Canada: n.m. du mongol Khan et du germain Aïda. Territoire fondé par Jen-Phranhzoi Khan, beau-frère par alliance de Gengis. Après avoir été exclu de la Mongolie Occidentale, pour ses propos ouvertement contre la consommation d'ânes frits qu'il publie par son journanl Marre Ane, Jen-Phranhzoi Khan immigre en Europe où, précurseur, il découvre Verdi et le superbe opéra Aïda, cinq siècles avant tout le monde. De ce bref passage en Europe, il ne reste que peu de traces. Les preuves de son existence ayant été récoltées et détruites par l'Inquisition. On prétend cependant, que les archives du Vatican contiendraient encore les minutes de son procès. Chassé du continent, une nouvelle fois, il décide de fuir en Angleterre ennemant avec lui tous les équidés le souhaitant. Il construit une arche et navigue vers les iles britanniques. Après 3 mois de navigation, il débarque en Amérique du Nord après avoir raté (de peu diront ses admirateurs) la perfide Albion. Il décide de baptiser ces terres, Khan Aïda en hommage au compositeur. Quelques années plus tard, les colonisateurs français et britanniques débarquent au Khan Aïda et commence de la pillage de ces vastes étendues. Le continent américains étant trop petits pour ces deux nations, ils se foutent sur la gueule en signe de bonne intelligence. Au début du conflit, Jen-Phranhzoi Khan, sensible aux idées de JJ Rousseau se range du côté des français et fonde le French Khan Camp, un groupuscule utilisant des techniques de lavage de cerveau,mélange d'érotisme de comptoir et de violence gratuite, pour détruire l'ennemi de l'intérieur. La technique marche trop bien est de nombreux colons anglais tombent sous le charme du French Khan Camp et forment un fan club le Club-Cul Khan. Pour éviter d'être reconnu par leur hiérarchie, ils portent une cagoule blanche qui est encore portée de nos jours par tous les nostalgiques du viol en campagne, des massacres d'Indiens et amateurs de thè. Cependant, l'alliance entre Khan et les français ne tient pas très longtemps, en effet les français ne valent pas mieux que les anglais et, en plus, n'ont aucune équipe de foot d'un bon niveau européen. A la suite d'un rêve prémonitoire, il décide d'immigrer vers le grand nord où il disparaît définitivement de l'Histoire en 1912. En Mars 1912, à la suite d'une soirée trop arrosée, Jen-Phranhzoi Khan va soulager sa vessie sur la banquise. Geste anodin qui ne sera pas sans conséquence, en effet, le chaud liquide engendre une fissure qui se transforme rapidement en crevasse qui menera ce morceau de banquise à se détacher de la banquise. Quelques jours tard, l'iceberg ainsi formé, se heurtera violemment par un brise-glace baptisé Titanic. Depuis, nous sommes sans nouvelle du grand Khan. Il reste néanmoins, le grand découvreur du Khan Aïda qui deviendra Canada et par tradition le Canada est devenu le territoire du Baudet en liberté.