Merci Esperluette (joli symbole que votre pseudo !) d'avoir cité le Maître ! Le père de la sensibilité moderne me paraît parfois oublié... et pourtant, comme il a su exprimer la double tentation de l'Idéal et de la déchéance ! Lire Baudelaire est un miracle permanent : les yeux se font ronds d'incrédulité lorsqu'on constate, à chaque phrase, à chaque proposition, l'évidence de ce qui nous est révélé... que cela soit dans "Les Fleurs du Mal" ou "Le Spleen de Paris". Pour moi, les oeuvres intégrales du Maître sont un compagnon quotidien.