Bon, oui c’est vrai, je parle tout seul. Je soliloque à voix haute, je réfléchis oralement. Le plus gênant c’est de se promener devant tout le monde le cerveau à poil ! Cela dit, vu la gueule du monde, il peut commencer à balayer devant sa porte…
La chanteuse Mélanie Pain séduit avec Comme Une Balle, extrait de son nouvel album Parachute, oeuvre vocale et pianistique de très haute beauté.
Le public rock a pu apercevoir ce musicien Ariel Ariel au sein du groupe bordelais Pendentif, il se lance en solo et en pense beaucoup de bien !
Comme me dirait ma fille ! Eh beh…nan ! Toujours pas ! C’est pô ma faute, j’y arrive pas ! Pourtant cela fait longtemps que j’essaie, si ! Plus d’un demi siècle quand même ! Et le pire dans tout ça, c’est que non seulement je l’écris, mais en plus il en est pour lire mon délire !
Même pour celles qui s’en tamponnent, comme le Tampax vite… déjà cette heure là ? Vous en avez assez de ce dictionnaire…Moi aussi, mais comme j’ai décidé d’aller au bout, abrégeons nos souffrances communes, et remettons-en un coup ! Courage !
Quand de manière épizootique, le spasme d’un nain qui s’tend, un neurone clignote comme le néon usé d’un hôtel borgne dans la nuit sans fin ni fond (sans fion, donc) surgissent alors des pensées turgescentes en tête à queue sans queue ni tête tel un soixante neuf donc le neuf aurait été émasculé et le six guillotiné…Je vous les livre tel que mon encéphale les défèque…brut sans décoffrage !
Celle qui cherche la vérité sagement ! par des définitions que je vous fourgue honnête, même si cela vous semble parfois uniforme, et peu importe la police, ce qui compte c’est que vous finissiez en cellule grise !
Il faut le boire ! mais non ! ce n’est pas une purge ! Enfin, depuis le tant, maintenant vous me connaissez ! Tout va très bien se passer, comme d’habitude. Allongez-vous fermez la bouche et ouvre les yeux, il n’y en a pas pour longtemps.Comme il est copieux, on va se le faire en deux verres !
Je me réveille ce matin, fourbu et brisé par une nuit de suractivité ayant pris la place du sommeil réparateur. Une nuit d’actions virtuelles emplie de ces rêveries bâtardes qui oscillent en permanence entre doux rêve et rude cauchemar. Mais je vous en prie, prenez place, je vous emmène. A peu près comme toutes les nuits depuis des mois, nous voilà dans la raffinerie. Mais ô surprise !
Gribouillages de l’esprit, tags du neurone, caricatures du synapse, péroraisons sans raison, malt à propos, griffonnages de la pensée…bref ; du vrac en vrille ! du bavardage histoire passer le taon, comme dit la vache qui le chasse d’un coup de queue !