Bruxelles dans les semaines à venir

Citer

ensuite lasagnes et tiramisu

doit être géantes au moins, puisque pas de nouvelles à ce moment ............... attention à la ligne quand même les zouzou's mais , pas trop de     ni de  , de la    avec modération tu mangera, sinon,  autrement vous allez rencontrer les    Belges, et avant de partir faitez une  au  et chantez une

Serge in Nice

test

Effectivement lasagnes et tiramisu geants

La déesse , comme on l'aime , en plein forme

Tiramisu mais ... ... bruxellois

Idem pour tout le reste

Super content pour vous les amiches

Si-ou-plé, un petit résumé d'une journée, granadiose serait "" eventuelement envisagable "" 1 fois 

Serge @ nice  qui mange bien en ce moment , plus de nouvelles demain ...........

Super serge ... bon, je me lance
D'abord Téki qui arrive à l'heure (même en avance) à la maison. Nous attendons les 2 parigots une petite heure. Pendant ce temps là, il arrive à faire planter un Mac et problème de vidéoconférence avec le grand gourou (question d'autorisation/compilation du module webcam avec le compte invité )
Ensuite les 2 arrivent (je n'ai pas pu prendre la photo : Téki sur un Mac ) et on décolle rapidement. Petit texto à bastet pour dire qu'on arrive (nous sommes alors à Courtrai, 5 minutes de gagné par les petites routes ) : le buffet n'est pas prêt
Arrivés là-bas sans problème (je connais un peu la route, mais le GPS aussi ... il faut dire qu'il est belge une fois )

Super buffet ... avec du pain italien ... mamamia
Tout est délicieux : je me sers 5 fois + le déssert
Petite ballade (après 2 heures de pause chez Niki) vers le centre. Plus de 30 minutes de marche forcée (on ne manque pas de courage ... mais de souffle ) puis le tram (2x3 places en vis-à-vis ).

Promenade d'hiver avec par endroit plein de monde
Retour par le métro & le bus (qui suit la téki inverse ) puis marche forcée dans le froid absolu Jia & moi rattrapons dans la montée Téniki (=Téki&Niki) pour les motiver

Petit verre d'eau avant d'attaquer sérieusement
Les amis de Niki (Alain & Fabienne) arrivent et là ... grande discussion sur l'électro ou le prog
Pour ma part, rien ne vaut DireStraits & Pink Floyd
Ah oui, merci à Louis XIV pour la superbe place
Là, nous attaquons les lasagnes ... délicieuses (peut-être pas assez chaudes, mais rien qui ne mérite le ) puis le tiramisu ... bruxellois ... formidable

Grandes discussions à Table : le bruxellois est un élément clé pour la compréhension des albums de Tintin Il en est persuadé
Nous évitons tous les sujets qui pourraient déplaire (la centrale nucléaire ) et pouvons repartir dans un froid insupportable.

Voilà, c'était vraiment génial

Un grand merci à Niki pour cette journée
Gros et à très bientôt (n'oublie pas, nous passons te prendre vendredi matin pour aller chez le grand gourou qui ne prend que la moitié du salaire les 6 premiers mois )

Pour ma part, l'expédition a commencé dès le vendredi soir. 

Vaillemment armée d'un plan Mappy, d'un itinineraire made in Michey et de mon GPS interne (nettement moins fiable), je suis arrivée étonnement sans encombre à Amiens. Sans coup férir, Michey fidèle à lui-même, m'a proposé un petit remontant (de type alcoolisé mais j'ai raisonnablement opté pour un thé) suivi d'une brève visite de son antre (et d'une plus prolongée de sa BDthèque). Ensuite nous avons décidé d'aller nous sustanter dans un restaurant typiquement américano-Picard.  Profitant de cette atmosphère Aminoise, Michey a tenté de m'inculquer quelques notions (bien choisies) de patois Nordico-SMSien. Toujours imprégnés de l'ambiance locale, nous nous sommes ensuite promptement dirrigés vers un pub Irlando-Picard (domicile principal du Mickey sus-nommé).  La langue anglo-Aminoise étant ici de rigueur, j'ai eu quelques difficultés à obtenir un pichet de breuvage locale à base d'orge (tandis que Michey a été servi immédiatement). 1/5 litre et quelques plus tard, bravant le rude climat Aminois, nous avons pris le chemin du retour.  Après, je ne me souviens plus de rien... 

Le lendemain matin, abreuvés de café Guatemaltais-Aminois, ainsi de de croissants et autres pains au chocolat de la Somme, nous avons vaillemment pris le chemin du Nord. Nous étions armés évidement d'un plan Michelin, d'un itinéraire made in JiaPhilou et de nos GPS internes (celui de Michey étant plus fiable que le mieux, ce qui m'a valu quelques coups de poings, viriles mais amicaux, pendant le trajet). 
Nous sommes donc arrivés à destination presque à l'heure. Moi, le nez en sang et Michey le poing en compote. 

To be continued... après ma pause déjeuner syndicaliste [/i] 

Voilà comment j'ai vu cette journée

Oups déjà l'heure de se lever, faut pas prendre de retard surtout, pfff j'aurais mieux fait de bloquer ma journée et de ne pas aller au boulot ce matin !!

Ca va personne sur la route, (suis je le seul à bosser ce matin ) . Arrivée au cabinet, pas question de lambiner, je met en route le compresseur et vide l'autoclave, faut être prêt !

Ca roule tout seul, tout s'enchaine à merveille. Ah voilà le dernier, un vieux chicot à enlever, pas de probleme monsieur je vais vous l'enlever en deux coups de "cuiller à pot" , anesthésie ? non ce n'est pas la peine, cela ria aussi bine sans , si si je vous assure (j'ai pas le temps de la faire en fait . . . mais bon il n'est pas sensé le savoir ) Allez on y va ? Il a l'air tout blanc d'un coup, je le vois me lancer des yeux de cocker implorant.

Oh oh il va pas me faire un malaise là quand même , quelle chochotte, un simple chicot. Depuis quand on a besoin d'une anesthésie pour se faire enlever un chicot.

Bon allez je sors l'attirail et lui en fait une quand même, d'un coup il reprend des couleurs et ouvre grand la bouche, clic clac , le chicot est au bout du davier

C'est déjà fini qu'il me dit ? Ben oui, je vous l'avais dit, une simple formalité. Il me remercie, je suis son nouveau Dieu .

Bon allez on range tout le bins, nettoyage, seichage, mise en place dans l'autoclave. On ferme l'ordinateur . M*rd* j'ai oublié la sauvegarde. Je rallume l'ordinateur, fait la sauvegarde, referme l'ordinateur. Prend mon blouson et hop direction le doux cocon de JIa et Philou.

J'arrive en esperant ne pas être trop en retard, cela devrait aller, il n'est pas encore midi. Et là Philou en pyjama, Jia sous la douche (si si je suis allé vérifier )

Oups , non j'exagere, ils étaient prêts tout les deux. Philippe me dit qu'il vient de recevoir un coup de fil d'Alex , ils sont à Hénin Beaumont.

Alors là Philippe et Jia me montrent la septième merveille du monde leur tout nouveau MAC G5, Philippe en est très fier, et puis un MAC , c'est . . . . . un réve, tout est intuitif, tout marche bien, pas de virus , pas de spywares. UNE JOUISSANCE INTENSE et surout la visioconférence en un instant !

Génial Sphilou, notre Grand Gourou est en ligne. Un démonstration s'impose. Tu verras Teki en quelques secondes tout marche, tout roule. . . .après une grosse montée de tension . . . 3/4 heures plus tard miracle on aperçoit enfin notre Grand Gourou

Ah voilà , ils arrivent, mais qui donc ? Ah non c'est le voisin. Un peu plus tard les voilà. C'est bizarre Esperluette a le nez en sang je ne m'approche pas trop des fois que cela serait contagieux.

Le temps de faire un tour dans la chambre froide (euh les wawa) et avoir descendu leurs affaires nous nous mettons en route. Direction UCCLE.

Ne faisant plus confiance à ALex , Michey s'installe à la place de copilote. Je lui donne le GPS, le plan de MAPPY et la carte routière Michelin N°51. J'espere qu'il nous conduira  à bon port.

Philou envoie un SMS un la déesse , on arrive, en fait  on vient de partir - Réponse de la déesse : buffet pas prêt. Philou demande alors que l'on s'arrete au premeir restoroute afin de se restaurer, car il meurt de faim, 8 jours qu'il jeûne pour faire bonne figure chez Bastet, mais là il ne tient plus. Il s'envoie deux moules frites et une choucroute, on peut enfin repartir. Et là direct on arrive devant la maison de la notre Hotesse. Merci Philou et Mr GPS (qui ne connaissait d'ailleurs que le nom des rues en flamand).

Nous y voilà donc enfin, et Bastet est là, nous attendant et nous acceuillant avec chaleur. Ensuite nous passons à table ou un buffet plein de bonnes choses nous attendent, des minitomates fourrées avec une préparation à base de thon et huile d'olive, des petites anchois (que Philou prendra pour des harengs ), salade de poulets, salade de viande, et plein d'autres petits plats tous aussi apétissants et délicieux les uns que les autres.

Philou affamé se ressert CINQ fois, sous les yeux ahuris de notre Déesse se demandant d'un coup si elle en avait prévu assez. Mais heuresment qu'il s'était calé sur la route avec 3 choucroutes et 5 moules frites sinon . . . .

le repas se termine sur le délicieux cake au citron, les monncake fabriqués par Jia (sorte de biscuit tout rond fourré avec de la pâte de red-beans surprenant) , du thé vert à l'anis étoilée choix imposé par bibi et pour certains des cafés filtre. Un découverte pour chacun de nous.

Déjà 16 heures, il est temps de se bouger un peu, petite balade pour rejoindre la tram et direction le centre de Bruxelles, arrêt "le petit sablon" puis balade dans le centre pour rejoindre la grand place, vraiment SUPERBE, je l'imaginais beaucoup plus faste , mais en fait elle est à taille humaine avec tout autour des batiments rivalisant en prouesses arhitecturales. Je retournerai la voir en plein jour. Certains se perdent , heuresement qu'on les surveille de loin.

Puis la ballade continue, c'est le samedi après midid , 15 jours avant noël, et on s'étonne qu'il y a un peu demonde , j'ai l'impression de me retrouver à la braderie de Lille le samedi après-midi, pas besoin demarcher , on vous pousse. Docement on arrive à la patinoire en plein air puis on decide de visiter le métro. quelques station pour rejoindre le bus 38 et retour à Uccle pour retrouver les amis de Niki, Fabienne et Alain. Ils forment un trio parfait une flamande, une wallone et un bruxellois. Toute la Belgique est avec nous pour le repas du soir.

Lasagnes et Tiramisu bruxellois (avec des spéculoos) Mais alors qu'avec Alain, Michey trouve enfin quelqu'un avec qui parler musique; je dois lutter avec Fabienne pour grapiller quelques miettes de Tiramisu

Puis vers 23.00 on se met en route pour rentrer en France   En tout cas une super après-midi et un GRAND MERCI à BASTET pour son acceuil et sa gentillesse (quoique je n'aimerai pas être son expert automobile).

 

Petit weekend entre amis.

La litanie de la boisson:
Biere-Vin-Biere-The-Cafe-Vin-Cafe-Eau-Biere-Vin-Cafe-The-Cafe-Soda au cola-The-Cafe

Petit jeu: chercher l'intrus.

Vers 20H le periple commence avec la reunion des gens du Sud de CafeduWeb du Nord. Passons sur le vendredi Amiens by night pour passer au Samedi matin. Samedi 6H, je me prepare mentalement a me lever. Concentration intense, respiration controllee, legere remontee du rythme cardiaque. 2H40 plus tard, je me leve. N'ecoutant que mon courage, je decide de mener de si bon matin une expedition vers la boulangerie. Avalange, rafale et ours blanc sont soigneusement evites, croissant et pain a chocolat ramener. Elle est belle ma cathedrale au soleil levant, si, si!
10H30, apres un habile jeu de voiture, nous nous comptons respectivement pour etre sur que personne n'est oubliee. 10H33 nous sommes tous regroupes dans la meme voiture. En tout cas Esperluette compte deux personnes assises dans la voiture et moi de meme. En route, le copilote est perdu, de toute facon le pilote n'ecoute pas le copilote. Il conduit, c'est une activite autosuffisante qui permet de le definir pleinement losque qu'il se situe sur le siege avant gauche d'une automobile continentales. Le pilote laisse le copilote retrouver ses esprits, nous sommes sur l'autoroute et il decide que le copilote doit etre maintenant capable de se reperer et d'etablir la direction. Permier test est deja les premiers cris, le co-pilote ne donne aucune indication face au panneau. Quelques temps plus tard, un type se retourne et commence a nous faire des grimaces. Je sors du vehicule, direction ma bat de cricket dans le coffre. Je m'apprete a defoncer ses phares quand je me rend compte que ces grimaces sont destinees a sa fille (sexe determine par le co-pilote) place sur un siege arriere. Je rentre dans la voiture. Je suis beni. Le copilote declare n'avoir rien vu. Je me doutais depuis le debut qu'il ne regarait jamais la route, maintenant j'en suis certain. Nous sortins de l'autoroute, des voies, des rues, des routes partout! Droite, gauche, tout droit, oui, non, une gifle au copilote. Ca ne sert a rien mais ca soulage.
Enfin nous arrivons chez Jia et Philou. D'entrer de jeu Teki rayonne! Il a fait planter un Mac OS qui ne plante jamais. Petites moqueries. Et en voiture pour Bastet. Clic les ceintures, Jia dort, Esperluette dit deja du mal des belges, Philou parle deja de manger, Teki demarre, je copilote. Les locaux discutent de la route, j'attends la frontiere belge qu'on a deja franchis depuis 5min. Je me tais cette attente eut pu  etre sujet de moqueries et les taquins sont parmis nous. On parle de tout de rien et Philou du dejeuner qui s'approche. Connection du GPS pour voir s'il est aussi fort que ca. Bof, en 15minutes il ne pas capable de trouver un satellite. Poutant je tiens le GPS dans la main droite et son support dans la main gauche. Je fais peut-etre le poser pres d'une fenetre, ca marche! La dame exige qu'on tourne a droite ou a gauche sans la moindre flatterie, c'est agacant. Nous attendons tous qu'elle se trompe. Rate, apres quelques passages en force de pont nous arrivons. Philou marque l'arret des la sortie du vehicule, il a senti le buffet italien.
Coucou Bastet. Dejeuner sympatique autours d'un buffet italo-belge (non pas de Federique Francois en fond musical). Miam les petits tomates confites! La salade de viande et la fougace aux olives. Un cake au citron, chocolat, cafe filtre. Et c'est parti pour la legion etrangere, tiens, tiens t'auras du boudin ou un coup de pied dans les rotules.... La marechale des logis chef etant de la nationalite incriminee dans ces parole d'une injustice patentee on s'abstiendra des couplets suivant. Apres de rudes combats au cours desquels Jia se fit sauvagement agresser par un poteau a caractere reveberesque. Joli bruit, breve inquietude et eclat de rire. Visite de Brüssel, dans des rues surpeuplees. On a vu le Mec-qui-pissent, la resistante belge de la premiere mondiale, la place du munichois, des baraques a frites, beignets, saucisses, gaufre, pommes a la canelle... Retour en bus par le parcours touristique (je dis ca pour eviter de faire de mauvaises blagues sur nos amis d'outre-Lescaux). Enfin une derniere marche aperitive dans le grand froid.


A suivre....

à très bientôt (n'oublie pas, nous passons te prendre vendredi matin pour aller chez le grand gourou

 

vous lui ferez un  de ma part, mais moi je vais au lit avec mes chats    et une pile de films d'amour    et de dessins animés 
et lorsque le jour de l'an vous aurez la gueule de bois       
moi, fraîche et ravissante comme à l'accoutumée, je serai dans mon petit atelier occupée à peindre  et je penserai à vous qui aurez mal au foie, au crâne  avec le teint et l'haleine pas frais 

ok je raterai une teuf d'enfer  mais je serai de tout coeur avec vous 

2ème escale : Tourcoing / Uccle

RAS : J'avais troqué ma place de copilote contre une place de passager passif. Tekiro, toujours Charmant, bon père de famille, propre sur lui, etc, etc... a eu le bon goût de nous conduire sans incident jusqu'à notre destination (et ce malgré les interventions intempestives de Philou qui tenait absolument à s'arrêter à l'autogrill pour manger un cassoulet et une choucroute).

Arrivée à Uccle et accueil aussi souriant que pacifiste de notre déesse-hôtesse. Là, mes compagnons de route m'ont discrètement fais comprendre que j'avais intérêt à me tenir à carreaux; si bien que j'ai du pretexter une irrésistible envie de fumer afin que l'un d'entre eux me rappele (à coups de brûlures de cigarettes) les precepts essentiels de l' "excellente?" Barone de Rotchilde.

Entrée peu remarquée de moi-même et de mon éducateur zélé ; les autres ayant déjà largement entamé le buffet... surtout Philou qui s'était déjà servi deux fois... et je le soupçonne d'avoir subtilisé la part de Jia à son avantage... Celle-ci a essayé de se rebiffer plus tard dans l'après-midi mais Philou lui a vite fait comprendre (à coup de lampadaire) qu'elle faisait une grossière erreur.

C'est dans ce même esprit de convivialité que nous nous sommes rendus à Bruxelles (en passant par la forêt et les champs, au pas de course, sous les yeux vigilants de TekiNiki)...

Arrivée à Bruxelles: que du bonheur !!! Bain de foule, bousculade devant le petit garçon qui fait pipi, plaisanteries douteuses (et franchement blasphématoires) devant la crèche, tentative avortée de TekiNiki pour égarer le reste de la troupe au niveau de la Grand Place, slalom entre les baraques du marché de Noel...

To be continued l'histoire demain, après un repos bien mérité

Les pieds surgeles mais toujours attaches a nos jambes, nous nous frayames un passage jusqu'à l'acceuillant canape de dame Bastet. La froideur ayant fait perdre la tete  , meme au plus endurcit d'entre nous, tout le monde reclama de l'eau, l'une d'entre nous declara meme qu'elle arretait l'alcool . Fort heureusement, cet absurde goût aqueux nous fit vite retrouver raison et on servit des breuvages aux temperaments bien plus trappistes  . Soudain de nouvelles voix firent leurs apparitions. Bastet osait nous presenter ses amis et s'en fut fini de notre bruyante clandestinite.  Alain, Fabienne entraient dans la danse. Apres une courte pose sur les benefices culturelles du nord francais suite aux differents gouvernements de gauche on-n-est-jamais-mieux-servi-que-par-soit---meme  , et avec le concours enthousiaste de l'eclaire Alain (Qui a dit illumine? Qu'il se montre!) je tins, pour les non inities, les propos les plus etranges qui soient sur un univers musical dont meme si j'etais certain de ne pas y etre le seul il est rare de croiser d'autres habitants . Apres nous ecoutames avec attention, la vision toute belge de notre bon Louis XIV  a qui ont aurait deja du coupe la tete d'apres Bastet  . C'est de toute facon interessant d'avoir une autre vision de l'histoire qu'on a appris a l'ecole. Apparement, les mechants ne sont pas toujours les memes  . La discussion fut ensuite interrompu par la fin de cuisson de lasagne.    Quelques coups de fourgettes plus tard, nous entrames en discussion sur l'influence du patois bruxellois dans la bande dessinee. C'est dingue ce qu'on rate quand on ne parle pas patois. Tiramisu au speculos, heureuse initiative! Et puis cafe filtre! Pas tres ecologique comme systeme mais bon pour un cafe il est capable de rester irrespectueux de l'environnement (entre autre). Enfin arrive l'heure du depart  , nous tirames quelques coup de feu en l'air pour faire fuir les ours polaires, Teki poursuivit jusque dans les buissons les pingouins qui erraient autours de son vehicule, Jia allumait une rechaud a graisse dans l'auto, Philou regardait, l'oeil attendri, l'etoile polaire suspendu a la verticale au bout de son reverbere, Esperluette coiffait un casque de protection au cas ou on lui eut confie une carte routiere. Le retour ne passa sans encombre, hormis un leger demi-tour aussi efficace que peu academique. Teki se facha contre lui meme quand il faillit franchir le cap fatidique des 122km/h. Puis, fort de son experience chicotesque du matin, il tenta vainement d'abuser de notre fatigue pour nous entrainer dans quelques experiences torturo-therapeto-dentaires en passant devant ses cabinets ( ). Puis ce fut le temps des aurevoirs tekiresques    . Installation des couchages, pietinage en toute sincerite de ma chambre par un chat et un non-chat . C'etait parti pour la nuit.

To be continued...

Expédition bruxelloise (suite)

Retour à Uccle : sans encombre sous le commandement clairvoyant de notre déesse-hôtesse-guide  et cela malgré les détours intempestifs du bus et les interventions répétées de Philou qui souhaitait faire une pause moules-frites  avant les lasagnes et le Tiramisu géants. 
Toujours solidaires  nous acceptons (faisant fi des objections gourmandes de Philou) de partager notre repas avec Fabienne et Alain, les voisins et néanmoins amis de Bastet.
Après une discussion conviviale sur le penchant destructeur des français, nous trinquons à l'amitié Franco-Belge... et chinoise  bien-sûr.
A une heure indeterminée, nous nous résignons, Jia en tête (partie bouder dans la voiture) à quitter notre deesse-hôtesse-guide-cuisinière    et ses amis (et néamoins voisins).

Retour à Tourcoing : sans encombre, et ce malgré l'intervention de Philou au péage (on a frôlé l'incident diplomatique quand le guichetier a tenté de lui expliquer qu'il ne pouvait donner suite à sa commande d'hamburgers-frites  ). A partir de là, ça a commencé à se corser.
Après que le Capitaine du Navire Picasso nous aît abandonné sur le bord du trottoir à Tourcoing, il nous a fallu négocier notre couchage avec deux félins sanguinaires. Nous avons donc opté (à l'insu de notre de plein gré)  pour le sol tandis que les matous s'installaient confortablement sur LEURS canapés.  Réveil légèrement brutal le lendemain matin aux aurores vers 10h32, lorsque Philou nous apprend qu'on ne sert pas de café dominical dans le Nord. L'information a pu être vérifiée 2h00 plus tard auprès de la serveuse (scandalisée) de la brasserie voisine : non mais pour qui ils se prennent ses Parigots ! Du café le dimanche, on aura tout vu !  Finalement, nos hôtes, soucieux du bien être de leurs invités, parviennent à négocier 4 cafés dans le bar voisin. Philou obtient en prime un petit Jésus en sucre que Jia s'empresse de décapiter. 
Après une petite collation de 3 heures, nous nous embarquons pour Roubaix. Philou nous propose de visiter La Piscine (C'est comme ça qu'ils appelent les musées, ces sauvages !) 

En guise de conclusion provisoire (ou définitive, je n'ai pas encore décidé), je ferais une citation de tête (aie !) de l'abbe Meslier, qui me semble-t-il (mais on pourra on discuter plus tard) illustre bien cette journée et n'est donc pas du tout hors sujet : "je serais heureux quand le dernier roi aura été pendu avec les boyaux du dernier curé" 

To be continued peut-être le récit... après un break récréatif  d'une durée indeterminée