La scène se déroule à Cuba où des scientifiques cubains et allemands ont découvert que la plus petite grenouille du monde était toxique. Si la découverte est réelle, elle ne doit cependant pas être déformée par le sensationnalisme que l'on retrouve sur de nombreux sites internet.
Un groupe de chercheurs de l'Université de Tokyo a mis un point un capteur ultra sophistiqué, de la taille d'une boîte d'allumettes et capable de détecté les odeurs de substances chimiques ou de gaz polluants, comme les émissions de dioxines de carbone. L'astuce consiste à insérer des œufs de grenouilles génétiquement modifiés dans le nez du robot. Les résultats de leurs travaux ont été publiés dans le dernier numéro de la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.
Je connaissais déjà cette petite histoire que j'avais découverte en surfant au hasard sur le net. Elle repose sur une expérience selon laquelle une grenouille plongée dans l'eau d'une marmite que l'on chauffe très lentement jusqu'à ébullition serait incapable de prendre conscience du danger avant qu'il ne soit trop tard, se laissant engourdir puis cuire malgré elle.
Les enfants de la crêche "Green Umbrella" ("parapluie vert") de Weston-super-Mare, au sud-ouest de l'Angleterre, ont découvert sur leur chemin une grenouille plutôt étrange... avec trois têtes et six pattes!
Araignées, serpents, abeilles, scorpions, grenouilles… Malgré les apparences, ces animaux ont un point commun : leur venin intéresse la science. Des chercheurs de l’Université d’Ulster ont découvert de nouvelles propriétés fort intéressantes dans le venin de plusieurs amphibiens de la forêt tropicale humide.