson
Un raton-laveur pas honnête du tout vole les réserves d’un ours très mal léché ; l’ennui avec RJ le raton, c’est qu’il est incapable de résister à des chips et là, il réveille l’ours. Comble de malchance, les victuailles se perdent dans la poursuite.
R.J. est catastrophé, mais le hasard - qui fait si bien les choses – lui fait rencontrer la bande à Verne, une tortue calme et réfléchie qui est le chef d’une famille très disparate : un papa oppossum qui a le chic pour faire le mort et sa fille, un couple de hérissons et leurs 3 rejetons, un écureuil hystérique, une ravissante et odorante moufette. Puisque l’hibernation est terminée, il est temps de penser à regarnir le garde-manger. Une surprise les attend cependant : pendant l’hiver, un lotissement s’est construit entouré d’une haie interminable. Plus qu’un bout de petit bois pour nos amis.
Dans le monde des affaires, chaque grosse société a son concurrent direct : Coca-Cola a Pepsi, Microsoft a Appel et au cinéma, Pixar a Dreamworks. Lorsque l’un sort un produit, l’autre suit rapidement.
Nous avons eu droit à notre Pixar, au tour à présent du film d’animation de Dreamworks.
Sans atteindre à l’humour et la qualité de « Shrek », j’ai bien aimé « Over the Hedge », il est plus drôle en tout cas que « Madagascar » avec un message en plus : celui de la satire de la société de consommation outre-Atlantique, surtout dans le monde du « junk food ».
De plus le film véhicule un très sympathique message sur la famille, l’honnêteté, l’amitié, la confiance entre amis, la solidarité. Peu importe que l’on ne se ressemble pas, ce qui compte c’est de se serrer les coudes.
La bande de lancement du film met l’accent sur le côté comédie loufoque, mais il y a ce petit quelque chose en plus qui fait réfléchir. Sur l’écologie par exemple, où les petits rongeurs se rapprochent des villes puisqu’elles empiètent sur leur territoire, où ils se rendent malades à force de piocher dans les poubelles des humains.
Et quelle bonne petite critique aussi de ces petites banlieues soi-disant « chics ». Pas à dire, certaines scènes semblent copiées sur ce qui se passe dans les environs de chez nous.
Les personnages étaient un peu prévisibles, surtout le jeu de Bruce Willis, la voix de R.J. le raton-laveur pas très net. L’ours très mal léché est interprété par Nick Nolte qui a eu l’air de s’amuser beaucoup en forçant la note. Quant au papa oppossum, c’est William Shatner qui lui prête sa voix avec beaucoup d’humour également.
Quant à l’écureuil Hammy, il est évident que c’est le « Squirrel » de Tex Avery qui l’a inspiré, il est déjanté et hystérique à souhait comme son illustre prédécesseur.
-
UNDER CAPRICORN d'Alfred Hitchcock
Le jeune et superficiel Irlandais, Charles Adare, arrive avec son cousin gouverneur à Sidney, Australie. Très vite il se lie d’amitié avec Sam Flusky, un ex-bagnard grâcié et devenu l’un des hommes les plus riches de la région, ce qui n’empêche qu’il ne soit pas bien vu par les notables locaux.
Charles reconnaît en Henrietta Flusky, l’épouse de Sam, une amie d’enfance.
La jeune femme est devenue alcoolique et paraît très malheureuse, en fait elle semble au bord de la folie ; le couple c’est évident bat de l’aile. C’est Milly, la gouvernante, qui s’occupe de la maison comme si elle en était la vraie maîtresse.
Avec le consentement de Sam, Charlie va tenter de redonner à Hettie la place qui lui revient légitimement dans son foyer et si possible dans la société.
Charles sauvera-t-il son amie d’enfance des griffes des démons qui l’entourent ?
Voilà donc l’un des seuls films d’Hitchcock que je n’avais jamais vu. Je suis contente d’avoir réparé cette lacune car c’est un excellent thriller, l’une de ces histoires dont Hitch avait le secret, en provoquant des frissons au moment où l’on s’y attend le moins, jouant des éclairages et des couleurs pour placer l’ambiance.
Tiré d’un roman célèbre en Australie et réalisé après “Rebecca”, “Under Capricorn” présente quelque similitude avec son prédécesseur du moins en ce qui concerne la presence nuisible de l’intendante se considérant comme la veritable maîtresse de maison.
Le film fait partie des réalisations dites « romantiques » d’Hitchcock qui disant de lui-même avoir « un c½ur de midinette » malgré toutes les horreurs qu’il filmait. La parole a énormément d’importance ici, chaque mot a son poids dans cette histoire. Le film fait aussi partie de ces histoires dont Hitchcock raffolait sur l’exorcisme du passé, un sujet qu’il exploitera également avec « Marnie » et où la trame dramatique se construit lentement, jusqu’au paroxysme de la fin.
On considère techniquement « Under Capricorn » comme l’une des plus belles réalisations en Technicolor et effectivement la photographie est superbe; il fut cependant peu accepté par le public et la critique au moment de sa sortie et du coup, le grand Al le détesta à l’époque.
Les acteurs sont tous fort connus du public anglo-saxon, à commencer par le charmant Michael Wilding (un des ex-maris d’Elizabeth Taylor) qui interprète le jeune et frivole Charles Adare qui finira par s’avérer un homme d’honneur ; Joseph Cotten et Ingrid Bergman sont le couple « maudit » pour qui les sacrifices respectifs pèsent lourd sur leurs sentiments réels.
Cependant celle qui vole une part de la vedette à tous, celle qui est le très mauvais ange de « Under Capricorn » est joué par la célèbre actrice de théâtre Margaret Leighton (grande copine d’Agatha Christie qui écrivit une pièce rien que pour elle : « Spider’s Web »). Leighton est époustouflante méchanceté ; sa langue de vipère ne s’arrête pas un seul instant, elle distille son venin avec un sourire et une gentillesse réellement effrayants. La jalousie, l’envie lui font dire et faire les pires choses tout en gardant un visage d’ange, j'en ai encore des frissons.
-
Et si c'était vrai ... :powa: :wub2:
-
Et si c'était vrai ... :powa: :wub2:
ah oui, la récup' à Spielberg et aux opposants à l'euthanasie :angry:
-
Euh, c'est un peu simpliste comme description :rolleyes:
-
Euh, c'est un peu simpliste comme description :rolleyes:
simpliste et réducteur, tu as entièrement raison, mais depuis que le livre de Levy est sorti plus le film entretemps, les sociétés "bien pensantes" opposées à l'euthanasie prennent cette histoire débile comme modèle du "surtout ne débranchez pas les machines"
:cnul:
-
MINNIE & MOSKOWITZ de John Cassavetes
Dire que j’ai été bouleversée par « Minnie & Moskowitz » serait très exagéré, dire aussi que j’ai ri aux éclats serait tout aussi surfait bien que le réalisateur ait affirmé avoir voulu se lancer dans une « screwball comedy » (comedie loufoque). Comme j’ai toujours aimé ce que réalisait ou interprétait John Cassavetes, qui est d’ailleurs considéré comme le créateur du « cinéma-vérité », je me suis laissé guider par ma curiosité avec les risques que cela implique évidemment.
Question « risques », il y a déjà le fait que Moskowitz n’arrête pas de hurler au lieu de parler, que Minnie, instable comme pas deux, a des états d’âme qui sont tellement crispants que l’on finit par se dire qu’elle a mérité la claque qu’elle se prend !
Il y a énormément de passion aussi dans cette histoire de gens totalement mal assortis mais qui ont tant besoin de tendresse l’un comme l’autre que cela en devient irrespirable pour eux. Apparemment l’amour selon John Cassavetes ne peut passer que par des conversations qui rapidement dégénèrent en agressions verbales voire physiques, jusqu’à ce que soudain une petite étincelle de profonde émotion touche chacun, y compris le spectateur.
Bien entendu, Minnie est interprétée par la formidable Gena Rowlands, plus que jolie et talentueuse (Mme Cassavetes à la ville) ; Seymour Cassel est Seymour Moskowitz et dans le rôle de l’amant marié, c’est John Cassavetes en personne qui se la joue aussi sale type qu’à l’accoutumée, avec ce petit quelque chose qui pétille dans l’½il comme pour faire comprendre au public de ne pas être dupe de ses airs de mauvais garçon. Un régal !
Le film est plein d’humour en plus des autres émotions, comme l’amour et le désespoir engendré par la solitude. Dans le rôle des mamans de Minnie et Moskowitz, on retrouve les mères respectives de Rowlands et Cassavetes. La scène où tous les quatre se rencontrent au restaurant afin de parler du mariage prochain est un petit morceau d’anthologie, surtout de la part de la mère Moskowitz qui tente de faire comprendre à sa future belle-fille qu’au fond elle mise sur le mauvais cheval.
-
Tu as raison, si les "bien-pensants" le prennent comme exemple ... :fouet2: ;)
Par contre, dans Walk the line, ça ne doit pas être le cas (drogue, divorce, alcool, rock) :siffle
Bon, je dois encore regarder lost in translation :hum:
-
Tu as raison, si les "bien-pensants" le prennent comme exemple ... :fouet2: ;)
Par contre, dans Walk the line, ça ne doit pas être le cas (drogue, divorce, alcool, rock) :siffle
Bon, je dois encore regarder lost in translation :hum:
LOST IN TRANSLATION :powa: :powa: :powa: :powa: :powa:
-
Tiens, justement, j'ai vu aujourd'hui que le bouquin de Marc Levy vient d'être traduit en anglais.
Sinon, j'aime aussi beaucoup les films de Sofia Coppola. :powa:
-
Tu as raison, si les "bien-pensants" le prennent comme exemple ... :fouet2: ;)
Par contre, dans Walk the line, ça ne doit pas être le cas (drogue, divorce, alcool, rock) :siffle
Bon, je dois encore regarder lost in translation :hum:
j'ai toujours raison :oui:
:proud:
-
DEAD MAN'S CHEST (PIRATES OF THE CARABEAN II
Comment résumer un film aussi loufoque ? en conseillant d'aller le voir séance tenante. C'est drôle, c'est endiablé, c'est parfois presque sérieux, bref c'est ce que les Américains appellent un "blockbuster" et ce que moi j'appelle un chouette film de vacances.
Il y a de l'humour, de l'action, des effets spéciaux formidables dans les maquillages et les décors, bref c'est une vraie bédé qui bouge et décoiffe.
Je ne reviendrai pas sur la prestation de Johnny Depp en Captain Jack Sparrow, parce que je n'exprimerais pas correctement à quel point elle est formidable; Orlando Bloom dans le rôle de Will Turner, preux chevalier prêt à tout pour sauver sa belle et son honneur, paraît un peu falot à côté de lui mais Keira Knightley allie charme à dynamisme.
Dans le rôle de Davy Jones, le "méchant" capitaine du "Hollandais Volant", on retrouve Bill Nighy l'un de mes acteurs anglais préférés, qui est totalement reconnaissable malgré un maquillage pas possible de poulpe, mais on reconnaît ses petits tics habituels avec la tête et surtout ses très beaux yeux bleus et sa voix "british".
Bref allez vous amuser sans arrière pensée, sans faire attention aux critiques de cinéma, ces empêcheurs de s'amuser en rond, qui prétendent que le film est trop long et qu'il contient des faiblesses.
Je déplore seulement qu'il faudra attendre 2 ans encore afin de voir la suite, car ici il faut absolument une suite, le film se terminant sur un point d'interrogation alors que le premier film eût pu se terminer sans suite s'il n'y avait eu le formidable succès.
-
Lost in translation :powa:
Je comprends parfaitement ce qu'il a ressenti :siffle
Mais contrairement à lui, j'étais accompagné :wub2:
-
DEAD MAN'S CHEST (PIRATES OF THE CARABEAN II
Comment résumer un film aussi loufoque ? en conseillant d'aller le voir séance tenante.
:cry: ça ne sort pas avant le 2 août ici !
-
DEAD MAN'S CHEST (PIRATES OF THE CARABEAN II
Comment résumer un film aussi loufoque ? en conseillant d'aller le voir séance tenante.
:cry: ça ne sort pas avant le 2 août ici !
:super: :super: :super: :super: :super:
ici on a avancé la date de sortie, pour gagner plus de sous, plus vite :lol: :lol: :lol: :lol:
-
:rolleyes:
-
LUCKY BREAK de Peter Cattaneo
James Hands a écopé d’une peine de prison d’onze ans pour avoir tenté de dévaliser une banque, sans aucun succès.
Après avoir purgé une partie de sa peine, il est transferré dans une autre prison. Se rendant compte de l’engouement du directeur pour les comédies musicales, James parvient à le convaincre de mettre en scène la vie de Lord Nelson et Lady Hamilton, en utilisant les prisonniers comme comédiens/chanteurs. Annabel, la charmante assistante sociale de la prison, ne croit pas à ce projet, elle est convaincue – à juste titre – que Hands va en profiter pour faire la belle. Sur ces entrefaits arrive un ancien complice de James, ayant vite compris ce qui se trame et voulant sa part du gâteau.
Tout l’humour du film est basé sur ces apprentis-comédiens-chanteurs qui doivent interpréter des rôles historiques en chansons. Ils sont absolument hilarants, surtout en costumes d’époque. Bref cela ne se raconte pas, ou alors très mal ; il faut voir le film pour en comprendre tout l’humour.
L’erreur des spectateurs en allant voir “Lucky Break” fut de la comparer au “Full Monty”, le premier film de Cattaneo, et surtout son tout grand succès. Certains ont même été voir « Lucky Break », convaincus qu’il s’agissait d’une suite !
Or, on ne compare pas des pommes et des oranges, elles n’ont ni le même goût ni la même forme et pourtant elles sont toutes délicieuses.
Par ailleurs, le film est basé sur un roman de Stephen Fry, ce qui est déjà en soi un signe d’humour – Fry est non seulement un écrivain génial mais aussi un excellent acteur, que l’on a pu voir dans « Life é Death of Peter Sellers » mais surtout dans le rôle de l’inspecteur dans « Gosford Park » où il était absolument inénarrable.
Puisque « Lucky Break » n’a pas rencontré le succès qu’il méritait lors de sa sortie en 2001, je recommande vivement aux amateurs de DVD et de bon cinéma de le louer et de le découvrir. Il en vaut réellement la peine, surtout si vous avez envie de savoir comment l’histoire se termine car le dévoiler reviendrait à vous donner le nom de l’assassin dans un roman d’Agatha Christie.
-
OPAL DREAMS de Peter Cattaneo
Les Williamson se sont installés dans le désert australien, dans la région des mines d’opales, un lieu désertique aussi peu accueillant que ses habitants. Le père tente en vain de trouver le filon qui les enrichira, la mère travaille comme caissière, les enfants vont à l’école… bref une famille qui semble normale.
Au sein de cette petite famille courageuse, il y a un fils gentil qui adore son père et une enfant de 7 ans, rêveuse, ayant pour seuls amis, deux amis imaginaires Pobby et Dingan ; elle leur parle, joue avec eux, les emmène avec elle à l’école, oblige sa mère à leur mettre une assiette à table… Jusqu’au jour où Pobby et Dingan disparaissent, événement qui au lieu de satisfaire tout le monde, va précipiter le drame.
Le père, ayant voulu rassurer la petite fille, est allé « chercher » ceux qui n’existent pas et par erreur a empiété sur le filon voisin ; immédiatement le propriétaire l’assigne en justice et le village le traite de voleur ; la douce maman en perd même son emploi, mais le pire est que Kellyanne se met à dépérir, refusant même de se nourrir. Ashmol, d’abord réticent, n’en peut plus de voir sa petite s½ur inconsolable et si malade ; il prend dès lors les choses en main.
Après la comédie sur fond social et la comédie policière, Peter Cattaneo aborde à présent un drame familial poignant, bourré de bons sentiments, dans lequel il montre à quel point il est dur de s’installer dans un nouvel endroit et de s’y faire accepter.
Il a aussi voulu prouver à quel point il est important d’avoir un rêve, à quel point le pouvoir de l’imagination et de l’imaginaire sont nécessaires aux êtres humains de tout âge. Il réussit à émouvoir sans trop de mièvrerie, en adaptant au cinéma le court roman de l’anglais Ben Rice, dont la belle-famille fait partie des mineurs d’opale en Australie. Dans le générique final apparaissent les dessins des amis imaginaires d’enfants du monde entier.
Les acteurs du film sont tous Australiens.
La petite Kellyanne est interprétée par Sapphire Boyce, fraîche et assez naturelle ; son frère est interprété par Christian Byers et là, c’est du grand art ! à aucun moment il ne donne l’impression de jouer, tout en lui est naturel. Un très beau jeu de jeune acteur.
La tendre maman des enfants est interprétée par Jacqueline McKenzie que les amateurs de la série « The 4400 » reconnaîtront probablement. Rex, le père un peu dépassé par les événements face à l’hostilité villageoise, est interprété par Vince Colosimo.
« Opal Dreams » est un joli conte, où tout sonne très vrai et c’est je pense ce qui en fait la force.
-
H2G2 à ... :mdr: :rolleyes: :powa:
-
H2G2 à ... :mdr: :rolleyes: :powa:
THE GALACTIC GUIDE, je crois
très bon, excellent, très drôle :powa:
-
ROMANZO CRIMINALE de Michele Placido
Dans les années 70 à rome sévissait une bande de jeunes délinquants des bas-fonds, qui rêvaient de devenir les « rois du crime » dans la capitale italienne. Les trois chefs de la bande répondent aux surnoms du « Libanais », du «Freddo » et du « Dandy ».
Afin d’asseoir leur suprématie, les malfrats enlèvent, séquestrent et finalement tuent un baron italien ; l’argent de la rançon va leur servir à acheter le contrôle absolu de la drogue et la prostitution. Ils vont faire alliance avec la mafia afin d’encore plus élargir le champ d’action vers le jeu notamment.
Non seulement ont-ils des alliés puissants dans l’organisation du crime, mais ils reçoivent aussi la protection de membres corrompus de l’état, soucieux de conserver la démocratie (chrétienne bien sûr !). Ceux ci vont même manipuler les malfrats afin d’infiltrer les Brigades Rouges.
Basé sur l’histoire vraie de la « Banda della Magliana », le film de Michele Placido, excellent acteur italien s’étant tourné vers la réalisation depuis quelques années, n’est pas exempt de multiples clichés, à savoir : la prostituée repentie, l’assassin froid qui tombe amoureux d’une jeune femme cultivée représentant pour lui la Vierge Marie, le flic courageux mais aux mains liées, qui éprouve des sentiments ambigus pour la prostituée qu’il utilise pour coincer son gangster de petit ami, les avocats marrons, les flics véreux, bref toute la panoplie y est.
Cependant, malgré des longueurs et quelques faiblesses, le film est une intéressante analyse de la situation pourrie en Italie et sur la vie d’un gang. On y prouve, si besoin était, que le soi-disant code d’honneur des gangsters est plutôt un leurre pseudo-romantique ; en réalité ils n’ont soif que d’une chose ou plutôt de deux : de pouvoir et d’argent, de beaucoup d’argent, et ils sont prêts à tout, surtout à s’entretuer, pour cela.
C’est le romancier Giancarlo De Cataldo qui a lui-même écrit le scénario du film basé sur son livre. Il semblerait, selon ceux qui ont à la fois lu le livre et vu le film, que le livre lui soit supérieur ; on parle d’Ellroy et Pasolini ! Ce qui semble évident c’est que le roman soit plus analytique, moins mélo que le film.
Parmi les acteurs, on retrouve Jasmine Trinca, l’excellente actrice qui fut Giorgia dans la « Meglio gioventù » et vue aussi dans le récent « Caimano » de Nanni Moretti.
Kim Rossi Stuart avec ses très beaux yeux d’aigue-marine est un « Freddo » des plus réalistes, au visage imperturbable lorsqu’il tue. Dans le rôle du commissaire qui veut absolument mettre la bande sous les verrous, on retrouve Stefano Accorsi vu récemment dans « Les Brigades du Tigre ».
« Romanzo Criminale » est un film intéressant, mais pas un chef d’½uvre.
-
Fusion (the core) :powa: A mettre dans le même paquet que Le jour d'après ou Contact :prosterne:
-
ROMANZO CRIMINALE de Michele Placido
J'ai commencé le livre mais je ne l'ai pas terminé. Trop virile pour moi ! :lol:
-
BLACK NARCISSUS de Michael Powell et Emeric Pressburger
Des religieuses doivent installer un dispensaire et une école dans une région particulièrement hostile des montagnes des Indes ; le froid y règne, le vent y est maître des cérémonies, les indigènes ne veulent pas vraiment de ce que la soi-disant civilisation leur offre. Le bâtiment mis à leur disposition est un vieux palais ayant abrité autrefois les multiples épouses et concubines du petit roi local. Les murs sont d’ailleurs peints de scènes plutôt érotiques pour un couvent !
Très vite des tensions se forment au sein du petit groupe, l’une des nonnes est particulièrement hostile à cette mission, elle semble d’ailleurs sombrer lentement dans la folie. Le lieu où elles résident semble aussi propice à la résurgence de souvenirs mettant en péril leurs vocations.
Dans les années 40, deux jeunes gens décidèrent de fonder une société de cinéma qui laisserait de la place à la créativité, alors que l’époque était plutôt aux films de propagande face à la seconde guerre mondiale. Il s’agissait de l’Anglais Michael Powell, réalisateur, et son ami le scénariste Emeric Pressburger, un Juif hongrois, ayant fui le nazisme. Ils entamèrent une collaboration longue et fructueuse qui offrit au cinéma plusieurs de ses plus belles réalisations. Leur compagnie s’appelait « THE ARCHERS » (les Archers) et se poursuivit jusqu’au milieu des années 50. Leurs films présentaient une créativité et des audaces dans les scénarios et mises en scène qui surprirent souvent leurs producteurs.
« Black Narcissus » date de 1946, a été totalement tourné dans les studios de Pinewood, Londres ; le film récolta trois oscars, notamment ceux de la direction artistique et de la couleur. Celle-ci est absolument superbe ; la lumière et les couleurs sont des acteurs à part entière du film, et Jack Cardiff mérita bien l’oscar qu’on lui descerna.
Les décors sont fabuleux, surtout lorsque l’on sait que tout a été fait en studio.
Quant à la musique, non seulement elle s’intègre parfaitement à l’histoire, mais elle la marque également.
Le film met aussi l’accent très subtilement sur le conflit de deux civilisations, cultures et religions tellement différentes ; les réalisateurs n’hésitent pas à montrer par petites touches dans les dialogues le racisme latent des Blancs, même si ce sont des religieuses.
Par ailleurs, il y a un érotisme latent et omniprésent faisant de ce film un pionnier en la matière. L’humour n’est pas non plus absent de cette histoire tirée d’un roman, ce qui fut exceptionnel pour le tandam Powell-Pressburger dont les scénarios étaient généralement originaux.
Un DVD du « Black Narcissus » vient de paraître et je conseille vivement aux amateurs de thrillers, films d’ambiance, cinéphiles, de le regarder. C’est un excellent moment d’histoire du cinéma.
-
THE SADDEST MUSIC IN THE WORLD de Guy Maddin
Dans le cadre des “Inédits de l’Ecran total” voici un film tout à la fois fantaisie musicale et mélo, tragédie et comédie burlesque.
A Winnipeg, pendant la Grande Dépression de 1933, une baronne de la bière ayant perdu les deux jambes, l’une à cause d’un accident automobile, l’autre parce qu’un chirurgien stupide et saoul l’a amputé de la jambe non accidentée, décide d’organiser un concours, dont le prix est de 25.000$, un véritable marathon de la chanson triste, à l’instar de ces marathon de la danse tels qu’on a pu les voir dans « On achève bien les chevaux » !
Le réalisateur canadien Guy Maddin nourrit une profonde admiration pour le cinema muet, entre autres celui de Murnau et Fritz Lang. Il y a donc dans « Saddest Music » des réminiscences de « Metropolis » et son Eve mécanique dans la baronne de la bière lorsqu’on lui attache ses jambes en verre remplies de bière. Mais ce petit clin d’½il ne représente pas à lui seul l’hommage de Maddin à ses illustres précédesseurs ; le film est pratiquement totalament en noir et blanc ; il est réalisé en video 8mm et possède le rythme et l’ambiance d’un film du muet. Le ton, par ailleurs, est volontairement moqueur, au spectateur de décider s’il s’agit ou non d’une parodie. L’effort visuel est évident et selon les afficionados très créatif, cependant il est physiquement un peu fatiguant à supporter pendant 90 minutes.
Personnellement j’y ai surtout vu un exercice de style, mais le cinéma après tout ce n’est pas que « Star Wars » ou Tom Cruise (heureusement d’ailleurs dans ce dernier cas !), parfois il est bien aussi de voir quelque chose de non-conventionnel.
Dire que Guy Maddin, qui s’est inspiré d’un scénario japonais, a de l’imagination est un doux euphémisme.
Personnellement, je trouve que « The Saddest Music… » part un peu trop dans tous les sens, mais c’est certainement une expérience cinéphile intéressante qui restera longtemps gravée dans ma mémoire. Et c’est un film que je recommande justement parce qu’il sort totalement des sentiers battus des grands écrans.
-
FRANKIE de Fabienne Berthaud
L'histoire, un peu ennuyeuse avouons-le mais cependant très justement observée, d'un mannequin en plein "burn out" (au bout du rouleau, quoi ! :P ). Totalement docu-fiction, malgré les critiques qui prétendent le contraire.
Le film est un aller-retour entre les souvenirs de Frankie à travers le monde de la mode et le présent, alors qu'elle se trouve dans une clinique en pleine nature (qui existe d'ailleurs dans la réalité). La plupart des personnages interprètent leur propre rôle. Les photographes sont particulièrement caricaturaux et cependant aussi "prima donna" qu'ils le sont dans la vie réelle (je le sais, j'en ai cotoyé qui leur ressemblaient comme deux gouttes d'eau !)
J'ai assez regretté la version 1966 du photographe William Klein et son ludique "Who are you Polly Maggoo?", abordant le même sujet mais de manière plus humoristique.
Diane Kruger - ancien mannequin elle-même - est tout simplement excellente dans le rôle.
-
Fahrenheit 9/11 :blink:
-
THE LAKE HOUSE d'Alejandro Agresti
Si vous recherchez une histoire logique et vraisemblable, n’allez pas voir « The Lake House », ce film vous exaspérera.
Par contre si – comme moi – vous aimez les contes de fées, si les histoires pleines de fantaisie, à la limite de la science-fiction, vous plaisent, n’hésitez pas un seul instant.
Non seulement « The Lake House » est une plaisante bleuette, une sympathique histoire où tout le monde est gentil (c’est rare !), mais le spectateur se laisse vite emporter par cette « conversation » à travers l’espace-temps de deux êtres faits l’un pour l’autre.
Bien sûr, ceux qui n’aiment pas les histoires romantiques parleront – comme les critiques de cinéma – de guimauve, de simplicité « simplette », mais moi qui suis une simplette, j’ai marché à fond parce que nous avons tous quelque part notre âme-s½ur qui nous attend, il ne faut pas laisser passer le petit moment magique qui nous réunira à elle.
-
THE LAKE HOUSE d'Alejandro Agresti
Si vous recherchez une histoire logique et vraisemblable, n’allez pas voir « The Lake House », ce film vous exaspérera.
Par contre si – comme moi – vous aimez les contes de fées, si les histoires pleines de fantaisie, à la limite de la science-fiction, vous plaisent, n’hésitez pas un seul instant.
Non seulement « The Lake House » est une plaisante bleuette, une sympathique histoire où tout le monde est gentil (c’est rare !), mais le spectateur se laisse vite emporter par cette « conversation » à travers l’espace-temps de deux êtres faits l’un pour l’autre.
Bien sûr, ceux qui n’aiment pas les histoires romantiques parleront – comme les critiques de cinéma – de guimauve, de simplicité « simplette », mais moi qui suis une simplette, j’ai marché à fond parce que nous avons tous quelque part notre âme-s½ur qui nous attend, il ne faut pas laisser passer le petit moment magique qui nous réunira à elle.
Je crois que je vais aimer alors, j'aime bien ces histoires là :) , pis bon hein, les critiques de cinéma hein ... :D
-
Enfin un peu de temps pour regarder Ray :powa: :prosterne:
-
LA TOURNEUSE DE PAGES de Didier Dercourt
Que feriez-vous si quelqu’un – sans mauvaise intention – vous bousillait un important examen ? Vengeance ? Pardon ?
Pour la jeune Mélanie la question ne se posera pas, sa vengeance sera implacablement calculée.
Agée d’une dizaine d’années, Mélanie, enfant sérieuse, est particulièrement douée pour le piano et se prépare à l’examen le plus important de sa vie, celui qui doit lui ouvrir les portes du conservatoire. Parmi les membres du jury, une pianiste célèbre qui sans réfléchir un seul instant perturbe involontairement le jeu de la petite fille. Déconcentrée, celle-ci n’arrive pas à terminer correctement le morceau et est recalée. Elle ne touchera plus jamais à son piano, mais au vu de sa réaction après l’échec au conservatoire, on se doute bien qu’elle ne va pas en rester là.
Rarement héroïne de cinéma fut-elle plus inquiétante et méchante que cette charmante personne au visage de madone ; Deborah François qui fit, paraît-il des débuts remarqués dans « L‘Enfant » des Belges Dardenne, ressemble ici à un personnage sorti tout droit d’un film d’Hitchcock. Elle porte tout le film sur ses jolies épaules et c’est une grande performance.
Catherine Frot est la fragile Ariane Fouchécourt, qui bouleversa involontairement la vie de Mélanie et qui verra la sienne tout aussi saccagée.
Un film donc où le mal, la méchanceté sont simplement suggérés, devinés par le spectateur, sans que le sang ne coule, ce qui est assez rare dans les thrillers cinématographiques actuels.
-
LA TOURNEUSE DE PAGES de Didier Dercourt
Un film donc où le mal, la méchanceté sont simplement suggérés, devinés par le spectateur, sans que le sang ne coule, ce qui est assez rare dans les thrillers cinématographiques actuels.
Je suis allé le voir cette semaine, j'ai vraiment aimé autant l'histoire que la performance de Déborah François. Il y a une ambiance dans ce film, froide, plus pesante à chaque instant. Je dirais que cette fille, Mélanie et d'un diabolique, ça en donne des frissons. Excellent !!
-
THE RED SHOES de Powell & Pressburger
Les “Archers” ont encore misé en plein dans le mille ! Toujours dans le cycle qui leur est consacré dans le cadre de l’Ecran Total, voici une autre de leurs créations, aussi kitsch mais nettement plus émouvante que « Black Narcissus ».
Inspiré par le très joli, mais très triste, conte d’Andersen (ne le sont-ils d’ailleurs pas tous ? Pensons à la « Petite Sirène » ou « la Petite fille aux allumettes » !), l’histoire des « Chaussons Rouges » reproduit non seulement le superbe ballet du chorégraphe Robert Helpmann, ballet très bien introduit dans l’histoire, mais le conte inspire le scénariste Pressburger pour raconter la vie courte et intense de la charmante danseuse Vicky Page et du jeune et talentueux compositeur amoureux d’elle.
La célèbre danseuse Moira Shearer – qui est morte cette année à l’âge de 80 ans - débute dans ce film et crève littéralement l’écran. Sa superbe chevelure rousse flamboie lorsqu’elle danse légère comme un oiseau qui s’envole. Shearer ne tourna que peu de films préférant poursuivre sa carrière de ballerine.
L’histoire malheureuse de Vicky repose tant sur ses épaules que sur celles du comédien Anton Walbrook dans le rôle du directeur-impressario, manipulateur, rancunier, à la limite méphistophélique. D’ailleurs les éclairages de Jack Cardiff, une fois encore, sont absolument parfaits, ils cadrent à merveille avec l’intensité dramatique du caractère de Lermontov, un homme qui a une passion maladive pour le ballet.
Le rôle du jeune compositeur amoureux est interprété par Marius Goring, un jeune acteur anglais qui fit partie de l’Old Vic à Londres. En juin 40, Goring décida de lutter pour son pays ; la BBC l’engagea comme chef de productions, ce qui poussa le jeune homme à utiliser un pseudonyme, son patronyme étant malheureusement tristement célèbre à cette époque !
Dans « The Red Shoes » il est un peu fade et son jeu quelque peu outrancieux, face à Walbrook.
Dans le film le ballet « The Red Shoes », conçu par le chorégraphe Robert Helpmann, avec Powell et Pressburger, est proposé dans son entièreté dans de superbes décors, à la limite de l’onirique, incorporant un numéro dansé sans que cela ne nuise en rien au reste de l’intrigue, ni ne la transforme en comédie musicale. Tant les décors, les costumes que la chorégraphie sont d’une grande modernité et tout cela en 1948 !
-
je me rends compte en lisant les compte rendus des deux derniers films que j'ai vu, que finalement la rancune mène vraiment le monde !
quelle horreur, c'est certainement le défaut le plus immonde qui soit !
(c'est encore pire que les sarcasmes et déjà ça c'est insupportable)
-
Cela dépend du degré de rancune ... :siffle
-
LA TOURNEUSE DE PAGES de Didier Dercourt
Un film donc où le mal, la méchanceté sont simplement suggérés, devinés par le spectateur, sans que le sang ne coule, ce qui est assez rare dans les thrillers cinématographiques actuels.
Je suis allé le voir cette semaine, j'ai vraiment aimé autant l'histoire que la performance de Déborah François. Il y a une ambiance dans ce film, froide, plus pesante à chaque instant. Je dirais que cette fille, Mélanie et d'un diabolique, ça en donne des frissons. Excellent !!
bien aimé aussi :powa:
-
Pirates des Caraibes 2 !! :powa: J'accroche toujours autant. De toute façon, j'adore les films en costumes, les films d'aventure... surtout si c'est drôle, en plus !! J'attends le 3 avec impatience ! :bravo:
-
TAKESHIS de Kitano Takeshi
Takeshi – sous le nom de Beat Takeshi – est une célébrité dans le show-biz japonais; sous le nom de Kitano Takeshi il est acteur et réalisateur de films pour le moins insolites et très personnels, à la limite du surréalisme comme ce « Takeshis » où il rencontre son double sur un plateau télé. Ce « clone » aimerait devenir comédien et se rend à différentes auditions; en attendant il est caissier dans une superette pour gagner sa vie et rêve d’imiter son modèle dans des films de yakuzas. Traité avec désinvolture par tous, le pauvre type fait des rêves de plus en plus violents où il résout tous ses problèmes à la sulfateuse …
De Kitano TAKESHI je n’ai vu que trois films, mais les trois m’avaient fortement impressionnée par leur diversité : le sympathique « Eté de Kikujiro », le très sophistiqué et onirique « Dolls » s’inspirant du théâtre des marionnettes japonaises Bunraku, et finalement « Zatoichi » qui se terminait par un hommage aux comédies musicales américaines après que le sang eut coulé pendant une longue partie du film. Car en dehors de Kikujiro qui ressemblait à un intermède vacancier, tous les films de Takeshi mélangent l’extrême violence à une tendresse surprenante.
Dans ce « Takeshi » qui est un faux-vrai testament schizophrénique, Beat Takeshi se lâche vraiment dans la névrose tant du comédien adulé que du malheureux apprenti-comédien dont tout le monde se moque. Le rêve de Kitano Takeshi est d’être reconnu comme un vrai réalisateur doublé d’un vrai comédien, au lieu de cela il reste surtout célèbre en tant que Beat Takeshi l’amuseur public.
Comme l’a dit la presse, ce film serait son « Huit et demi », une espèce de portrait semi autobiographique qui malheureusement part dans tous les sens violents à la fin et ce délire final gâte l’ensemble qui démarrait avec beaucoup d’humour.
Ce qui est vrai c’est qu’à la lecture de sa biographie, on comprend mieux « Takeshis ».
-
The moon is blue d'Otto Preminger.
Une piece de theatre de boulevard portee a l'ecran par monsieur Preminger. Un architecte econduit, une actrice deluree, son pere policier, une ex-fiancee histerique et son pere deprave, voila pour la galerie de personnages qui vont se croiser dans tous les sens. Une realisation sobre et d'excellents dialogues nous font passer un bon moment.
Les dialogues sont vraiment surprenant pour un film de 1953. Mais que fait la censure? On y parle ouvertement de sexe, d'amour libre, on critique le mariage (merveilleux David Niven)... Des dialogues encore tres insolents si on les compare a nos production actuelle.
"Mieux vaut etre preoccupee par le sexe qu'occupee par le sexe." joli devise pour une jeune fille. :P
-
Un bon DVD à redécouvrir après quelques années : le 5ème élément :powa:
Même sur un petit LCD, c'est magnifique. Et avec la technologie d'aujourd'hui, il est possible de se rapprocher du résultat obtenu au cinéma :oui: ;)
-
TAPAS de Jose Corbacho et Juan Cruz
Partant du principe que chaque personne que l’on croise dans la rue ou dans un café a une histoire, se basant sur le fait que la plupart du temps les vies des gens sont mêlées même sans qu’ils le sachent, les réalisateurs de « Tapas » ont construit une sympathique histoire se déroulant dans une petite ville quelconque d’Espagne, pendant le mois de juillet.
Le lieu où l’on se retrouve le plus souvent est le bar du coin ou encore l’épicerie du patelin, ou encore la superette locale. Là les conversations se nouent et se dénouent, on se mêle gentiment (ou pas toujours gentiment) de la vie des voisins, on prêche le faux pour savoir le vrai.
Le film jette un regard à la fois tendre et cruel sur les petits travers humains ; il mêle humour, dérision et mélancolie, donnant à cette histoire des goûts aussi diversifiés que ces délicieuses bouchées épicées et salées que sont les tapas si délicieuses à déguster avec un verre de vin ou une bière bien fraîche.
« Tapas » c’est une histoire de la vie de tous les jours, de gens simples avec leurs angoisses, leurs peines, leurs questions sur l’amour ou le sexe, l’amitié, la jalousie. Bref une histoire universelle.
-
PARIS JE T'AIME
Mosaïque à sketches, « Paris Je t’aime » est agréable à suivre même si parfois un peu inégal.
Sur le thème universel de l’amour, des hommes et des femmes défilent sous nos yeux dans les quartiers d’un Paris actuel. Au hasard des arrondissements, des histoires se nouent ou se dénouent.
Amours tendres, amours malheureuses, mort, divorce, drague, drogue, tendresse, sexe sans oublier l’humour, vingt réalisateurs célèbres ont mis l’amour en scène, pendant 5 minutes chacun, utilisant des acteurs de renommée internationale ou d’autres un peu moins célèbres mais tout aussi bons.
Les films « mosaïque » sont très tendance, qu’ils soient choraux ou à sketches ; ils mettent en scène la vie de plusieurs personnes, certaines se retrouvant, se reconnaissant ou d’autres passant simplement leur chemin.
J’aurais tendance à dire que « Paris Je t’Aime » est un peu un « Love Actually » international qui nous promène dans la « Ville Lumière » et cette promenade procure un bien agréable moment de détente.
-
LE VOYAGE EN ARMENIE de Robert Guediguian
Barsam est gravement malade et souhaite mourir dans le pays qui l’a vu naître, l’Arménie. Il voudrait qu’Anna sa fille ait moins de certitudes, aussi Barsam part-il sans rien dire mais non sans laisser traîner quelques indices derrière lui afin qu’elle l’y rejoigne.
Commence alors « un road movie » tel que son père le souhaite pour elle, à savoir un voyage initiatique au pays du doute mais aussi au pays de ses racines. Elle rencontrera des personnages émouvants, faibles, forts, inquiétants, comme le général Yervanth, le médecin français qui se bat avec les faibles moyens dont il dispose, ou encore la petite coiffeuse/manucure qui aimerait tellement quitter ce pays qu’elle croit détester. Sans oublier Manouk, le chauffeur pour qui le Mont Ararat symbolise son pays.
-
Saint Joan d'Otto Preminger
L'histoire de Jeanne. Tout le monde la connait mais chaque realisateur reussi a en montrer une facette. Ici point de combat mais de la politique. Et une pucelle catalyseur de la France et comme tout bon catalyseur il est bon de l'eliminer en fin de processus. Preminger nous dresse ces classiques visions multiples d'un meme fait, de Jeanne le soldat a Jeanne la tetue en passant par Jeanne l'integriste (par contre jamais Jeanne la sainte n'est evoquee...).
A note le premier role de Jean Seberg
(http://perso.orange.fr/chabrieres/actresses/jean_seberg.jpg) :wub:
-
tu es en pleine rétrospective "Preminger", apparemment ;)
-
Surtout que je viens aussi de voir:
Advise and Consent, une intrigue a la maison blanche avec une guerre d'influence au sein d'un parti politique.
et
L'homme au bras d'or. Petit bijou du cinema noir sur les problemes de reincertion d'un exdrogue.
-
n'oublie surtout pas Anatomy of a Murder et River of no return :powa:
-
Comment rater River of no return avec mon idole Robert Mitchum?
Et aussi autopsie d'un meurtre avec le duo au piano Duke Ellington - James Stewart :bravo: :bravo:
-
Comment rater River of no return avec mon idole Robert Mitchum?
Et aussi autopsie d'un meurtre avec le duo au piano Duke Ellington - James Stewart :bravo: :bravo:
ah mais :non:
ah mais :non:
Robert Mitchum c'est MON idole :wub:
pas aussi chouchou que Robert Redford bien sûr, mais mon idole quand même :siffle
-
"Si la natation est bonne pour la ligne, pourquoi les baleines sont elles si grosses?"
Robert Mitchum.
Trop fort je dis!
-
Chaos vraiment :powa: avec un super scénario
Le matador avec un James Bond à la dérive :siffle
-
De quel Chaos parles-tu? Du film italien ou du film francais?
-
Le matador avec un James Bond à la dérive
j'ai bien aimé ! :powa:
-
Du Chaos américain :p
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=56148.html
Avec Jason Statham, Wesley Snipes, Ryan Phillippe
-
THE DEVIL WEARS PRADA, de Lauren Weisberger, un livre audio qui m'a énormément amusée (merci alex !) sur les mésaventures professionnelles de la jeune assistante d'une éditrice de mode, aussi méchante qu'élégante
LE CODE DU DIABLE, de John Sandford, un thriller informatique qui ne m'a que très peu fait trembler (définition du thriller), mais qui m'a beaucoup fait bailler par contre (excellent pour moi qui suis insomniaque)
-
THE DEVIL WEARS PRADA, de Lauren Weisberger, un livre audio qui m'a énormément amusée (merci alex !) sur les mésaventures professionnelles de la jeune assistante d'une éditrice de mode, aussi méchante qu'élégante
LE CODE DU DIABLE, de John Sandford, un thriller informatique qui ne m'a que très peu fait trembler (définition du thriller), mais qui m'a beaucoup fait bailler par contre (excellent pour moi qui suis insomniaque)
me suis plantée de rubrique : ce sont des BOUQUINS :lol:
-
LADY IN THE WATER, de M. Night Shyamalan
une bien jolie fable sur l’entraide, la solidarité, la nature, les êtres blessés qui se remettent de leurs plaies avec plus ou moins de difficultés.
-
Ne t'inquiète pas, c'est bien rangé dans la médiathèque :D
-
QUAND J'ETAIS CHANTEUR, de Xavier Gianoli
Une histoire d'amour entre Gérard Depardieu à la voix de crooner, et Cécile de France, en jeune femme blessée qui ne sait pas ce qu'elle veut. Et quelques belles vues du Massif Central
-
Il est dans ma liste de films à voir
-
Moi j'attends avec impatience "Devil wears Prada", je sens que le film sera aussi rigolo que ton livre audio.
merci alex ! ;)
-
THE WIND THAT SHAKES THE BARLEY, de Ken Loach
à voir absolument !
-
MY SUPER EX GIRLFRIEND, d'Ivan Reitman
un petit film sympa qui n'a d'autre objectif que d'amuser les spectateurs :powa:
-
PRESIDENT de Lionel Delplanque
un film sur la fonction présidentielle
oserais je le dire que l'on s'en f**** ?
mais à voir éventuellement, pour la formidable prestation d'acteur d'Albert Dupontel
-
Surtout dans un pays sans :siffle
The Eye 3 pour faire plaisir à madame ! Mort de rire du début à la fin pour ma part :rolleyes:
-
A scanner darkly de Richard Linklater
C'est une adaptation d'un roman au forte tendance autobiographique de Philip K Dick (auteur notemment de Blade Runner et de Confession d'un Barjot). Le film se passe a Los Angeles entre Orange County et Anaheim (le pays de Mickey) et montre la lente et ineluctable plonge en enfer d'Bob Actor un agent de la brigade des stups. Actor doit surveiller ses amis accroc a la drogue M (ou D selon la V.O. ou V.F) et remonter jusqu'a leur dealer. Helas il finit par succomber aux charmes de la drogue. Classique vous me direz oui mais! L'histoire tourne a l'absurde quand dans la quete du dealer on finit par demander a Actor de se surveiller lui-meme...
Un film finalement derangeant amplifie par l'aspect visuel du film: des acteurs filmes puis redessines: un film sauvagement graphique.
-
AN INCONVENIENT TRUTH, documentaire de Davis Guggenheim
avec Al Gore, un type honnête qui se bat pour que la catastrophe planétaire soit enrayée. Si vous n'allez voir qu'un seul film cette semaine, ou ce mois-ci, que ce soit celui-là !
-
THE CAVE OF THE YELLOW DOG
une très jolie histoire au sein d'une jeune famille de nomades en Mongolie
-
Contact, un incontournable pour moi, avec en plus le souvenir de mon premier article sur le web ;)
Bref, un super film, qui s'apprécie avec un bon Home Cinema :D
-
THANK YOU FOR SMOKING, de Jason Reitman, un régal d'humour noir et de cynisme
THE SCIENCE OF SLEEP, de Michel Gondry, sympa, onirique mais un peu décousu
-
Matrix, un classique qui se laisse revoir avec délectation :D :powa:
-
CHILDREN OF MEN, d'Arturo Curzon
courrez vour ce film, il est plus que bien :oui:
-
CHILDREN OF MEN, d'Arturo Curzon
courrez vour ce film, il est plus que bien :oui:
:oops: :oops: :oops: :oops: :oops:
le réalisateur de CHILDREN OF MEN est bien sûr ALFONSO CUARON
je suis sûre que vous aviez rectifié cette grosse erreur :cnul:
ce qui n'empêche que c'est un film à voir absolument :powa: :powa: :powa:
-
Underwolrd & Natural City, avec des ambiances ... :powa: :D
-
THE QUEEN, de Stephen Frears
un film qui ne vaut que par le jeu des acteurs et qui ne présente aucun autre intérêt - on se demande d'ailleurs ce que Frears a voulu prouvé ? que la reine d'Angleterre n'est pas sans coeur mais que le devoir passe avant tout ? mais on s'en fout complètement.
je ne vais pas refaire la prise de la bastille à moi toute seule, mais je ne répéterai jamais assez qu'on n'a PAS DU TOUT besoin des parasites que sont les rois et les reines.
-
THE DEVIL WEARS PRADA, de David Frankel
comme l'a dit très justement Alex, amusant sans plus. J'ai été déçue de ne pas y retrouver l'humour acerbe du roman, ici au lieu d'une critique du monde la mode, on croirait presque une publicité pour ce monde-là.
Mais le jeu de Meryl Streep vaut le déplacement tout de même ! Et quelle allure, vivement que mes cheveux blanchissent comme les siens; elle est tout simplement époustouflante, difficile de croire qu'elle a 57 ans !
-
SCOOP, de et avec Woody Allen
drôle, sympathique, ludique, un Allen de la meilleure veine
-
NE LE DIS A PERSONNE, de Guillaume Canet
excellente adaptation française du roman éponyme d'Harlan Coben (USA)
-
Le seigneur des anneaux :powa:
C'est vraiment le pied :dribble:
Je me demande si Narnia sera une fresque aussi intéressant :hum:
-
Le seigneur des anneaux :powa:
C'est vraiment le pied :dribble:
Je me demande si Narnia sera une fresque aussi intéressant :hum:
Beaucoup ont prétendu que NARNIA n'était qu'une "copie" du Seigneur des Anneaux.
D'abord c'est pas exact, l'histoire de Narnia est originale, tendre, passionnante, bien imaginée.
Ensuite, Tolkien et C.S. Lewis étaient de grands amis et Lewis n'a jamais caché avoir été influencé par les livres de son pote.
Personnellement je trouve Narnia beaucoup plus poétique que LOR, mais là nous sommes dans les "goûts et les couleurs"
si des fois que mon avis t'intéressait : voir le lien suivant :siffle
http://www.cafeduweb.com/system/content/content.php?content.385
ce qui m'étonne un peu c'est que j'avais aussi mis ma critique des "Chroniques" (lecture) en ligne mais elles n'apparaissent plus :hum:
me censurerait-on ? ??????? :shifty:
-
PRETE MOI TA MAIN, d'Eric Lartigau
gentil, tendre, sympa, un film pour les jours de cafard
critique en ligne
THE BLACK DAHLIA, de Brian de Palma
totalement Ellroy !
une adaptation fidèle au roman, fort bien filmée en sepia comme un vieux film des années 40.
critique pas encore en ligne
-
:non: on ne censure jamais :rolleyes:
Tout à fait d'accord avec toi pour les différences bien que je n'ai vu que le premier film qui ne doit pas rendre hommage au livre :rolleyes:
-
:non: on ne censure jamais :rolleyes:
Tout à fait d'accord avec toi pour les différences bien que je n'ai vu que le premier film qui ne doit pas rendre hommage au livre :rolleyes:
mais, banane !, elle n'est pas en ligne parce que je l'ai pas écrite cette critique, pas encore. Chuis rapide, mais quand même :rolleyes:
L.A. CONFIDENTIAL n'était pas mal non plus, mais les livres d'Ellroy sont tellement touffus qu'il est dur de les condenser - pourtant c'était relativement fidèle aussi.
en tout cas, je suis totally Ellroy - alias The Dog comme il se définit lui-même - voir ARTE pour ses interviews :
http://www.arte.tv/fr/art-musique/James_20Ellroy/A_20l_27antenne/1358182.html
-
Ah bon ? http://www.cafeduweb.com/system/content/content.php?content.655 :siffle
-
m'enfin, c'est surréaliste ici :lol:
je parle d'Ellroy et il me répond Narnia :mdr:
t'as encore fumé la moquette aujourd'hui ? :peur:
-
waaaaaaaaaaaaa, ça y est, j'ai compris :stupide: , c'est rapport à un commentaire d'il y a trois jours .... :lol:
mieux vaut tard que jamais :P
:proud:
:bisous: petit père de ma mini-george sand (amandine aurore dudevant :oui: )
-
Ca doit être la cuisine chinoise :siffle
-
:non: on ne censure jamais :rolleyes:
Tout à fait d'accord avec toi pour les différences bien que je n'ai vu que le premier film qui ne doit pas rendre hommage au livre :rolleyes:
mais, banane !, elle n'est pas en ligne parce que je l'ai pas écrite cette critique, pas encore. Chuis rapide, mais quand même :rolleyes:
L.A. CONFIDENTIAL n'était pas mal non plus, mais les livres d'Ellroy sont tellement touffus qu'il est dur de les condenser - pourtant c'était relativement fidèle aussi.
en tout cas, je suis totally Ellroy - alias The Dog comme il se définit lui-même - voir ARTE pour ses interviews :
http://www.arte.tv/fr/art-musique/James_20Ellroy/A_20l_27antenne/1358182.html
j'ajoute encore un lien pour Ellroy, je le trouve trop tout ce type, il me fascine (comme bukowski d'ailleurs)
http://www.arte.tv/fr/art-musique/James_20Ellroy/Un_20moraliste_20en_20enfer/1358246.html
-
Bukowski j'aime beaucoup
-
L.A. CONFIDENTIAL
bien aimé :)
:wub:
-
ANCHE LIBERO VA BENE, de Kim Rossi Stuart
du néo-réalisme italien, version 2006, avec le réalisateur dans le rôle principal et une bande son prise sur le vif, qui rendait le film quasi inaudible. Bref, un film vu parce qu'il était au programme du cours.
-
Borat
Un film que je trouve triste. Un road movie a travers les USA ou on croise que des cretins, des cons et des asservis. A croire que pour le realisateur rien n'est intelligent aux USA. Un triste portrait noye dans le burlesque.
Casino royal
Les producteurs ont decide de couper avec les Bond precedent. Bonne nouvelle pour ceux qui n'aimaient pas 007. Pour les autres 2h15 d'ennui. Les critiques appuient sur le developpement du cote psychologique du heros. C'est vrai que le nouveau Bond est assez cinique, noir et ultra violent. Un retour au heros des romans. On a rarement vu un Bond dans un etat aussi lamentable a la fin de chaque scene d'action. Bond amoureux? Une premiere d'apres certain critique. Encore des inculte de la serie, Bond s'est marie il y a 30ans dans Au service secret de sa majeste. La scene phare du film: une partie de poker. Genial non, il ne manquait plus que Patrick Bruel en adversaire. Des endroit merveilleux: les Bahamas, Venise. Archi vu dans toute la serie. Quelques scenes d'actions spectaculaires, mais vite oublie face aux longues, longues tres longues scenes de romance digne de Star WAr 2. Je passerai sur le nombre de scene d'ambiance completement inutile a croire qu'il fallait a tout prix justifier le budget voyage du film.
On dira que c'est un film de transition pour introduire le nouveau Bond. Oui pourquoi pas. En tout cas je salue la diminution des gadgets au minimum, je deplore le retour de la femme objet (qui avait pourtant disparue des derniers opus). Je pleure sur la ,disparition du cote bondien du film: rien d'extraordinaire n'est fait. A croire que sauve le monde est finalement aussi chiant que de lire un tableau de chiffre. Une fois de plus un retour a la realite salue par tous. Pas par moi ca c'est certain. On ne voit pas un Bond pour son cote realiste, sauf le public de ces dernieres annees qui le reclamait. Le Bond nouveau cede une fois de plus aux lois de l'offre et de la demande. Je dirais que c'est le principal atout de la serie, une jolie vitrine du monde de 1950 a nos jours. Mais quitte a voir un film "psychologique" je prefere un Chabrol qu'un 007. J'attend le tour suivant pour voir.
-
BABEL, d'Inarritu
le soi-disant chef d'oeuvre de l'année - le film de tous les clichés, il n'y en a pas un qui n'ai pas été épargné
-
BABEL, d'Inarritu
le soi-disant chef d'oeuvre de l'année - le film de tous les clichés, il n'y en a pas un qui n'ai pas été épargné
et ça dure trois heures !
-
ZWARTBOEK, de Paul Verhoeven
un épisode de l'histoire des pays-bas (fin de la seconde guerre mondiale), basé sur des faits réels
-
Red eye puis SPL :powa:
Ce dernier est d'une violence ... :blink: :starwars: :ambulance:
-
CASINO ROYALE
le "dernier" James Bond - si seulement c'était vrai ! car un James Bond réaliste n'est vraiment pas amusant à regarder - presque aussi ch**** que "Babel" et presque aussi long - moi j'aimais bien aussi les anciennes versions, avec leur air de pas se prendre au sérieux
chuis presque d'accord avec tout ce qu'en a dit Michey
-
Les "James Bond" - ce sont les seuls films pendant lesquels je m'endormais du temps où je fréquentais encore les salles non encore envahies de grignoteurs de pop-corn. . . .
-
WATER, de Deepa Mehta, réalisatrice indienne, vivant à Toronto
un film émouvant et magnifiquement mis en scène
-
ENSEMBLE, C'EST TOUT, de Claude Berri, l'adaptation du roman d'Anna Gavalda, que je vais me précipiter de lire
le film est épatant
MUSIC & LYRICS, de Marc Lawrence, une très sympathique comédie romantique, pleine d'humour - avec Hugh Grant :wub:
-
Une théorie prétend que si l'on pouvait retourner dans le passé et changer quelques détails de notre vie, tout ce qui en découle serait modifié. On appelle cela "l'effet papillon". Evan Treborn a cette faculté. Fasciné, il va d'abord mettre ce don au service de ceux dont les vies ont été brisées dans leur enfance. Il peut enfin repartir dans le passé et sauver la seule jeune fille qu'il ait jamais aimée.
Mais Evan va découvrir que ce pouvoir est aussi puissant qu'incontrôlable. Il va s'apercevoir que s'il change la moindre chose, il change tout. En intervenant sur le passé, il modifie le présent et se voit de plus en plus souvent obligé de réparer les effets indésirables de ses corrections... :hum:
Vouloir changer les évènements,
Vouloir changer la vie des autres et la sienne...
C'est un rêve, ou un cauchemar?
Voilà le sujet d'un film que j'ai découvert ce soir.
Très dur par moment...
Très vite on accroche à une histoire bien ficelée,
pour suivre un rythme qui ne va pas arrêter de progresser....
Un film à voir absolument. :powa:
Une histoire passionnante... :bravo:
Du grand cinéma, qui vous laissera quelque chose
au fond de vous.
Pat
-
THE GOOD GERMAN de Steven Soderbergh
très bon film noir, rappellant totalement "LE TROISIEME HOMME", louchant un peu vers "Casablanca" sur la fin et beaucoup vers "MARIA BRAUN" de Fassbinder pour le personnage féminin
-
Bien que les chevaux ne soient pas mon dada :P
DANSE AVEC LUI, de Valérie Guignabodet, une jolie histoire d'amitié entre humains et chevaux blessés par la vie
-
MISS POTTER, de Chris Noonan
-
MISS POTTER, de Chris Noonan
le vie de BEATRIX POTTER était nettement plus intéressante que ce que le film en a fait, bien qu'il s'agisse d'une mignonne histoire familiale. (Si seulement ils avaient choisi quelqu'un d'autre que Renee Zellweger et ses mimiques de bouche ridicules) :rolleyes:
J'ai parlé de Miss Potter ailleurs (là où ne considère pas mes articles comme étant trop longs :P )
et pour ceux que cela intéresse et qui lisent l'anglais je suggère ce lien
http://www.visitcumbria.com/bpotter.htm
-
GOLDEN DOOR, d'Emanuele Crialese (Titre original : NUOVO MONDO)
une intéressante réflexion sur la manière dont les USA "sélectionnaient" les immigrants - film d'époque très bien rendu et gentiment interprété par Charlotte Gainsbourg et Vincenzo Amato.
Le film a obtenu le Lion d'Argent au festival de Venise, un prix bien mérité pour le sujet
-
PERFECT STRANGER, un thriller qui ressemble plus à un telefilm qu'à un vrai film, malgré les têtes d'affiche
WILD HOGS, un "road & buddy movie", très sympa avec 4 acteurs qui ont eu l'air de bien s'amuser
-
CURSE OF THE GOLDEN FLOWER de Zhang YiMou
-
LE PRIX A PAYER d'Alexandra Leclerc
-
Dance with me (Take the Lead) :powa:
-
IRINA PALM de Sam Garbarski
chronique familiale douce amère, d'une grand mère prête à tout pour sauver son petit fils
-
Sunshine http://www.sunshine-lefilm.com/
pour un petit tour dans les étoiles :)
bien aimé :powa:
-
:bye:
J'ai regardé trois DVD en fin de semaine
(http://img263.imageshack.us/img263/5679/18701947mi2.jpg)
le premier "UNE NUIT AU MUSÉE"
:bravo: Un bon divertissement. J'ai particulièrement apprécié le Squelette d'un T-REX, je pense, qui se prend pour un chien. J'ai bien rigolé.
(http://img96.imageshack.us/img96/6452/arton122ib5.jpg)
Nom de code "NETTOYEUR"
Imaginez un peu = le gars se réveille dans une chambre d'hôtel avec un cadavre a coté de lui et une malette pleine d'argent, le problème c'est qu'il ne se souvient de rien pas même de son nom.
Comédie peut-être ordinaire mais j'ai passé un bon moment.
et le dernier.
(http://img176.imageshack.us/img176/5863/18684934no0.jpg)
"DÉJA VU"
celui la j'ai bien aimé, j'ai apprécier le scénario Bon la fin Moins mais quand même a voir.
:bye:
-
-
:rolleyes: incroyable, les messages s'en vont tous seuls :lol:
bref tout ça pour dire que je viens de voir NEXT de Lee Tamahoshi
dans la même verve que "Déjà vu"
un bon film de science-fiction et d'action
j'ai beaucoup aimé "night at the museum" aussi, quand il est sorti
-
:rolleyes: incroyable, les messages s'en vont tous seuls :lol:
bref tout ça pour dire que je viens de voir NEXT de Lee Tamahoshi
dans la même verve que "Déjà vu"
un bon film de science-fiction et d'action
j'ai beaucoup aimé "night at the museum" aussi, quand il est sorti
OOOOOOOOOOOOPS - le réalisateur de "NEXT" est LEE TAMAHORI (je crois que j'ai confondu avec ces jeux idiots pour enfants : les insupportables tamagoshis
:lol:
-
THE GOOD SHEPERD de Robert de Niro
excellent
-
JE CROIS QUE JE L'AIME, de Pierre Jolivet, avec une Sandrine Bonnaire absolument irrésistible
-
et qui donc ?? :siffle
:bisous: Niki
-
et qui donc ?? :siffle
:bisous: Niki
voir le blog :P
-
PIRATES DES CARAIBES III
un peu plus dramatique que les précédents, un peu long aussi mais quelle chouette soirée !
-
INFAMOUS, de Douglas McGrath
autre biopic sur Truman Capote, auteur de "In cold blood", version légèrement supérieure (pour moi) au film de Bennett Miller (voir mon (trop long) commentaire http://www.cafeduweb.com/news.php?extend.6185 ) de l'an passé
-
J'en enfin vu Anthony Zimmer :oui: :siffle
Vu ce que j'avais lu, je m'attendais au pire :rolleyes:
Et bien non, c'était :powa:
-
J'en enfin vu Anthony Zimmer :oui: :siffle
Vu ce que j'avais lu, je m'attendais au pire :rolleyes:
Et bien non, c'était :powa:
t'avais pas lu ma news alors ?
car c'est vrai que c'était :powa:
-
Euh ... non :fouet2:
-
Euh ... non :fouet2:
pas grave, je viens de réaliser que je ne l'avais pas transmise ici :lol: :lol: :lol:
je ne sais plus très bien où la critique se trouve d'ailleurs - faut que je retrouve dans ma petite biblio ciné personnelle
-
Si si ... mais c'est Téki qui l'a mise en ligne (ou en tout cas qui a fait la news) :siffle
http://www.cafeduweb.com/news.php?extend.5465
-
l'excellent ZODIAC, de David Fincher
-
SHREK THE THIRD
-
Est-ce que tu vas toujours au même cinéma ? :hum:
-
SHREK THE THIRD
de Chris Miller
encore plus déjanté que les deux autres - mais mon préféré reste le 2
(et j"'aimerais bien que cet ordi cesse d'envoyer mes messages à ma place :mdr: )
-
Fallait .... ok je :laferme: :chaise:
-
Est-ce que tu vas toujours au même cinéma ? :hum:
bin ça dépend duquel tu parles :lol:
je vais soit à Louvain la Neuve, soit à la porte de Namur (tous les 2 des UGC, là où j'ai une carte unlimited)
LLN = en voiture
Toison d'Or = à pied
il y a encore un ciné à Braine l'alleud où je vais aussi, de temps en temps
pourquoi me demandes tu ça ?
-
OCEAN 13 de Steven Soderbergh
avec la panoplie des beaux gosses d'hollywood :wub:
-
Simplement pour savoir si le déménagement t'avait "facilité" la vie de ce point de vue ;)
Donc oui a priori vu que tu peux y aller à pied :powa:
-
je peux tout faire à pied tant que cela concerne la ville, le haut et le bas :oui:
jeudi, j'étais allée au concert à pied aussi, puisque ma copine était en voiture et elle m'a ramenée :D
maintenant, je ne suis pas certaine que je me taperai la ville à pied le soir, après le concert ou le théâtre si je suis seule :huh:
pour l'aller cela ne pose pas de problèmes, mais après 22 h, je ne suis plus aussi dynamique :lol:
-
pourquoi me demandes tu ça ?
Parce qu'il est TRES TRES TRES curieux :lol: :bisous:
-
:rolleyes: :langue:
-
Et il tire la langue en plus :mdr:
:langue2: ;)
Bon dimanche les loulous :bisous:
-
GOYA'S GHOSTS de Milos Forman
:bravo:
-
LA DISPARUE DE DEAUVILLE de et avec Sophie Marceau
-
qui a vu persepolis ? :hum:
-
qui a vu persepolis ? :hum:
Non mais ... http://www.myspace.com/persepolislefilm
-
qui a vu persepolis ? :hum:
pas encore, c'est pour cette fin de semaine
:D
-
FRACTURE de Gregory Hoblit
un thriller passionnant, avec un Anthony Hopkins manipulateur et odieux
-
THE HOAX de Lasse Halstrom
un peu bavard comme film, mais très bien interprété par Richard Gere
-
Pirates des Caraïbes 2 :powa:
Vivement le 3 (en location) :oui: :D
-
qui a vu persepolis ? :hum:
Non mais ... http://www.myspace.com/persepolislefilm
wow super ce blog !
chez moi c'est plus modeste :lol:
-
qui a vu persepolis ? :hum:
Non mais ... http://www.myspace.com/persepolislefilm
wow super ce blog !
chez moi c'est plus modeste :lol:
:lol: mais tu sais , je suis sur que tu peux y arriver :siffle :lol:
:bisous:
-
PERSEPOLIS de Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud
COUREZ LE VOIR !
-
qui a vu persepolis ? :hum:
Non mais ... http://www.myspace.com/persepolislefilm
wow super ce blog !
chez moi c'est plus modeste :lol:
:lol: mais tu sais , je suis sur que tu peux y arriver :siffle :lol:
:bisous:
ça m'étonnerait, à part ajouter des photos et du texte, je ne sais rien faire d'autre - mais quel progrès par rapport à l'an passé, où je ne savais même pas par où commencer :lol:
-
PERSEPOLIS de Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud
COUREZ LE VOIR !
première sortie au cinema ! c'est ce qu'on a fait ! J'ai adoré ce film et il m a beaucoup touchée ! :bravo:
-
Eragon :powa: Mais l'auteur s'est aussi inspiré d'Anne McCaffrey (Le dragon blanc), que j'adore, avec tout l'imaginaire du chevalier-dragon :rolleyes:
-
Eragon :powa: Mais l'auteur s'est aussi inspiré d'Anne McCaffrey (Le dragon blanc), que j'adore, avec tout l'imaginaire du chevalier-dragon :rolleyes:
:oui:
j'ai bien aimé aussi - en principe, le jeune auteur d'Eragon dit s'être surtout inspiré de la trilogie des Anneaux, mais je me souviens qu'au moment où j'ai posté ma news à ce sujet, tu m'avais déjà conseillé les livres d'Anne McCaffrey - je vais donc en acheter et tant pis pour mes bonnes résolutions de ne plus acheter de bouquins.
D'ailleurs c'était un serment de :bourre: :bourre: :diable:
:lol:
-
J'imagine que tu veux les lire en anglais ... :rolleyes:
Sinon, je les ai en français ;)
-
DIE HARD 4.0
idéal pour se vider le crâne; à part la castagne, y a rien, mais ça dure quand même deux heures
:rolleyes:
-
J'ai revu "Casino Royale" dans de meilleures conditions et franchement, je le trouve vraiment bien :oui:
C'est un bon point de départ :D
-
:unsure: J'ai fini par regarder Ghost Rider
:angry: C'est vraiment cucu!!!!!
-
:lol:
-
THE MAN WHO KNEW TOO MUCH, d'Alfred Hitchcock
VERSION 1934 (meilleure au point de vue humour que celle avec James Stewart)
-
J'ai commencé à regarder (deux fois :siffle) Renaissance :powa:
Dommage que j'ai été si fatigué :rolleyes:
Mais j'adore ce type d'animation :oui:
-
LA STELLA CHE NON C'E de Gianni Amelio
super portrait d'un étranger en Chine, tournage difficile avec commission de contrôle et censure, etc
-
BROADWAY DANNY ROSE, de et avec Woody Allen
absolument hilarant
-
HARRY POTTER AND THE ORDER OF THE PHOENIX de David Yates
magique :P
-
HARRY POTTER AND THE ORDER OF THE PHOENIX de David Yates
magique :P
et plus sombre que tous les autres :wub:
-
et ce n'est pas fini, cela empire dans les bouquins, donc cela empirera aussi dans les films
-
BY THE WAYS, A journey with William Eggleston, de Vincent Gérard & Cédric Laty
documentaire sur le "père" de la photographie en couleurs
GILDA, de Charles Vidor
avec la magnifique Rita Hayworth, un grand classique du cinéma
plus d'infos vous savez où :P
-
ROMAN DE GARE, de Claude Lelouch
français quoi !
-
:hum: :siffle
-
12 ANGRY MEN de Sidney Lumet
un chef d'oeuvre
-
TRANSFORMERS
par pure nostalgie maternelle, parce que quand mes zanimos étaient petits, on regardait la série animée ensemble blottis tous les 3 sur le "grand lit" :wub: :wub:
ce film était mieux que "DIE HARD 4" :oui:
-
:bye:
Le film des Simpsons est déjà piraté, y'en a qui travaille vite :lol: :lol: :lol: :lol: on le dit médiocre d'ailleurs :siffle
:lol: Que faire dans une prison?? Ceci par exemple
http://fr.youtube.com/watch?v=Pdz38TIwqIQ
:rolleyes: Ou préférez-vous la version indienne?
http://www.dailymotion.com/video/xip4p_thriller-indian-cover
:bye2:
-
:rolleyes: Ou préférez-vous la version indienne?
http://www.dailymotion.com/video/xip4p_thriller-indian-cover
:bye2:
effectivement j'aime mieux cette version-ci, je trouve la langue plus belle :lol:
-
RATATOUILLE film d'animation par les studios Pixar
un délice
KEY LARGO de John Huston
avec le couple mythique BOGART & BACALL
et les excellents E.G. Robinson, Claire Trevor et Lionel Barrymore
-
:D
Je viens de regarder "JEAN PHILIPPE"
J'ai bien aimé, ... ... Johnny n'est pas vraiment un acteur mais Fabrice l'est pour deux. J'ai bien ri :powa:
-
INTERVIEW de et avec Steve Buscemi
-
THE LADY FROM SHANGAI, de et avec Orson Welles
sans oublier la magnifique Rita Hayworth
digne d'Hitchcock
-
SOLARIS, version Tarkovky
-
RATATOUILLE film d'animation par les studios Pixar
un délice
et pour quelle raison ai-je reconnu dans le film le feu et bien regretté
(http://membres.lycos.fr/eternelkakou/hpbimg/kakou7.jpg)
dans le rôle de (http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/rsz/434/x/x/x/medias/nmedia/18/62/45/92/18780101.jpg)
En tout cas c'est un bel hommage ... même si c'est un hazard de ma fantasie :rolleyes: :lol: :bye:
-
hier "HALF NELSON"
petit film indépendant du Sundance film festival, assez déconcertant
-
DIALOGUE AVEC MON JARDINIER de Jean Becker
gentil, sympathique, c'est tout mais c'est déjà pas mal dans un monde où on se dispute pour des raisons qui n'ont ni queue ni tête
d'ailleurs à ce propos cher baudet, comme je te l'ai déjà dit, je ne comprends vraiment pas qu'on puisse préférer le thon au saumon :roll1:
-
LA REINE SOLEIL de Philippe Leclerc
dessin animé d'après le livre de Christian Jacq - par le même gars qui avait déjà fait "LES ENFANTS DE LA PLUIE"
Joli :oui:
-
HARRY POTTER AND THE ORDER OF THE PHOENIX de David Yates
magique :P
vu aussi, j'ai bravé les pots de popcorn et leurs grignoteur :lol:
:powa:
-
DIALOGUE AVEC MON JARDINIER de Jean Becker
gentil, sympathique, c'est tout mais c'est déjà pas mal dans un monde où on se dispute pour des raisons qui n'ont ni queue ni tête
d'ailleurs à ce propos cher baudet, comme je te l'ai déjà dit, je ne comprends vraiment pas qu'on puisse préférer le thon au saumon :roll1:
J'ai VRAIMENT BEAUCOUP AIME ce film - un peu rapide à mon gout mais JP Darroussin est vraiment extra dans ce film :powa:
-
d'ailleurs à ce propos cher baudet, comme je te l'ai déjà dit, je ne comprends vraiment pas qu'on puisse préférer le thon au saumon
... ... ... Mais sur quel thon elle me dit ça!!!!! :P
TMNT :siffle oui bon! quand y'a rien d'autre a la télé :sleep: :sleep:
-
COPYING BEETHOVEN d'Agnieska Holland
superbement interprété par Ed Harris et Diane Kruger
-
DIALOGUE AVEC MON JARDINIER de Jean Becker
J'ai VRAIMENT BEAUCOUP AIME ce film - un peu rapide à mon gout mais JP Darroussin est vraiment extra dans ce film :powa:
pour ma part je l'ai trouvé un peu trop long, heureusement qu'il y avait Darroussin qui est vraiment excellent quel que soit le rôle qu'il interprète
-
Miami Vice :powa:
-
TWO DAYS IN PARIS de et avec Julie Delpy
totalement, complètement déjanté et hilarant, il y avait longtemps que je n'avais autant ri au cinéma
:bravo:
-
(http://www.gazette-du-sorcier.com/IMG/gif/secret-de-famille.gif) :siffle
oui je sais que ce n,est pas nouveau, mais j'ai rien d'autre :unsure:
-
pas d'importance que ce ne soit pas nouveau, ce qui compte c'est de l'avoir vu, c'est un super bon film
bourré d'humour noir :D
-
IL REGISTRA
-
IL REGISTRA
DONC = IL REGISTA DI MATRIMONI de Marco Bellocchio
avec un merveilleux Sami Frey, du coup je ferais bien quelques infidélités à Robert
-
VENUS de Roger Mitchell
une magnifique réflexion sur l'amour et la vieillesse, avec un magistral Peter O'Toole
-
NIGHT AT THE OPERA de Sam Wood, avec les MARX BROTHERS :bravo:
qui a dit que l'opéra c'était barbant :lol:
-
ACCIDENT de Joseph Losey sur un scénario d'Harold Pinter
pour intellos, un peu rasoir donc, mais intéressant :lol:
-
BLOW UP de Michelangelo Antonioni
j'ai enfin compris ........ qu'il n'y avait rien à comprendre dans ces 24 heures de la vie d'un jeune photographe où imagination et réalité se confondent, du coup j'ai bien aimé
:lol:
-
CARAMEL
un peu venus beauté version libanaise, mais avec beaucoup plus de poésie, de métaphores. J'ai adoré :wub:
-
l'excellent JYNDABYNE de Ray Lawrence
-
3 AMIS de Michel Boujenah
un régal d'amitié, on aimerait connaître une telle amitié qui date depuis l'enfance :rolleyes:
avec le plaisir un peu triste de revoir le merveilleux Philippe Noiret dans son dernier rôle :wub: