Une ville n'est pas une unité statique, une ville ça bouge, ça évolue. L'architecture, l'organisation, les modes de transports, tout évolue au fil du temps. Régulièrement des constructions, des places, des rues, des quartiers ont besoin de faire peau neuve.
Notre cabinet de curiosités s'enrichit aujourd'hui de trois extraits de mémoires et traités originaux, datant du début du 19ème siècle. Les auteurs, deux généraux français et un journaliste anglais, y énumèrent les grands principes de l'espionnage et du contre-espionnage sous Napoléon. Outre le cabinet noir, placé sous la houlette du directeur général des Postes, le comte de Lavalette; le 4ème bureau, placé sous l'autorité du ministre de la Guerre, Louis-Alexandre Berthier; le préfet de police, Louis Nicolas Dubois; le chef de la police secrète, Pierre Marie Desmarest; les hauts serviteurs de l'État, tels Charles-Maurice de Talleyrand et Joseph Fouché; ou les espions célèbres, comme Charles Louis Schulmeister; de nombreux anonymes ont alimenté les services de renseignements du Directoire et de l'Empire.
Nouveau volet de notre saga hystérico historique ! Il était inévitable de parler de l'empereur. C'est désormais chose fête ! Réjouissez-vous de Beaune à Sparte !
Arsenic ou pas arsenic là est la question
une canine de l'empereur a été vendu aux encheres pour un prix qui me parait incroyable...
Dans un brouillard glacial, au son des canons, quelque 850 passionnés d'histoire militaire ont rejoué samedi à Austerlitz la bataille la plus fameuse de Napoléon, qui s'était soldée par une victoire éclatante il y a 199 ans.