Filtrage du trafic P2P: le grande bide[justify]
Le syndicat national de l’édition
phonographique a voulu tester les systèmes de filtrage du peer-to-peer.
Un test tellement mauvais que les résultats sont à peine dévoilés. [/justify]
Le site
Electron Libre revient sur des tests menés pour le compte du
SNEP, Le syndicat national de l’édition phonographique, par la société
Internet Evolution. Mission, apprécier l’efficacité des solutions de filtrage du trafic P2P. Bilan, le filtrage du P2P est une sacré galère.
Sur
28 éditeurs de solution de filtrage invités (Allot Communications,
Cisco Systems Inc., Ellacoya Networks, F5 Networks Inc., Huawei
Technologies Co. Ltd., Narus Inc., Sandvine Inc., Juniper Networks Inc,
Packeteer), cinq ont bien voulu participer, deux s'en sortent pas trop
mal, l'américain Arbor/Ellacoya avec son Arbor/Ellacoya E30, et
l’allemand Ipoque GmbH avec Ipoque PRX-5G.
Il
a été découvert qu'une fois le trafic P2P crypté, les filtres
deviennent quasi aveugles. Le système de cryptage RC4 de BitTorrent
semble efficace. eDonkey bluff son petit monde "
avec un simple cryptage de l’en-tête de ses paquets, explique Philippe Astor,
de même que Freenet, qui met en ½uvre le système de cryptage AES et reste indétectable sur toute la ligne.".
L'étude
a été menée entre avril et octobre 2007 avec des solutions techniques
disponibles sur le marché pour filtrer le trafic P2P à grande échelle,
au niveau des infrastructures des fournisseurs d’accès.
source :
http://www.zataz.com/news/16894/Filtrage-du-trafic-P2P;-le-grande-bide.html