A bien y regarder, en soulevant la jupe de la société, on découvre le vrai visage de celle-ci ! Alors haut les cœurs ; j’enlève le bas ! car il faut savoir nous regarder les yeux dans les cieux ou dans l’essieu suivant le sexe apposé…
C’est l’histoire singulière d’une dame
Féminine pluriel, d’une noble âme
Rayonnante maman du Sud qui s’exclame
Sacrifiant consciemment sa vie de femme
Aux normes machistes de notre civilisation
Qui veut madame trop souvent à la maison
Plus souvent à son tour que de raison
Transformant le sweet home en prison
En ces heures dures ou trop souvent seuls les déchets ont la parole, dans l’insulte et la violence, je me présente : chevalier paillard ! Qui m’aime, suive mon panache blanc avant qu’il ne parte en fumée. Je vous propose un peu de gaudriole et gauloiserie ! que les coincés du culte passent leur chemin vers leurs parchemins !
Le grand nain Portanouak est un sage , un mètre de yoda dans le yogourth, qui commente et décline un terme jusqu’à sa fin. Il vous érudite et vous savante à votre insu, vous permettant ainsi de briller en société sans être obliger de vous faire reluire !
Mon cerveau fait relâche. Malheureusement même au repos et contrairement à une autre partie de mon anatomie, il continue à être actif ! Tant pis ou tant mieux, toujours est-il qu’en cette période de crise, et pour ne pas gâcher, je vous livre ces dernières déjections neuronales…
Qui de mieux que les animaux pour représenter en amis nos maux ? Souvent nos T.O.C sont leurs Tics ce qui les rend à leur insu parfois plus humains que nous-mêmes. Voici un petit digest à haut de taux de nos tares…
Chose promise ; chose drue ! Hop ! C’est ma tournée, on s’y remet vite fait ! Allez…avoue…hein que t’aime ça ! Ne fais pas la fine bouche en haut en pinçant de lèvres en bas , tu ressembles à une vierge effarouchée qui se refuse !
Il faut le boire ! mais non ! ce n’est pas une purge ! Enfin, depuis le tant, maintenant vous me connaissez ! Tout va très bien se passer, comme d’habitude. Allongez-vous fermez la bouche et ouvre les yeux, il n’y en a pas pour longtemps.Comme il est copieux, on va se le faire en deux verres !
Alors qu’il est si reposant de s’asseoir sur nos idées
Ou de se coucher dans le lit de l’ennemi… ?
Pourquoi résister dans la douleur à un sort scellé d’avance
Plutôt que d’anticiper la balle libératrice qui va nous tuer… ?
répitita! et patati et patatras ! car j'en vois et j'envoie pleins qui me lisent d'habitude et qui sont en train (dans le wagon de queue) de passer à côté !