chose promise chose due donc voici:
Ma premiere fois :
Moi ça été très traumatisant.J’avais dans les 15ans et j’avais même jamais vu de femme a poil.Un jour, je me baladais sur les boulevards, je vois une fille magnifique, elle avait dans les 25 ans.Au moment ou l’ on se croise, elle me fait un grand sourire.J’avais le cœur coincé dans les amygdales quand je la voie monter dans une camionnette en stationnement.Elle était habillée très mini et levait la jambe très haute pour monter sur le marche pied.Et moi j’était là, rouge, comme un coucher de soleil,paralysé, con comme on peut avoir l’air à cet age là, les yeux absolument rivés sur cet entrejambe sombre,après avoir mis plusieurs secondes à comprendre que cette bizarre culotte obscure s’expliquait par le fait qu’elle ne portait pas de culotte.Quand mes yeux remontèrent enfin, ce fut pour apercevoir qu’elle me regardait aussi avec un air amusé.Soudain, elle me fait un signe de tête et je l’entend tres distinctement articuler »tu veux venir ? » Apres un instant d’épouvante complete, je hochai la tete et emis un gargouillement qui signifiait « oui ».Elle conduisait la camionette et j’etait assis à coté d’elle.Nous étions silencieux : elle me jetait de temps en temps des regards bienveillants ; moi, les yeux fixés sur l’asphalte, je ne pensais qu’a reprimer les battements de mon cœur et a rendre discret le tremblement convulsif de mes mains.C’est ainsi que, n’accordant aucune attention a la route, je realisait vaguement a la vue des arbres et des champs que nous avions quittés la ville ; c’est là qu’elle commença a parler ;
C’est la 1er fois ? demanda-t-elle ?
Oui
Ca se voit.Tu t’appelles comment ?
Archi
Moi c’est Myriam
La camionnette ralentissait.Nous longions une serie de batiments que je regardais sans les voir ; je sursautai violemment quand elle sera le frein a main : nous étions arrivés.Mais elle ne descendit pas tous de suite.Elle me regarda d’abord avec un regard si profond que tous mes efforts pour calmer mon trouble se réduisirent à néant.Puis elle posa sa main sur mon avant bras, faisant monter ma tension nerveuse d’un cran supplementaire.
Ne t’inquiete pas, dit-elle doucement.Tous ira bien, j’ai des amis qui savent ce que c’est, ils t’aideront.
Nous quittames le véhicule et j’entrais à sa suite dans un batiment sans étage,au toit de tole ondulée.Deux hommes étaient là en train de boire une biere, qu’elle semblait bien connaître.
Salut ! leur dit-elle.je vous presente Archi
.Je ne sais pas si leur sourire fut de bienvenue ou d’amusement devant mon air hagard lorsque je leur marmonnai un bonjour, mais ils avaient des tetes sympatiques.Pourtant, je repris ma teinte d’ecrevisse lorsque Myriam claironna :
C’est sa premiere fois.J’espere que vous allez l’aider.
J’eus la violente sensation d’etre tres con.
Bon je vais me préparé, ajouta-t-elle.Vous vous occupez de lui ? En guise de reponse, un des types se leva et m’invita a le suivre.Apres un couloir, nous pénétrames dans une petite piece qui sentait le linge propre.
Déshabille-toi, me dit-il d’un ton détaché en fouillant dans un tiroir.
Comme je restais sans bouger, à le regarder stupidement, il leva les yeux du meuble et sourit :
Ah dis donc.T’es pas dégourdi.Fais pas cette tete là, on dirait que tu pars au service militaire ! La premiere fois, ça doit etre une fete, c’est pas une epreuve ! Allons n’aie pas peur, tu verras, ça se passera très bien.Myriam est tres douée et en plus, tres gentille.Comme je ne bougeai tj pas, il ajouta :
Ah t’es pudique.Tu veux pas te désaper devant tous le monde.Bon je sors, tiens tu mettras ça.
C’était une combinaison blanche, que j’enfilai mécaniquement après mettre dévetu.Profondément conscient d’etre ridicule, je tentait de garder un restant de dignité en obtempérant ,sans questions.
Lorsque je sortis de la piece, l’homme me tendit un sac en me disant :
C’est ce qu’il te faut met toi ça sur le dos !
J’enfilais les bretelles sans un mot tandis que nous allions rejoindre Myriam.Dés que je la revis, mes yeux ne la quitterent plus et le paysage alentour s’effaça.
T’es prêt ? demanda –t-elle avec un sourire.
Les dents sérrées, j’acquiesçai d’un hochement de tete saccadé.
L’homme derriere moi dit :
Vas-y mon gars. Et souviens-toi :LA FETE
Viens, me dit myriam
Nous marchions dans un pré à l’herbes rasées.Myriam était vetue de la meme façon que moi.J’eus à peine conscience de la suivre et de monter avec elle dans un véhicule.Le grand moment approchait.
A peine installés sur le siege Myriam me pris la main.Mon corps n’était plus qu’un tremblement.
Eh bien je vous assure les amis, que je me souviens de rien entre ce moment, et celui ou, l’avion étant arrivé à la bonne altitude, Myriam ouvrit la portiere de saut et me dit :
« Archi c’est le moment »
J’assurais les bretelles de mon parachute, tandis qu’elle m’embrassait, sur le front en me disant :"Le premier saut, c'est comme un bapteme.Vas-y"
Et j'ai sauté. Finalement, tous c'est tres bien passé et je n'avais pas de raison de m'en faire.Pour m'encourager, je pensai pendant le saut à l'image de Myriam devant la camionnette ou était marqué:
"Ecole de parachutisme de JOUE LES TOURS", et j'avais déjà touché terre.Mais toute la journée j'en avais pas mené large.
voila les poteaux ma premiere expérience de saut en parachutisme tous ceux qui croyaient à un reçit grivois avec des déviances sexuelles peuvent aller se flagéller le dos avec une poignée d'orties fraiches ,ça les apprendra a avoir des pensées impures
a bientot pour de nouvelles aventures