Tour de France 2007

le maillot verre
 c'est le classement par poingt !
quand la discution a été trop arrosé
et que les idées abstraitesde la tête
deviennent concrètes par les mains !
 
sinon autrement
le maillot vert
comptabilse le classement par points
suivant la place aux arrivées (et non le temps)
ainsi que dans les sprints intermédiaires !
 
Baudet
 je t'aime !
mais je préfère quand même les anesses !
 

Baudet
je t'aime ! Bisous
mais je préfère quand même les anesses !
kiss

  FIOuuuuu!!!! 

Tour de France - Le rayon Soler
Eurosport - mar., 17 juil. 18:02:00 2007
Le Colombien Mauricio Soler (Barloworld) a dompté le Galibier pour s'offrir la 9e étape du Tour de France mardi, à Briançon. Le Danois Rasmussen (Rabobank) reste en jaune. Christophe Moreau a souffert, mais il a tenu, contrairement à Alexandre Vinokourov, qui a sans doute perdu le Tour.



Voilà, les Alpes sont derrière nous. Le troisième volet du triptyque alpestre a consacré un inconnu du grand public, Mauricio Soler. Dans la tradition des grimpeurs colombiens, il a mis à profit son échappée au long cours, d'abord en groupe (avec notamment Yaroslav Popovych) puis en solitaire dès le Galibier, pour offrir à l'équipe Barloworld une victoire de prestige, justifiant pour de bon l'invitation délivrée par ASO à la formation britannique. La Colombie n'avait plus eu les honneurs d'une victoire sur le Tour depuis les deux succès de Santiago Botero en 2002.

L'autre fait marquant du jour tient dans la solidité du maillot jaune, Michael Rasmussen. Le Danois n'a quasiment rien lâché, cédant simplement un peu de temps à Alejandro Valverde dans l'emballage final à Briançon. Il faudra aller chercher "Chicken". Rasmussen pourra trouver une source d'espoir dans cette statistique: lors des neuf dernières arrivées du Tour à Briançon, le porteur du maillot jaune dans la cité des Hautes-Alpes a remporté le Tour. Il faut remonter à 1964 pour trouver trace d'un changement de leader entre Briançon et la capitale. Malheureusement pour le Scandinave, les 110 kilomètres de contre-la-montre à venir risquent de dilapider sa marge de manoeuvre. Valverde, désormais deuxième du général et premier des favoris, n'est qu'à 2'35".

Vino toujours à la peine

A l'issue du premier massif montagneux, personne n'a gagné ce Tour plus ouvert que jamais. Entre Valverde et Levi Leipheimer, neuvième du général, il n'y a aujourd'hui qu'une minute et dix-huit secondes. Une fourchette encore mince, où l'on trouve toujours Christophe Moreau, 6e. Le Français, moins en verve que dimanche sur les pentes de Tignes, a énormément souffert, mais il s'est accroché. Il l'avait dit, les lendemains de journée de repos sont souvent difficiles pour ses vieilles jambes. Il lui faudra prendre des risques dans les Pyrénées, mais Moreau reste dans l'allure.

Ce n'est plus le cas d'Alexandre Vinokourov. Le Kazakh, insuffisamment remis de sa chute de jeudi dernier, n'a pas été capable de suivre les meilleurs comme il l'espérait. Le voici désormais relégué à huit minutes de Rasmussen au général, soit à plus de cinq minutes de Valverde. On voit mal comment il pourrait remporter ce Tour dont il était pourtant le grand favori. Chez Astana, le patron se nomme clairement Andreas Klöden à présent. Cette fois, personne n'a pu le sauver et Vino a fini en larmes.

Contador impressionne

Parmi les autres perdants du jour, il faut citer le compatriote et coéquipier de Vinokourov chez Astana, Andrey Kashechkin, Frank Schleck, Denis Menchov, ou encore Oscar Pereiro. Tous les autres se sont à peu près neutralisés. A vrai dire, on a eu peur que les deux toits du Tour ne soient escamotés. Passe encore pour l'Iseran, escaladé dès le départ de l'étape. Mais le Galibier ne pouvait pas laisser les ténors indifférents, au risque de passer pour des nains de la route devant le Souvenir Henri Desgrange, situé au sommet de ce col mythique de la Grande Boucle.

Puis Valverde a pris ses responsabilités. Une première mine à sept kilomètres du sommet, puis une seconde, un peu plus haut. Le leader de l'équipe Caisse d'Epargne monte en puissance, mais il n'a pas pu suivre quand Alberto Contador a dynamité à son tour le groupe maillot jaune. Seul Cadel Evans a alors pu suivre. La longue descente vers Briançon a permis d'assister à un regroupement général, mais Contador a incontestablement marqué les esprits. Le voilà flanqué du maillot blanc du meilleur jeune, en attendant, peut-être, une couleur plus éclatante. Ils sont encore nombreux à pouvoir en rêver...

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l étape du jour : Juan Mauricio SOLER HERNANDEZ  BAR 04:14:24.000
Alejandro VALVERDE  GCE +00:00:38
Cadel EVANS  PRL +00:00:38
Alberto CONTADOR  DSC +00:00:40
Iban MAYO  SDV +00:00:42
Michael RASMUSSEN  RAB +00:00:42
Levi LEIPHEIMER  DSC +00:00:42
Kim KIRCHEN  TMO +00:00:46
Andréas KLÖDEN  AST +00:00:46
Carlos SASTRE  CSC +00:00:46

pour le maillot jaune :

Michael RASMUSSEN  RAB 43:52:48.000
Alejandro VALVERDE  GCE +00:02:35
Iban MAYO  SDV +00:02:39
Cadel EVANS  PRL +00:02:41
Alberto CONTADOR  DSC +00:03:08
Christophe MOREAU  A2R +00:03:18
Carlos SASTRE  CSC +00:03:39
Andréas KLÖDEN  AST +00:03:50
Levi LEIPHEIMER  DSC +00:03:53
Kim KIRCHEN  TMO +00:05:06


le maillot vert

Tom BOONEN  QSI 147
Erik ZABEL  MRM 134
Robert HUNTER  BAR 103
Thor HUSHOVD  C.A 101
Sébastien CHAVANEL  FDJ 94
Robert FÖRSTER  GST 78
Gert STEEGMANS  QSI 68
Fabian CANCELLARA  CSC 63
Filippo POZZATO  LIQ 53
Francisco VENTOSO  SDV 47


le maillot à pois rouges
Michael RASMUSSEN  RAB 98
Juan Mauricio SOLER HERNANDEZ  BAR 79
Yaroslav POPOVYCH  DSC 69
Mikel ASTARLOZA  EUS 51
Laurent LEFEVRE  BTL 50
Cadel EVANS  PRL 46
Christophe MOREAU  A2R 43
Sylvain CHAVANEL  COF 42
Alberto CONTADOR  DSC 42
Alejandro VALVERDE  GCE 33

  Je viens d'entendre a la télé que l'Allemagne a décidé de ne plus retransmettre le tour de France

Je viens d'entendre a la télé que l'Allemagne a décidé de ne plus retransmettre le tour de France

pour encore une nouvelle histoire de dopage pour la t-mobil 

On s'en fout  !
on ne retransmettra pas le tour d'Allemagne !!!
 

Tour de France - Vasseur : "La boucle est bouclée"
Eurosport - jeu., 19 juil. 07:43:00 2007
Vainqueur d'une étape en 1997, pour sa première participation au Tour de France, Cédric Vasseur a récidivé dix ans après, pour sa dernière Grande Boucle. L'homme de la Quick Step, qui reconnaît avoir joué parfaitement le coup, était évidemment ravi à l'arrivée.






CEDRIC VASSEUR, quel sentiment prime après cette victoire à Marseille ?

C.V. : Je ressens vraiment une énorme satisfaction. Ce matin, j'ai eu Philippe Crépel, celui qui me suit depuis mes débuts professionnels. Il m'a dit : "Aujourd'hui, c'est la 10e étape, c'est ton 10e Tour de France". Il y a des chiffres comme ça qui marquent. Quand je me suis retrouvé dans la bonne échappée, j'y ai repensé : pourquoi ne pas réaliser quelque chose d'exceptionnel ? Mes dix participations au Tour de France m'ont beaucoup servi dans les derniers kilomètres.

Vous êtes resté très calme en fin d'étape.

C.V. : Oui, tout à fait. Je suis resté calme et serein. Je n'ai pas paniqué. Je pense que celui qui a attaqué le plus était Patrice Halgand. Mais c'est pas forcément celui qui gagne à l'arrivée. Il a dépensé beaucoup d'énergie. En fin d'étape, j'ai aussi pu compter sur l'expérience d'un coureur comme Jens Voigt. C'est quelqu'un qui est vraiment puissant, c'est une valeur sûre du peloton. J'étais quasiment certain qu'il ne laisserait personne s'en aller dans les derniers kilomètres, qu'il ne lâcherait jamais le morceau. Je me suis reposé sur sa force, en espérant ne pas faire l'effort pour revenir sur des attaques. Je me suis dit que la victoire allait se décider au sprint. Les deux succès que la Quick Step avait décrochés avant cette 10e étape m'ont motivé. Quand on veut vraiment gagner sur le Tour, on commet de temps en temps quelques fautes tactiques.

Ça n'a pas été le cas pour vous...

C.V. : (Rires) C'est vrai, oui. Je n'ai fait aucune faute. A trois kilomètres de l'arrivée, j'ai attaqué pour pour voir les réactions de chacun. Il fallait utiliser le bon braquet. J'ai démarré sur le 13 dents et j'ai poussé 11 dents. Je pense que tout le monde attendait que le sprint soit lancé sur la gauche de la route. J'ai profité d'un petit trou qui m'était offert sur la droite, à 200m de l'arrivée. Tout le monde se regardait. Ce que j'ai pris au démarrage m'a permis de gagner, je pense. Je sentais que ça poussait derrière. Il était temps que la ligne arrive.

Qui craigniez-vous le plus au sprint ?

C.V. : Patrice Halgand était celui qui avait le plus d'explosivité. Mais il a dépensé beaucoup trop d'énergie dans les dix derniers kilomètres. Il a attaqué à quatre ou cinq reprises. Dans une étape du Tour de France, chaque cartouche est comptée. On n'a pas un capital d'attaques qui est inépuisable. Me concernant, j'ai tenté le coup à trois kilomètres. Puis à 200m de l'arrivée... Et ça a payé.

Dix ans après, vous décrochez de nouveau une victoire d'étape sur le Tour de France. C'est aussi beau en 2007 qu'en 1997 ?

C.V. : Bien sûr ! Je pense que la boucle est bouclée. Remporter une étape pour ses débuts sur le Tour de France en 1997, et réaliser le même exploit dix ans plus tard, c'est, à mes yeux, quelque chose de formidable. Il y a dix ans, j"avais vécu quelque chose d"exceptionnel en portant en plus le maillot jaune. Et avec cette victoire à Marseille, après autant de temps, je crois que je peux maintenant quitter le cyclisme la tête haute.

Eurosport

le class en jaune
Nom Nat. Équipe Temps
Michael RASMUSSEN  RAB 49:23:48.000
Alejandro VALVERDE  GCE +00:02:35
Iban MAYO  SDV +00:02:39
Cadel EVANS  PRL +00:02:41
Alberto CONTADOR  DSC +00:03:08
Christophe MOREAU  A2R +00:03:18
Carlos SASTRE  CSC +00:03:39
Andréas KLÖDEN  AST +00:03:50
Levi LEIPHEIMER  DSC +00:03:53
Kim KIRCHEN  TMO +00:05:06


en Vert
Nom Nat. Équipe Pts
Tom BOONEN  QSI 160
Erik ZABEL  MRM 144
Robert HUNTER  BAR 114
Thor HUSHOVD  C.A 110
Sébastien CHAVANEL  FDJ 108
Robert FÖRSTER  GST 78
Gert STEEGMANS  QSI 68
Fabian CANCELLARA  CSC 63
Francisco VENTOSO  SDV 59
Marcus BURGHARDT  TMO 58

pour la montagne
Nom Nat. Équipe Pts
Michael RASMUSSEN  RAB 98
Juan Mauricio SOLER HERNANDEZ  BAR 79
Yaroslav POPOVYCH  DSC 70
Mikel ASTARLOZA  EUS 51
Laurent LEFEVRE  BTL 50
Cadel EVANS  PRL 46
Christophe MOREAU  A2R 43
Sylvain CHAVANEL  COF 42
Alberto CONTADOR  DSC 42
Alejandro VALVERDE  GCE 33
 

1903  le 19 juillet Un dernier coup de pédale

Maurice Garin, surnommé "le ramoneur", remporte le premier Tour de France. Seuls 20 coureurs, sur les 60 ayant pris le départ, franchissent à sa suite la ligne d'arrivée, abandonnant les autres quelque part entre Montgeron (Essonne) et Paris, sur les 2.428 kilomètres répartis en six étapes que compte le parcours. C'est Henri Desgrange, alors directeur de l'ancêtre de L'Equipe, qui initie cette course, futur emblème du cyclisme français.
 

Le vaudeville cycliste a frappé, hier, à Marseille, ville de Victorien Sardou. Au départ de Tallard, dans les Hautes-Alpes, on apprenait par le biais de Fédération allemande de cyclisme, que le coureur Patrik Sinkewitz, de la T-Mobile, avait été l’objet d’un contrôle inopiné positif à la testostérone, début juin. Sinkewitz n’est plus présent sur le Tour puisqu’il a dû abandonner dimanche soir sur blessures après avoir percuté un spectateur, peu de temps après la fin de l’étape. Le coureur se serait montré surpris. Que pouvait-il dire d’autre ? Patrik Sinkewitz, 26 ans, était considéré comme un espoir du cyclisme allemand. Donc a priori épargné par les vieilles pratiques

suite => liberation.

«Nous avions prévu de retransmettre l’épreuve à condition que rien de grave ne se passe en termes de dopage, insiste pour sa part Dagmar Reim, l’intendante du RBB, une chaîne régionale de Berlin qui dépend des chaînes publiques. Il y a dopage. On se retire. Il est important de tirer les conséquences de cette histoire, conséquences qui s’étendront éventuellement à d’au­tres sports. Car on ne peut pas considérer aujourd’hui que seul le cyclisme est touché.»

    Paroles paroles !!!!!!!


  Si les chaines de télé ferment les portes au sports "Avec dopage"  qu'allons nous regarder a la télé?  La final de pétanque? Ou de fléchettes?  Et parlons de Oeufs limpides!!!!!!

Et encore
 il y en a qui lance les boules de pétanque
sur la cible de fléchettes !
...
environ vers 3 à 4 heures du matin !
 
ils se dopent à quoi ceux là
 

Tour de France - Moreau, le jeudi noir
Eurosport - jeu., 19 juil. 18:56:00 2007
Dure journée pour Christophe Moreau. Victime d'une chute au début de la 11e étape, le Français a ensuite été piégé par une bordure provoquée par l'équipe Astana. Il a perdu plus de trois minutes et sans doute le Tour de France jeudi à Montpellier, où Robert Hunter s'est imposé.


Sur trois semaines, le Tour de France ne se gagne qu'en quelques points stratégiques bien connus de tous. Il peut en revanche se perdre n'importe où, n'importe quand. Christophe Moreau se souviendra que son rêve de gloire s'est évaporé sous le soleil du Midi, quelque part entre Marseille et Montpellier, lors de la 11e étape. Ce devait être une journée de transition, comme on dit. Elle a pourtant condamné un des principaux candidats au podium, si ce n'est à la victoire finale. Piégé par un coup de bordure magistralement orchestré par la formation Astana, le leader de l'équipe AG2R a cédé 3'20" sur le peloton. Il se retrouve à la 14e place au classement général, à 6'38" de Michael Rasmussen.

Ce fut vraiment une journée catastrophe pour le champion de France et son équipe AG2R. Ça a commencé par des crevaisons en série. Au kilomètre 30, Christophe Moreau s'est ensuite retrouvé à terre. Rien de très méchant, juste quelques éraflures au niveau de l'épaule et de la cuisse gauche. Une bonne frayeur, rien de plus. Puis Sylvain Calzati, touché au genou et au tendon d'Achille, a abandonné. Mais le pire était à venir. Brutalement, à 70 kilomètres de l'arrivée, l'équipe Astana s'est mise à rouler à bloc et en bloc en tête du peloton. Une bordure à montrer dans les écoles de cyclisme. Elle a d'abord condamné l'échappée du jour, que l'on pensait pourtant bien partie pour aller au bout. Tant pis pour Wegmann, Millar, Florencio, Fofonov et Gilbert, qui se voyaient beaux avec leurs sept minutes d'avance.

Vino va (beaucoup) mieux

Mais la principale victime allait se trouver ailleurs. Le vent aidant, le peloton, étiré sur toute sa longueur, le peloton n'a pas tardé à casser en deux. Christophe Moreau se situait à ce moment encore dans la bonne partir du paquet. Il aurait sans doute dû montrer davantage de vigilance, car quelques instants plus tard, une nouvelle césure était provoquée. Cette fois, elle fut fatale au Franc-Comtois. 20 mètres de retard, puis 50, puis 100. Dans ce type de situations, si la jonction ne s'opère pas tout de suite, elle n'a jamais lieu. Malgré le soutien de trois équipiers, Moreau était parti pour une heure et demie de galère. C'est d'autant plus dur à avaler pour lui qu'il est le seul grand leader à avoir subi cette lourde perte.

Drôle d'étape, donc. Elle aura davantage pesé sur l'issue du Tour que d'autres, pourtant nettement plus redoutées, comme la première incursion dans les Alpes samedi dernier. Si elle a probablement condamné Moreau, elle marque le grand retour aux affaires des Astana, et de leur star Alexandre Vinokourov. Une semaine pile poil après sa chute sur la route d'Autun, le Kazakh a retrouvé des couleurs. Pour demander à ses hommes de rouler comme ils l'ont fait, il faut qu'il se sente à nouveau très fort. Histoire d'adresser un message bien clair, Vino s'est même permis de tenter une attaque à moins de trois kilomètres de l'arrivée, pour le gain de l'étape. Le coup n'a pas porté, mais Vinokourov est bien de retour.

Cette étape, Tom Boonen a bien cru qu'elle serait pour lui. Débarrassé d'Erik Zabel, Thor Hushovd ou Sébastien Chavanel, eux aussi piégés dans la cassure, le Belge avait (presque) un boulevard devant lui. Quick Step se voyait déjà avec un quatrième succès en poche, mais Boonen a perdu toute chance de victoire dans le dernier kilomètre, suite à une chute. S'il n'est pas tombé lui-même, le champion du monde 2005 s'est retrouvé freiné. Une aubaine pour Robert Hunter, qui a résisté au sprint "assis" de l'incroyable Fabian Cancellara. Souvent placé mais jamais gagnant depuis le départ de Londres, le Sud-Africain tient sa revanche. Quel Tour pour l'équipe Barloworld, déjà victorieuse il y a 48 heures à Briançon avec Mauricio Soler.

Laurent VERGNE / Eurosport

étappe du jour :

Robert HUNTER  BAR 03:47:50.000
Fabian CANCELLARA  CSC +00:00:00
Murilo Antoniobil FISCHER  LIQ +00:00:00
Filippo POZZATO  LIQ +00:00:00
Alessandro BALLAN  LAM +00:00:00
Paolo BOSSONI  LAM +00:00:00
Claudio CORIONI  LAM +00:00:00
Philippe GILBERT  FDJ +00:00:00
William BONNET  C.A +00:00:00
Kim KIRCHEN  TMO +00:00:00

maillot jaune :

Michael RASMUSSEN  RAB 53:11:38.000
Alejandro VALVERDE  GCE +00:02:35
Iban MAYO  SDV +00:02:39
Cadel EVANS  PRL +00:02:41
Alberto CONTADOR  DSC +00:03:08
Carlos SASTRE  CSC +00:03:39
Andréas KLÖDEN  AST +00:03:50
Levi LEIPHEIMER  DSC +00:03:53
Kim KIRCHEN  TMO +00:05:06
Mikel ASTARLOZA  EUS +00:05:20


maillot vert :

Tom BOONEN  QSI 160
Robert HUNTER  BAR 149
Erik ZABEL  MRM 144
Thor HUSHOVD  C.A 110
Sébastien CHAVANEL  FDJ 108
Fabian CANCELLARA  CSC 93
Filippo POZZATO  LIQ 78
Robert FÖRSTER  GST 78
Murilo Antoniobil FISCHER  LIQ 73
Gert STEEGMANS  QSI 68


meilleur grimpeur :
 
Michael RASMUSSEN  RAB 98
Juan Mauricio SOLER HERNANDEZ  BAR 79
Yaroslav POPOVYCH  DSC 70
Mikel ASTARLOZA  EUS 51
Laurent LEFEVRE  BTL 50
Cadel EVANS  PRL 46
Christophe MOREAU  A2R 43
Sylvain CHAVANEL  COF 42
Alberto CONTADOR  DSC 42
Alejandro VALVERDE  GCE 33

lu et vu pour PG sur yahoo

le maillot jaune...
Rase musette
il risque gros aujourd'hui...
 

Michael Rasmussen a été exclu de l'équipe nationale du Danemark
   
      
Michael Rasmussen a été exclu de l'équipe nationale du Danemark mais sera au départ de la douzième étape du Tour de France.

Nouveau coup dur pour l'image du Tour de France. Jeudi, le président de la Fédération danoise de cyclisme, Tom Lund, a annoncé l'exclusion de Michael Rasmussen de l'équipe nationale. Il a toutefois déclaré ne pas soupçonner le coureur de dopage. "Nous constatons simplement qu'il a eu plusieurs avertissements de l'agence antidopage danoise et de l'Union cycliste internationale", a assuré Tom Lund.

Le coureur sera pourtant au départ  vendredi de l'étape Montpellier-Castres du Tour de France cycliste. Christian Prudhomme, directeur de l'épreuve, condidère qu'il n'a pas d'éléments suffisants pour demander une sanction.

Jeudi, Theo De Rooij, le manager de l'équipe Rabobank, avait indiqué que l'Union cycliste internationale avait adressé une lettre à l'actuel maillot jaune, lui reprochant de ne pas avoir communiqué son emploi du temps pour les trois derniers mois. Or, cette publication d'emploi du temps est exigée afin que des contrôles antidopage puissent être effectués à tout moment.



   Mais qui veut la peau du tour de France?



Adidas veut se retirer du cyclisme

L'équipementier allemand Adidas a annoncé vendredi qu'il allait mettre fin à tous ses partenariats dans le cyclisme à cause des derniers scandales de dopage qui touchent le Tour de France, annonce la Süddeutsche Zeitung. Selon le journal allemand, le numéro deux mondial de l'équipement sportif n'attend plus que les résultats du contrôle antidopage de l'échantillon B de l'Allemand Patrick Sinkewitz, coureur de T-Mobile contrôlé positif sur le Tour. Partenaire de l'équipe T-Mobile, où les révélations de dopage se sont succédées depuis plusieurs mois, Adidas est également partenaire officiel de l'équipe de France de cyclisme et de l'équipe d'Allemagne.

je crois que tous ces répétitions vont finir par user même les plus résistants.

J'ai toujors adoré le tour de France, je regardais les étapes même s'il faisait grand beau, mais là depuis deux ou trois ans . . . et cette année malgré le temps plutot tristounet, je n'ai pas encore été tenté.

Ce qu'il y a de dommage par contre c'est que c'est l'unique sport qui en prend plein la g***l* - pour les autres . . . on ferme les yeux.